lundi 28 novembre 2011

Dans l'eau de la claire fontaine

Il y a certaines dates qu'on n'oublie pas...
Cette date approche, ce fameux matin du 30 novembre 2009...
Les pleurs ont séché, mais la nostalgie de la présence subsiste.
Mais mon frère aimait rire avant tout, il aimait jouer de la guitare, il aimait chanter, et il aimait Georges Brassens. Alors, pour lui, cette chanson: "Dans l'eau de la claire fontaine...", une chanson que j'aime et que je lui dédicace.



vendredi 25 novembre 2011

La simplicité, c'est ce qu'il y a de mieux !

Inviter la famille, les amis, les copains, à venir partager un repas à la maison, ce devrait être plutôt sympa, non?... Mais pourquoi donc voulons-nous à tout prix faire de la grande cuisine, mettre les petits plats dans les grands, passer un temps fou au fourneau, avoir une maison impeccable, faire le ménage à fond! et ensuite se retrouver fatigué(e), éreinté(e) lorsque nos invités arrivent et ainsi ne pas pouvoir profiter pleinement de leur présence comme nous l'aurions souhaité!
N'avez-vous pas remarqué comme les invitations de dernière minute sont souvent les plus réussies, parce qu'on ne se prend pas la tête avec tout ce tralala! On fait simple, on ne fait pas de chichis, on cuisine avec ce que l'on a, tout le monde met la main à la pâte, la maison est comme elle est, en désordre ou pas, et tout le monde passe un excellent moment! Non?... Restons simples, la simplicité, c'est ce qu'il y a de mieux!... à mon avis... (sourire)

dimanche 20 novembre 2011

Je fais confiance

Je reviens sur un thème que j'ai déjà abordé il y a un an à peu près: la confiance. Et en l'occurrence, ce soir, je me pose ces questions: Ferais-je trop confiance en les gens ? Serais-je trop naïve, parfois ? Si c'est le cas, en tous cas, je vous le dis tout de suite... j'assume !... (sourire)

C'est vrai que j'accorde facilement ma confiance et que je ne mets pas en doute la véracité des paroles, des propos que peuvent m'adresser les gens. Pourtant, il m'est déjà arrivé que l'on me raconte des bobards, mais malgré cela, je continue à faire confiance. Je pense que si l'on se met à douter, on devient vite parano et on ne croit plus personne. Si l'on accorde sa confiance en les gens, ceux-ci sont touchés et nous rendent cette confiance. Je le vois ainsi. Une relation ne peut être saine et ne peut durer que si l'on se fait confiance, d'un côté comme de l'autre, c'est indispensable pour sa longévité.

Pourtant, et là, vous allez peut-être bondir, je pense que faire confiance signifie aussi accepter des petits mensonges de la part de l'autre, fermer les yeux dessus, ne pas en parler même si l'on s'en aperçoit. Après tout, tout le monde a le droit de dire des petits mensonges s'ils ne causent pas de tort à l'autre. Ceux-ci permettent peut-être de se ménager un petit jardin secret qu'il est bien légitime d'avoir et qui ne met pas la relation en péril.

Et vous, et la confiance ? Dites moi...

