Comme cette fleur gorgée de couleurs qui s'ouvre et s'étiole Comme cet éphémère brûlé de lumière à l'unique envol Je suis de passage Je suis de passage
Comme cette flamme aux yeux d'une femme que souffle l'ennui Comme ce silence corrodé d'absence, de Mozart aussi Je suis de passage Je suis de passage
Ne m'attendez pas Je ne reste pas, je passe dans le temps Je passe dans le temps Ne m'attendez pas Je n'reviendrai pas Je suis comme le vent, je suis comme le vent Je suis de passage
Comme ce sanglot, ce fragile écho qui ricoche encore Et finit sa course bien loin de sa source qui s'évapore Je suis de passage Je suis de passage
Comme cette larme couvrant le vacarme d'un tambour de chœur Comme cette étoile peinte sur la toile qui perd sa couleur Je suis de passage Je suis de passage
Ne m'attendez pas Je ne reste pas, je passe dans le temps Je passe dans le temps Ne m'attendez pas Je n'reviendrai pas Je suis comme le vent, je suis comme le vent Je suis de passage
Comme ce visage croqué sur la plage qui lui souriait Comme cette enfance dont l'adolescence efface le trait Je suis de passage Je suis de passage
Comme l'onde pure qui suit la mesure sous l'arche et qui pleure Et évanescente suit dans sa descente la peau qui l'effleure Je suis de passage Je suis de passage
Ne m'attendez pas Je ne reste pas, je passe dans le temps Je passe dans le temps Ne m'attendez pas Je n'reviendrai pas Je suis comme le vent, je suis comme le vent Je suis de passage
Je passe dans le temps Je ne fais qu'un tour Un tour de passe-passe Pas le temps Par les temps qui courent Je passe dans le temps Je ne fais qu'un tour Un tour de passe-passe Pas le temps Par les temps qui courent (Je file comme le vent !) Je passe dans le temps Je ne fais qu'un tour Un tour de passe-passe Pas le temps Par les temps qui courent (Je suis de passage !) Je passe dans le temps Je ne fais qu'un tour Un tour de passe-passe Pas le temps Par les temps qui courent
Oui, nous nous tracassons bien souvent pour des broutilles, et c'est bien dommage vu l'allure à laquelle le temps passe... Bonne soirée à toi aussi, Fifi.
Je n'ai encore jamais assisté à l'un de ses concerts, mais cela fait partie des choses que je veux faire, car j'imagine en effet que ce doit être un moment magique. Bonne fin de journée, Letienne. Bises.
Je ne connais pas du tout cette chanson, vu que je n'écoute jamais de chanson française à présent. Le chanteur par contre je le connaissais son nom ! Bisous
Bonjour Françoise jolie découverte une belle musique et des paroles intéressantes et tellement vraies. On est tous de passage sur cette terre à nous de faire en sorte de bien le passer. On n'a pas le temps de s'attarder sur des choses futiles il faut aller à l'essentiel car le temps passe si vite. Bon jeudi et des bisous ici avec de la pluie.
Bonsoir Marie Oui, aller à l'essentiel, et ne pas perdre de temps pour des choses qui n'en valent pas la peine, je suis entièrement de ton avis. Bonne fin de journée, bisous.
Quelle pure et belle poésie française, jonglerie de mots, richesse de chœur et de cœur. Nous passons sur cette terre, tour de passe passe. Et pourtant durant nos presque cent ans de vie potentielle, que de bien nous pouvons faire, que de mal aussi. En ce moment j'ai du Zaho De Sagazan, en tête. La symphonie des éclairs. Yann
Je ne connaissais pas Zaho De Sagazan, je la découvre grâce à toi, Yann, et comme tu en parles, je viens d'écouter la chanson : La symphonie des éclairs, chanson très belle, que j'ai beaucoup aimée. Merci beaucoup, j'écouterai d'autres chansons d'elle. Bonne fin de journée et bon week-end.
Très bon choix au moment où on va visiter les morts sur leurs tombes. Faut en profiter. Bientôt plus de cimetières vu qu'on se fait de plus en plus cramer et on ne laisse aucune trace. C'est peut-être mieux d'ailleurs. Aussi sommes-nous, poussières perdues dans l'univers… Et cependant c'est fou ce qu'on est attaché à des milliers de choses dont pour rien au monde on pourrait se passer, alors que nous n'emporterons absolument rien du tout.
