mardi 29 décembre 2015

Meilleurs voeux pour 2016

Je suis un peu en avance pour vous présenter mes voeux pour 2016, les années précédentes j'attends au moins le 1er janvier, mais je ne pourrai pas me servir de mon ordinateur début janvier, ce qui explique mon avance (moi qui suis généralement en retard pour beaucoup de choses dans ma vie, c'est plutôt bon signe pour 2016... (sourire)). Mais en fait, peu importe le retard ou l'avance, l'important est que le coeur y soit... n'est-ce pas ? Et le coeur y est ! (re-sourire)


Ma liste de souhaits pour 2016 ->ici.
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jeudi 17 décembre 2015

Belles fêtes de fin d'année !

« La couleur est par excellence la partie de l'art qui détient le don magique. Alors que le sujet, la forme, la ligne s'adressent d'abord à la pensée, la couleur n'a aucun sens pour l'intelligence, mais elle a tous les pouvoirs sur la sensibilité. » (Eugène Delacroix)


Je vous souhaite de très belles fêtes de fin d'année
tout en couleur et en douceur.
A bientôt !   

* Photo faite début novembre de cette année. Ce sont des perles à repasser. Mes petits-fils bretons étaient en train de les choisir pour en faire de jolis motifs. J'ai trouvé que ces perles de toutes les couleurs étaient très belles et méritaient bien une photo. J'adore ce mélange de couleurs ! :-)
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lundi 14 décembre 2015

C'est très étrange les rêves, parfois...

Cette image a été trouvée -> ​ ici.
C'est très étrange les rêves, parfois. Je vous raconte. Je retrouve régulièrement des lieux, des personnes, dans certains rêves. Des lieux et des personnes qui n'existent pas dans la réalité, ou bien que je n'ai jamais rencontrés, mais que je connais pourtant parfaitement bien dans mon rêve. La nuit dernière, j'ai rêvé que j'allais voir une femme médecin, ou une guérisseuse, je ne sais pas trop, et je savais que j'étais déjà venue la voir plusieurs fois, je reconnaissais les lieux, je la reconnaissais elle, tout en me faisant la réflexion qu'elle avait vieilli depuis la dernière fois, elle avait pris des cheveux blancs, des rides... Elle m'examinait, et, comme pour les autres fois, elle me donnait un diagnostic de santé, pas très sympa cette fois d'ailleurs. Au réveil, bien sûr, questionnements... et sur ma santé, et sur cette femme. Qui est-elle ? Existe-t-elle vraiment quelque part ? Ou bien n'est-elle que le pur fruit de mon imagination ? Dois-je m'inquiéter de ce message ? Ou bien dois-je l'oublier ? That is the question...

jeudi 10 décembre 2015

De l'eau...

Ce soir, tout en relisant le billet que j'ai écrit sur le thème « de l'eau » sur mon blog ​ 100 mots par jour, des souvenirs me reviennent en mémoire, souvenirs que je ne pourrais pas écrire juste en cent mots, alors je les dépose sur ce blog. Ce thème « de l'eau » me rappelle que nous avons énormément de chance de disposer d'eau quasiment à volonté, et encore plus d'eau qui coule de nos robinets. Lorsque j'étais gamine, et que nous allions passer nos vacances à la campagne dans la petite maison bleue, il n'y avait pas d'eau au robinet, il fallait aller chercher l'eau au puits qui se trouvait tout en bas du village. Je revois ma mère remonter le chemin avec un seau d'eau dans chaque main. Les seaux étaient lourds, et elle faisait des pauses régulières. Dans la petite maison bleue, on se chauffait avec une cuisinière à bois dans laquelle se trouvait une bouillotte, c'est-à-dire un réservoir en tôle recouvert d'un couvercle où de l'eau chauffait. On la récupérait avec une louche de la forme du réservoir (je vous mets ci-dessous une photo trouvée sur le net). C'était notre réserve d'eau chaude. En bas du village, il y avait également un lavoir, où ma mère, ma tante et les femmes du village venaient laver leur linge. Une année, je me rappelle, il y avait eu un été très chaud et le puits était à sec. Il fallait aller chercher de l'eau dans le village à plusieurs kilomètres de la petite maison, à pieds bien évidemment, et rapporter l'eau dans des jerricanes. De nombreuses pauses s'imposaient, les jerricanes étant très lourds. Et pour la lessive, le lavoir étant également à sec, il fallait faire aussi plusieurs kilomètres pour aller à la rivière et pouvoir laver le linge. Lorsque je raconte tout cela, ça me paraît si lointain, et pourtant ce n'est pas si vieux. Lorsque nous rentrions chez nous, en ville, quel luxe de retrouver l'eau courante, froide et chaude ! Nous étions fortement conscients de notre chance ! 
Il y a à l'heure actuelle encore des pays où il n'y a pas d'eau courante, et où l'eau est plus que précieuse. Pensons-y...