mardi 15 novembre 2011

Pleine conscience et méditation

Tous les quinze jours, une fois par semaine, je rejoins un groupe de méditation. C'est un jeune couple bouddhiste qui organise ces soirées, soirées gratuites je le précise et ouvertes à tout le monde, que l'on soit bouddhiste ou non. Je m'y rends, et je ne suis pas bouddhiste. Le but est de se réunir et de partager ces moments de méditation et de pleine conscience ensemble.
Nous commençons la soirée par une marche en plein air en pleine conscience. Il s'agit d'une marche lente et dans le silence. L'intérêt : être dans l'instant présent, être présent à ce qui est là et maintenant, lâcher prise avec les pensées parasitaires qui nous prennent trop d'énergie et qui nous fatiguent. Si vous arrivez à être dans l'instant présent, ces pensées parasitaires n'arrivent pas à prendre prise sur vous. Vous les regardez juste passer, vous ne les jugez pas, vous ne les interprétez pas, elles ne prennent pas possession de votre mental, car vous êtes dans le moment présent (j'espère être claire... :-)). Et de plus, vous pouvez apprécier pleinement cette marche, le paysage, le chants des oiseaux, car vous êtes dans ce que vous faites, et non ailleurs.
Après environ trente minutes de cette marche en pleine conscience, nous rentrons et nous nous installons dans le silence toujours, dans la salle de méditation. La salle est en fait une salle de restaurant végétarien tenue par une jeune femme faisant partie du groupe, et aménagée à cette occasion en salle de méditation. Nous nous installons sur des cousins, des petits bancs ou des chaises, comme nous en avons envie, le principal étant d'être bien, et nous pratiquons environ quarante cinq minutes de méditation, soit guidée, soit dans le silence. Ensuite, une personne lit un texte de Thich Nhat Hanh tiré du livre "La respiration essentielle". Et enfin, une lecture au choix d'un des participants est lue également. Nous finissons généralement en buvant un thé.
Ces soirées apportent beaucoup de calme et de bien-être. Et ce n'est pas une secte ! comme beaucoup le pensent et le disent. C'est un groupe accueillant, bienveillant et aimant. J'ai été informée de ces soirées par Isabelle, le maître de Reiki, qui m'initie à cette discipline. C'est avec ce groupe que, récemment, j'ai pu revivre un rêve durant un dimanche de pleine conscience.
Est-ce que certains d'entre vous connaissent ou pratiquent la pleine conscience ? la méditation ? C'est tout nouveau pour moi, j'ai commencé en septembre dernier, et je dois dire que cela m'apporte beaucoup en sérénité, et cela m'apprend encore plus à être à l'écoute de mon corps, de mon coeur et à l'écoute des autres, aussi.
Voilà, j'avais envie de vous en parler... (sourire)
Et maintenant à vous de vous exprimer à ce sujet, si le coeur vous en dit... :-)

dimanche 13 novembre 2011

T'es où ?... Tu fais quoi ?... T'es seul(e)... ?

Ces trois questions sont celles que nous posons régulièrement à nos compagnons, à nos amis ou à nos proches, lorsque nous les appelons avec nos téléphones portables.
Etrange, non ? surtout quand on sait que ce sont les trois questions que posent régulièrement et d'une façon répétée les jeunes enfants à leurs parents (plus particulièrement à leur maman).
Sommes-nous donc encore imprégnés par cette peur de l'abandon, de l'oubli, de l'absence ? A méditer...

Réflexions tirées de ma lecture de "Virtuel, mon amour" de Serge Tisseron.

mercredi 9 novembre 2011

Quand la nature se défend...

L'histoire du noyer

Cécile* habite un petit village perdu dans la montagne. Dans ce petit village vivent également, six mois dans l'année, dans leur résidence secondaire, Maurice* et Denise*.
Un matin, en se levant, Cécile entend un bruit de tronçonneuse. Etonnée, elle sort pour voir qui peut donc couper du bois si tôt. Elle voit alors Maurice en train de commencer à couper une branche à un superbe noyer. Il a appuyé son échelle sur le tronc de l'arbre. Elle va alors le voir et lui demande pourquoi il s'en prend à ce si bel arbre qui regorge de si belles noix, et de plus, qui ne lui appartient pas! "Il me cache la vue! Je vais le couper!" "Mais il faudrait peut-être demander avant au propriétaire?" Il ne lui répond pas et continue de scier. Cécile s'en va, très contrariée.
Ayant prévu d'aller faire des courses en ville et d'aller voir une amie, elle part pour la journée. Le soir, tracassée par cette histoire de noyer, elle retourne sur le lieu du "crime". Et elle voit, avec bonheur, que le noyer est toujours là. Par contre, une branche a été... arrachée, elle gît par terre. Bon, elle se renseignera le lendemain matin. Mais elle n'a pas à attendre, car Denise, la femme de Maurice, la voyant passer, court vers elle, et lui dit que son mari, en voulant couper la première branche de l'arbre, est tombé de l'échelle. La branche s'est cassée d'elle-même, et l'a entraîné dans sa chute. Il s'est cassé une côte, et a au moins cinq points de suture sur la tête... Il s'en tire bien, il aurait pu se faire bien plus mal... Ce n'était peut-être pas une bonne chose de vouloir couper un arbre en si bonne santé, un arbre qui ne lui appartenait pas? En tous cas, Maurice et sa femme sont repartis chez eux pour les mois d'hiver, et le noyer peut être tranquille, je ne pense pas qu'il soit à nouveau en danger...