Oui, c'est assez paradoxal d'ailleurs. Ces jours-ci, j'ai commencé à faire du tri, vêtements, objets, etc. Si l'on n'y prend garde, on se laisse envahir et comme tu dis, nous n'emporterons de toute façon rien du tout, cela devrait faire réfléchir... Bonne soirée, Alain.
C'est plein de justesse et de bon sens. Une mélodie pour la Toussaint. Je ne connaissais pas du tout. Oui, le temps défile à une allure folle et il ne faut pas le gaspiller. Bises et douce fin de semaine
J'ai découvert récemment Yves Jamait et j'ai aussitôt apprécié son style et ses chansons. Celle-ci je ne le connaissais pas et j'aime beaucoup cette ode à l'impermanence des choses et des gens. Merci Françoise, pour ce partage.
Merci pour vos petits mots que j'apprécie infiniment.
PS : Si vous avez des difficultés à poster un commentaire ou si celui-ci n'apparaît pas, vous pouvez me l'adresser par mail (voir mon profil) et je le publierai en votre nom. Merci.
Comme cette fleur gorgée de couleurs qui s'ouvre et s'étiole
RépondreSupprimerComme cet éphémère brûlé de lumière à l'unique envol
Je suis de passage
Je suis de passage
Comme cette flamme aux yeux d'une femme que souffle l'ennui
Comme ce silence corrodé d'absence, de Mozart aussi
Je suis de passage
Je suis de passage
Ne m'attendez pas
Je ne reste pas, je passe dans le temps
Je passe dans le temps
Ne m'attendez pas
Je n'reviendrai pas
Je suis comme le vent, je suis comme le vent
Je suis de passage
Comme ce sanglot, ce fragile écho qui ricoche encore
Et finit sa course bien loin de sa source qui s'évapore
Je suis de passage
Je suis de passage
Comme cette larme couvrant le vacarme d'un tambour de chœur
Comme cette étoile peinte sur la toile qui perd sa couleur
Je suis de passage
Je suis de passage
Ne m'attendez pas
Je ne reste pas, je passe dans le temps
Je passe dans le temps
Ne m'attendez pas
Je n'reviendrai pas
Je suis comme le vent, je suis comme le vent
Je suis de passage
Comme ce visage croqué sur la plage qui lui souriait
Comme cette enfance dont l'adolescence efface le trait
Je suis de passage
Je suis de passage
Comme l'onde pure qui suit la mesure sous l'arche et qui pleure
Et évanescente suit dans sa descente la peau qui l'effleure
Je suis de passage
Je suis de passage
Ne m'attendez pas
Je ne reste pas, je passe dans le temps
Je passe dans le temps
Ne m'attendez pas
Je n'reviendrai pas
Je suis comme le vent, je suis comme le vent
Je suis de passage
Je passe dans le temps
Je ne fais qu'un tour
Un tour de passe-passe
Pas le temps
Par les temps qui courent
Je passe dans le temps
Je ne fais qu'un tour
Un tour de passe-passe
Pas le temps
Par les temps qui courent
(Je file comme le vent !)
Je passe dans le temps
Je ne fais qu'un tour
Un tour de passe-passe
Pas le temps
Par les temps qui courent
(Je suis de passage !)
Je passe dans le temps
Je ne fais qu'un tour
Un tour de passe-passe
Pas le temps
Par les temps qui courent
Je passe !
Nous le sommes toutes et tous.
RépondreSupprimerNous savons bien qu'il s'agit de vivre l'instant mais l'oublions bien souvent et nous tracassons pour tant de choses.
Bonne soirée, Françoise.
Oui, nous nous tracassons bien souvent pour des broutilles, et c'est bien dommage vu l'allure à laquelle le temps passe...
SupprimerBonne soirée à toi aussi, Fifi.
Génial cette chanson que je ne connaissais pas, merci pour le partage....
RépondreSupprimerBonne soirée Françoise !!!
