Je voulais assister à l'un de ses concerts à St Etienne et puis je m'y suis pris trop tard, c'est dommage. Oui, un personnage singulier au grand coeur.
Je connaissais cette belle, triste et, hélas, très actuelle chanson de Bernard Lavilliers, un lanceur d'alerte, parmi tant d'autres. La mélodie d'une chanson peut-elle stopper le bruit du canon ? Les images du clip évoquent très bien le contraste des extrêmes, la beauté de la vie en épis, le feu qui la détruit. Bon dimanche, Françoise.
La mélodie d'une chanson ne peut pas à elle seule stopper le bruit du canon, mais elle aide, elle soutient, elle réconforte parfois. Bon dimanche à toi aussi, Rom.
Une chanson tristement d'actualité.... Je connais Bernard Lavilliers mais ne l'ai jamais vu en concert. Merci pour le partage, comme tu l'écris en réponse dans les commentaires, une chanson peut aider et soutenir également, il y a tellement à faire de par le monde....
J'ai eu l'occasion d'assister à l'un de ses concerts il y a déjà plusieurs années, j'avais beaucoup aimé bien sûr. :-) Les chansons, les musiques, sont un baume pour le cœur et l'esprit, et aident et soutiennent, oui. Bel après-midi à toi, gitantroubadour.
Je mets les paroles...J'aime lire les mots des chansons Paroles J'entends le cœur du monde battre de plus en plus fort Celui des multitudes Et de la solitude Je croise de plus en plus la haine, la peur, la mort C'est presque une attitude Ça devient l'habitude Quand nos amours n'auront plus cours Sous ce soleil énorme Alors viendra le compte à rebours Sur ces désirs brûlés, sur ces désirs brûlés La tête du dictateur, la tête du fusilleur toujours en embuscade Dans les rues de Bagdad Si la démocratie peut tomber en dix heures Si les banques surnagent Attendant le naufrage Alors nos amours n'auront plus cours Sous ce soleil énorme Tu n'pourras plus faire demi-tour Enchaînée, enchaînée, enchaînée, enchaînée C'est juste après la guerre, on est dans l'entre-deux On attend la prochaine La dernière, la certaine La guerre économique, au fond, c'est pas sérieux Faudra bien que ça saigne Des milliards, des centaines Quand nos amours n'auront plus cours Sous ce soleil énorme Alors viendra le compte à rebours sur ces désirs Alors viendra le compte à rebours sur ces désirs brûlés Sur ces désirs brûlés, brûlés, brûlés
Paroliers : Bernard Lavilliers / Romain Humeau / Michael Lapie
Merci pour vos petits mots que j'apprécie infiniment.
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Je suis allée l'écouter vendredi à Marseille. Quel personnage singulier au grand coeur!
RépondreSupprimerJe voulais assister à l'un de ses concerts à St Etienne et puis je m'y suis pris trop tard, c'est dommage.
SupprimerOui, un personnage singulier au grand coeur.
Je connaissais cette belle, triste et, hélas, très actuelle chanson de Bernard Lavilliers, un lanceur d'alerte, parmi tant d'autres.
RépondreSupprimerLa mélodie d'une chanson peut-elle stopper le bruit du canon ?
Les images du clip évoquent très bien le contraste des extrêmes, la beauté de la vie en épis, le feu qui la détruit.
Bon dimanche, Françoise.
La mélodie d'une chanson ne peut pas à elle seule stopper le bruit du canon, mais elle aide, elle soutient, elle réconforte parfois.
SupprimerBon dimanche à toi aussi, Rom.
Une chanson tristement d'actualité....
RépondreSupprimerJe connais Bernard Lavilliers mais ne l'ai jamais vu en concert.
Merci pour le partage, comme tu l'écris en réponse dans les commentaires, une chanson peut aider et soutenir également, il y a tellement à faire de par le monde....
J'ai eu l'occasion d'assister à l'un de ses concerts il y a déjà plusieurs années, j'avais beaucoup aimé bien sûr. :-)
SupprimerLes chansons, les musiques, sont un baume pour le cœur et l'esprit, et aident et soutiennent, oui.
Bel après-midi à toi, gitantroubadour.
Je mets les paroles...J'aime lire les mots des chansons
RépondreSupprimerParoles
J'entends le cœur du monde battre de plus en plus fort
Celui des multitudes
Et de la solitude
Je croise de plus en plus la haine, la peur, la mort
C'est presque une attitude
Ça devient l'habitude
Quand nos amours n'auront plus cours
Sous ce soleil énorme
Alors viendra le compte à rebours
Sur ces désirs brûlés, sur ces désirs brûlés
La tête du dictateur, la tête du fusilleur toujours en embuscade
Dans les rues de Bagdad
Si la démocratie peut tomber en dix heures
Si les banques surnagent
Attendant le naufrage
Alors nos amours n'auront plus cours
Sous ce soleil énorme
Tu n'pourras plus faire demi-tour
Enchaînée, enchaînée, enchaînée, enchaînée
C'est juste après la guerre, on est dans l'entre-deux
On attend la prochaine
La dernière, la certaine
La guerre économique, au fond, c'est pas sérieux
Faudra bien que ça saigne
Des milliards, des centaines
Quand nos amours n'auront plus cours
Sous ce soleil énorme
Alors viendra le compte à rebours sur ces désirs
Alors viendra le compte à rebours sur ces désirs brûlés
Sur ces désirs brûlés, brûlés, brûlés
Paroliers : Bernard Lavilliers / Romain Humeau / Michael Lapie
Merci d'avoir mis les paroles, Marie. C'est une très bonne idée. :-)
SupprimerBonne soirée.