Cuisinière avec une bouilloire d'eau chaude. Photo trouvée sur le net.

mercredi 9 décembre 2015

Rue des voleurs

« Rue des voleurs » est un roman de Mathias Énard (2012). J'ai entendu parler de ce livre chez ​ Noëlle, elle en disait du bien. Je l'ai donc pris à la médiathèque, et je l'ai lu. Je confirme : il est TRÈS bien.

La page de couverture :
« C’est un jeune Marocain de Tanger, un garçon sans histoire, un musulman passable, juste trop avide de liberté et d’épanouissement, dans une société peu libertaire. Au lycée, il a appris quelques bribes d’espagnol, assez de français pour se gaver de Série Noire. Il attend l’âge adulte en lorgnant les seins de sa cousine Meryem. C’est avec elle qu’il va “fauter”, une fois et une seule. On les surprend : les coups pleuvent, le voici à la rue, sans foi ni loi.
Commence alors une dérive qui l’amènera à servir les textes – et les morts – de manières inattendues, à confronter ses cauchemars au réel, à tutoyer l’amour et les projets d’exil.
Dans Rue des Voleurs, roman à vif et sur le vif, l’auteur de Zone retrouve son territoire hypersensible à l’heure du Printemps arabe et des révoltes indignées. Tandis que la Méditerranée s’embrase, l’Europe vacille. Il faut toute la jeunesse, toute la naïveté, toute l’énergie du jeune Tangérois pour traverser sans rebrousser chemin le champ de bataille. Parcours d’un combattant sans cause, Rue des Voleurs est porté par le rêve d’improbables apaisements, dans un avenir d’avance confisqué, qu’éclairent pourtant la compagnie des livres, l’amour de l’écrit et l’affirmation d’un humanisme arabe. »
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dimanche 6 décembre 2015

« Il existe des personnes lumineuses... » (Rêve de paix)

Voici un texte qui me va bien ce soir. Merci Alain... 

« (...) Au cœur même des relations d'amour, la division est toujours prête à venir s'installer, le doute, les interprétations faussées, la volonté d'en découdre, le rejet inconscient de l'être aimé, comme si "aimer vraiment" était l'ultime danger qui nous guette... Alors que l'on ne cesse d'en crever de ne pas être aimé à la mesure de nos désirs. Est-ce que dans l'affrontement du loup et de l'agneau, le loup hélas devra toujours sortir vainqueur ?...
Il existe des personnes lumineuses dont on peut voir tout le chemin parcouru, chemin de restauration, de resurgissement, de retrouvailles avec des origines enfouies.
Hier soir, je dînais avec l'une de ces personnes.
Je réalisais à quel point l'être pacifié est nécessairement vulnérable, presque offert en pâture, même s'il a la force de l'agneau. Car elle est là la force de l'agneau, dans sa vulnérabilité librement consentie, dans cette foi qu'il a d'être le vainqueur final, non pas par la mise KO de l'adversaire, mais par la foi en lui, cet autre, en sa capacité d'effectuer sa propre pacification.
Car nécessairement, le pacificateur sera vainqueur, lors de la finale ultime. Le monde humanisé est destiné à remporter la victoire. ...Un jour... » (Rêve de paix p. 63-64)

-> 120 Pensées Plongeantes de​ Alain Rohand.

jeudi 3 décembre 2015

L'amour ne meurt jamais...

Trois belles citations de Gandhi :

"Je ne veux pas que ma maison soit murée de toutes parts, ni mes fenêtres bouchées, mais qu'y circule librement la brise que m'apportent les cultures de tous les pays."

"La haine tue toujours, l'amour ne meurt jamais."

"Vous ne devez pas perdre espoir en l’humanité. L’Humanité est un océan : même si quelques gouttes sont souillées, l’océan ne le devient pas."
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