vendredi 21 juillet 2017

Je l'aimais cet homme-là...

Quel talent, quelle voix, quelle gentillesse, quel charisme !...

Claude RICH nous a quittés hier à l'âge de 88 ans
.

mardi 18 juillet 2017

Le conformisme n'est pas notre nature

« Un magnifique court-métrage nous rappelle que le conformisme n’est pas notre nature.
Une petite animation espagnole, Alike touche nos cœurs à travers un message qui résonne avec l’expérience de chacun. Beaucoup trop souvent nous nous laissons aller sur un élan de conformité qui nuit à notre perception de nous et des autres.
   Les enfants n’ont pas encore été touchés par la banalité et la négativité de la vie dans nos société de consommation. Leur passion pour les petites choses de la vie peut nous réapprendre de voir ce qui est vraiment important pour notre bonheur et bien-être. Si nous faisons uniquement ce que la société attend de nous, nous risquons de perdre l’étincelle de joie et de créativité que nous portons dès notre enfance. Ce que cette belle animation nous rappelle c’est que nous pouvons observer les enfants et apprendre de leur exemple d’authenticité pour nous sortir du conformisme qui nous étouffe chaque jour.
   Nous, les humains, ont la responsabilité de permettre à nos esprits de grandir et fleurir sans pour autant perdre notre joie, imagination et honnêteté d’enfant. Nous devons aussi préserver notre curiosité naturelle et la laisser rayonner de notre personne vers le monde extérieur. Nous continuons à nous battre pour des croyances qui ne nous servent plus en tant qu’individus ou société et nous sommes les seules qui peuvent changer cela. Apprenons à mettre la technologie de côté de temps en temps et sortons dehors. Soyons des personnes fortes qui savent dire oui ou non selon ce que nous trouvons juste, utile ou excitant. Nous avons la capacité d’apprendre à nous soigner des dégâts de la conformité excessive qui nous est imposé. » -> ​source

mercredi 12 juillet 2017

Une fleur à découvrir

Connaissez-vous cette fleur ? Non ? 
Alors, cliquez sur ce lien, et vous le saurez : ​ Quel est son nom ?
Et vous verrez aussi d'autres photos !

mardi 4 juillet 2017

PLUIE - Kirsty Gunn

PLUIE de Kirsty Gunn, un magnifique roman, une très belle histoire d'amour entre Janey et son petit frère Jim. Un roman d'une très grande poésie.
Merci Agnès de me l'avoir fait découvrir.


Résumé :
« Une maison de vacances, un été au bord de l'eau. Janey et son petit frère Jim, livrés à eux-mêmes, passent leurs journées près du lac, terrain de jeu et d'exploration magique. Mais de retour à la maison, ils doivent renoncer à leur monde de rêves pour retrouver la réalité - des parents négligents trop occupés à boire des cocktails et distraire leurs amis. Janey veut protéger son petit frère du monde des adultes. Elle se substitue à la mère, femme sublime, adulée par son mari. Les enfants croient trouver refuge près du lac, mais le danger n'est pas loin... »

« PLUIE est le premier roman de Kirsty Gunn, considérée comme l'un des écrivains les plus prometteurs et les plus originaux de sa génération. Un talent et une maîtrise qui rappellent Colette et Katherine Mansfiel. »


Extrait (pp. 11-12)
« "Ne t'en vas pas ! criait Jim, au loin. Reviens par ici, c'est pas rassurant là-bas"
Bizarre, tout de même, qu'il crût que je pourrais l'abandonner quand c'était lui qui essayait toujours de s'échapper. Il s'enfuyait au moment où nous atteignions la deuxième plage, gambadant devant moi sur la vaste étendue sablonneuse comme un petit chien débarrassé de sa laisse. Il courait en décrivant d'immenses cercles, tournant inlassablement, allant et venant sans cesse entre l'eau et la terre ferme.
"Je suis là ! Regarde moi !"
Mon petit caoutchouc.
Quel était donc le besoin qui le poussait à s'éloigner ainsi de moi sans lui permettre toutefois de quitter mon champ de vision ? Plus tard je découvris que les amants se comportaient de la sorte, qu'ils recherchaient instinctivement la solitude tout en aspirant à des regards, à des caresses qui les enchaînent. Etait-il comme un de ces hommes ? Une créature exercée qui pouvait déguerpir d'un seul coup et que retenait pourtant quelque fil invisible ? Qu'était-ce donc qui le poussait à partir, à revenir, à repartir encore puis qui le laissait en plan ? Sa voix virevoltait à présent, flottant, légère dans l'air paisible. »

dimanche 2 juillet 2017

Deux façons de concevoir sa vie

« Il y a deux façons de concevoir sa vie. Une est de penser que les miracles n'existent pas. Et l'autre de penser que chaque chose est un miracle. » (Albert Einstein)

Photo faite en juin 2016