La morale : Si un beau noyer, en pleine santé, regorgeant de beaux fruits, vous cache la vue ! surtout, laissez-le en paix!... :-)

Voilà. Cette histoire, véridique, m'a amusée, j'ai eu envie de vous la raconter (sourire).

* Prénoms d'emprunt

dimanche 6 novembre 2011

Pensées positives, méditation

Certaines périodes, la vie s'acharne à nous mettre des obstacles ou à nous infliger des épreuves à répétitions dont on se passerait volontiers, cela soit à nous, soit à des proches ou amis. Cela s'appelle la loi des séries. Dans ces moments-là, nous avons du mal à rester positif, le moral en prend un coup. C'est normal. Pourtant, et j'en ai déjà parlé dans un ou des précédents billets, je crois fermement aux bienfaits de la pensée positive. Et je veux continuer à y croire. Les soirées méditation auxquelles je vais m'y aide fortement. Soirées dont je vous reparlerai d'ici quelques jours.
Ce soir, je pense tout particulièrement à deux personnes qui ont actuellement des problèmes de santé. Je leur envoie plein d'ondes et de pensées positives, plein de bonne énergie, plein de force, afin que tout se passe bien dans ce qui les attend.

mercredi 2 novembre 2011

Le tag de Rêva

Rêva m'a taguée voici quelques jours. (Merci Rêva  :-))
Voici donc les questions et les réponses au tag.

Quel est, pour vous, votre plus gros défaut ?
Mon plus gros défaut est certainement le manque de confiance en moi. Mais j'y travaille et il paraît que ces derniers temps, j'ai fait beaucoup de progrès !... (sourire)

Que penseriez-vous d’une personne ayant vos traits de caractère ?
Je penserais qu'il faudrait qu'elle arrête de douter d'elle-même et qu'elle arrive enfin à mordre la vie à pleines dents sans se poser de questions et qu'elle laisse ses complexes au vestiaire !... Ah mais !... (sourire)

Avez-vous déjà connu un amour interdit ? 
Certainement en rêve, mais je ne vous raconterai pas !... :-)

Que voyez-vous dans votre avenir ? 
Je ne vois rien du tout, je n'aime pas me projeter dans l'avenir, ou du moins je n'aime plus, l'avenir est trop incertain. Je préfère vivre au présent, profiter du présent, et ne pas me projeter.

De quoi est né votre dernier fou rire ?
Mon dernier fou rire remonte à juste trois jours. Je l'ai pris alors que je circulais en voiture avec l'une de mes amies et que je lui racontais pourquoi justement elle avait failli me faire prendre un fou rire à cause de bruits incongrus venant de son estomac alors qu'un grand silence régnait dans la pièce où nous étions et que l'instant demandait un certain recueillement... Je sais, c'est balot, mais ce sont des trucs comme cela qui me font rire... De plus, avec cette amie, nous sommes spécialistes de ce genre de fou rire... (sourire) Et puis, en cette période, cela fait du bien.

Celles ou ceux qui en ont envie, je les tague ! Je ne nomme personne, mais dites le moi si vous le faites... A vous de jouer !... :-)

mardi 1 novembre 2011

Et maintenant, on fait quoi ?

L'important n'est pas de se demander pourquoi tel événement nous arrive et de perdre ainsi du temps et de l'énergie à essayer de comprendre. L'important est de se poser la question : Et maintenant, on fait quoi ?