jeudi 23 janvier 2014

Petite pause (non définitive) :-)

Je délaisse un peu mes blogs, hein, vous l'avez remarqué vous aussi ? (sourire) et je ne vous rends guère visite non plus. Il est vrai que je passe beaucoup moins de temps devant l'ordinateur (vous le savez, je vous l'ai déjà dit) et je profite de ce temps libre qui m'est offert pour le passer entre autres avec des amies que j'avais un peu négligées ces dernières années. Tenez, cet après-midi, je l'ai passé avec une amie que je connais depuis 28 ans, qui n'habite pas très loin de chez moi, et pourtant, nous ne nous voyions plus, faute au manque de temps, faute au manque de disponibilité respective. Eh bien, aujourd'hui, nous avons pris le temps et nous nous sommes retrouvées. Nous avons repris notre conversation comme si nous nous étions quittées la veille, le fil n'était pas rompu, et nous avons eu autant de plaisir l'une que l'autre à passer ces quelques heures ensemble.

Je déserte donc un peu la toile en ce moment, mais je ne suis jamais bien loin. Je suis juste un peu... ailleurs. Je fais donc une petite pause, mais je reviendrai ! Bises, à bientôt. :-)

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Regardez si elle est belle ma campagne (photos faites cet après-midi avec mon portable lors d'une balade avec mon amie) :

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samedi 18 janvier 2014

Il y a un an, je vous parlais de Lou...

Il y a un an (le 7 janvier), je vous parlais de Lou et de sa chanson "Lou, je m'appelle Lou". Cette chanson est maintenant disponible sur iTunes et les autres plateformes de ventes, elle est vendue au bénéfice de la Fondation Lou.
Pensez-y et faites circuler, si vous le voulez bien. :-)

Liens : Le journal de Bèrlebus et Fondation Lou

et la chanson :


jeudi 16 janvier 2014

HAPPY - Pharrell Williams

Allez, soyons... heureux !!!...

Chouette morceau que je viens de découvrir, plein de vie, plein de bonne humeur !


« Tu ne te sentiras jamais heureux 
Sentiras jamais heureux 
Non, ça n’arrivera pas 
Tant que tu n'essaies pas ! »
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mardi 14 janvier 2014

Comment expliquer...

Comment expliquer que lorsqu'on s'arrête de travailler*, l'on soit fatigué et que l'on attrape tous les microbes, virus et autres bestioles qui passent, alors que l'on est soumis à moins de stress, alors que l'on peut se reposer, alors que l'on n'a pas d'horaires à respecter, alors que l'on devrait être en pleine forme ?!!! Ceci s'applique d'ailleurs également à certaines personnes au tout début de leurs congés. L'une de mes amies tombait toujours malade la première semaine de ses vacances. J'ai bien quelques réponses, mais j'aimerais que vous me disiez ce que vous en pensez et si cela vous est arrivé à vous aussi. Merci.


* petit rappel : ce qui est mon cas depuis deux mois, suite au dépôt de bilan de la société pour laquelle je travaillais.
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lundi 13 janvier 2014

Le voilà de retour

Le voilà de retour le petit rouge-gorge du mois de janvier ! Ce petit rouge-gorge, je l'aime. Il était l'un des oiseaux préférés de mon frère. D'ailleurs, en 2010, le 8 janvier, il était venu me faire un petit coucou sur mon rebord de fenêtre de bureau, le jour de l'anniversaire de mon frangin, quelques semaines après que celui-ci nous ait quittés.

Photo faite ce matin :

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jeudi 9 janvier 2014

Que font les rennes après Noël ?

Un livre (de saison) reçu en cadeau pour Noël.
Je vous le conseille.

Quatrième de couverture :
« Vous aimez les animaux. Ce livre raconte leur histoire et la vôtre. L'histoire d'une enfant qui croit que le traîneau du père Noël apporte les cadeaux et qui sera forcée un jour de ne plus y croire. Il faut grandir, il faut s'affranchir. C'est très difficile. C'est même impossible. Au fond, vous êtes exactement comme les animaux, tous ces animaux que nous emprisonnons, que nous élevons, que nous protégeons, que nous mangeons. Vous aussi, vous êtes emprisonnée, élevée, éduquée, protégée. Et ni les animaux ni vous ne savez comment faire pour vous émanciper. Pourtant il faudra bien trouver un moyen. » (Olivia Rosenthal)

Critiques de Télérama :
« Pour Olivia Rosenthal, le concret est fascinant, le langage technique est source d'invention, et le vocabulaire résonne bien au-delà du réel. Dans son précédent roman, On n'est pas là pour disparaître, la romancière mêlait déjà documentaire et fiction, autour du motif de la perte de mémoire et de la maladie d'Alzheimer. A présent, dans Que font les rennes après Noël ?, elle pousse encore plus loin cette construction polyphonique avec une maîtrise enthousiasmante.
Une fillette, racontée à la deuxième personne du pluriel, grandit au fil des pages : enfant dominée par sa mère, adolescente vulnérable, épouse do cile puis émancipée. Parallè lement, des professionnels - un dresseur de loups, un boucher, un gardien de zoo, un soigneur - décrivent leur relation avec le monde animal, derrière les cages, dans les abattoirs ou les laboratoires. Peu à peu, êtres humains et animaux se croisent et se répondent. Olivia Rosenthal tisse avec précaution le lien entre eux, la pseudo-liberté de l'un et la fausse soumission de l'autre. Chaque épisode semble autonome, mais s'enlace dans une fiction parfaitement contrôlée. L'auteur ne perd jamais son lecteur, l'accompagne, puis prend ses distances grâce à des ellipses : elles permettent d'imaginer ce qui se passe dans l'intervalle.
Apparemment décalé, parcellaire, ce roman sur la domestication est cohérent, porté par un grand sens du rythme, un jeu subtil sur la répétition. Poétique, humoristique, Que font les rennes après Noël ? parle de nos illusions, des rêves d'enfant qui se brisent et de la sauvagerie que nous cachons au fond de nous. Avec cette éternelle question : où peut bien se nicher notre part animale ? Disparaît-elle à la naissance ou se gagne-t-elle à la force du poignet, quand « vous n'avez plus peur, vous n'avez plus honte, vous n'appartenez plus à votre mère, vous n'appartenez plus à votre mari, vous vivez votre vie sauvage tout en restant civilisée... Vous ne croyez pas au père Noël, vous ne suivez pas le traîneau, l'âge vous libère ». »