Je suis ravie de te la faire découvrir, gitantroubadour, moi je ne la connais que depuis cet après-midi. :-)
SupprimerBonne soirée à toi aussi.
Bref des paroles de Toussaint 😉
RépondreSupprimerOui, Biche ! 😉
SupprimerUn magicien des mots, poète étonnant, débordant de chaleur humaine.
RépondreSupprimerChacun de ses concerts est un moment magique.
Bises.
Je n'ai encore jamais assisté à l'un de ses concerts, mais cela fait partie des choses que je veux faire, car j'imagine en effet que ce doit être un moment magique. Bonne fin de journée, Letienne. Bises.
SupprimerJe ne connais pas du tout cette chanson, vu que je n'écoute jamais de chanson française à présent. Le chanteur par contre je le connaissais son nom ! Bisous
RépondreSupprimerTu n'écoutes jamais de chanson française, Manou ? Il y en a pourtant de très belles. Bonne soirée, bisous.
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerBonjour Françoise jolie découverte une belle musique et des paroles intéressantes et tellement vraies. On est tous de passage sur cette terre à nous de faire en sorte de bien le passer. On n'a pas le temps de s'attarder sur des choses futiles il faut aller à l'essentiel car le temps passe si vite. Bon jeudi et des bisous ici avec de la pluie.
SupprimerBonsoir Marie
SupprimerOui, aller à l'essentiel, et ne pas perdre de temps pour des choses qui n'en valent pas la peine, je suis entièrement de ton avis.
Bonne fin de journée, bisous.
Quelle pure et belle poésie française, jonglerie de mots, richesse de chœur et de cœur. Nous passons sur cette terre, tour de passe passe. Et pourtant durant nos presque cent ans de vie potentielle, que de bien nous pouvons faire, que de mal aussi.
RépondreSupprimerEn ce moment j'ai du Zaho De Sagazan, en tête. La symphonie des éclairs.
Yann
Je ne connaissais pas Zaho De Sagazan, je la découvre grâce à toi, Yann, et comme tu en parles, je viens d'écouter la chanson : La symphonie des éclairs, chanson très belle, que j'ai beaucoup aimée. Merci beaucoup, j'écouterai d'autres chansons d'elle.
SupprimerBonne fin de journée et bon week-end.
Très bon choix au moment où on va visiter les morts sur leurs tombes.
RépondreSupprimerFaut en profiter. Bientôt plus de cimetières vu qu'on se fait de plus en plus cramer et on ne laisse aucune trace. C'est peut-être mieux d'ailleurs. Aussi sommes-nous, poussières perdues dans l'univers…
Et cependant c'est fou ce qu'on est attaché à des milliers de choses dont pour rien au monde on pourrait se passer, alors que nous n'emporterons absolument rien du tout.
Oui, c'est assez paradoxal d'ailleurs.
SupprimerCes jours-ci, j'ai commencé à faire du tri, vêtements, objets, etc. Si l'on n'y prend garde, on se laisse envahir et comme tu dis, nous n'emporterons de toute façon rien du tout, cela devrait faire réfléchir...
Bonne soirée, Alain.
C'est plein de justesse et de bon sens. Une mélodie pour la Toussaint. Je ne connaissais pas du tout. Oui, le temps défile à une allure folle et il ne faut pas le gaspiller. Bises et douce fin de semaine
RépondreSupprimerAlors, je suis contente de te l'avoir fait découvrir, Elisa. :-)
SupprimerUne douce fin de journée à toi aussi. Bises.
J'ai découvert récemment Yves Jamait et j'ai aussitôt apprécié son style et ses chansons. Celle-ci je ne le connaissais pas et j'aime beaucoup cette ode à l'impermanence des choses et des gens.
RépondreSupprimerMerci Françoise, pour ce partage.
Alors je suis ravie de t'avoir fait connaître cette chanson, Antoine, chanson que je ne connais que depuis peu.
SupprimerBelle fin de journée.
Magnifique !
RépondreSupprimerIl y a des vérités qu'il faut rappeler.
Et en chanson, c'est tellement plus doux à entendre...
La Licorne
Oui, cette chanson, ces mots, l'artiste, tout est magnifique.
SupprimerBonne soirée, La Licorne.