samedi 28 avril 2018

vendredi 27 avril 2018

jeudi 26 avril 2018

Dialogue et encouragement (2)

Vous vous rappelez de l'histoire des deux orchidées (billet du 12 avril) ? la belle orchidée fleurie qui encourageait sa petite voisine à fleurir. Je vous avais promis une photo, la voici ! La petite orchidée a entendu le message de son aînée et elle a fleuri elle aussi. Regardez ! :-)

mardi 24 avril 2018

C'est la région où je vis...

... et elle est belle ! ♥

Prenez le temps de regarder cette courte vidéo, vous constaterez par vous-mêmes... :-)

vendredi 20 avril 2018

De l'animation, juste devant chez moi...

Ce matin

Le petit oiseau s'affaire pour préparer un nid douillet pour ses futurs petits.



Une mésange à longue queue s'affaire elle aussi, et observe.




Ce soir

La petite mésange charbonnière rêvasse devant une pâquerette.



lundi 16 avril 2018

Amusement...

J'essayais de photographier un merle à travers la baie vitrée, lorsque... je me suis vue ! oh !...


Le merle en question... :-)

samedi 14 avril 2018

LES REVEURS

 LES REVEURS  - Isabelle Carré 
Bien, très bien ce livre. Merci Agnès ! :-)

 Résumé 
« Quand l’enfance a pour décor les années 70, tout semble possible. Mais pour cette famille de rêveurs un peu déglinguée, formidablement touchante, le chemin de la liberté est périlleux. Isabelle Carré dit les couleurs acidulées de l’époque, la découverte du monde compliqué des adultes, leurs douloureuses métamorphoses, la force et la fragilité d’une jeune fille que le théâtre va révéler à elle-même. Une rare grâce d’écriture. »

 Extraits 
« J'en ai tellement entendu, que les mots et les images se sont gravés en moi. J'ai vieilli d'un seul coup et suis redevenue en même temps une petite fille, celle qui réclame sa part, sa part légitime : qu'on s'occupe d'elle comme on devrait s'occuper d'un enfant. A force de réclamer un dû qui ne viendrait jamais, la vieille dame et la petite fille se sont mêlées l'une à l'autre pour grandir, jusqu'à ce qu'on ne puisse plus les distinguer. »

« Pourquoi n’ai-je jamais su quitter les lieux que j’aimais ? Pourquoi est-ce si difficile de les laisser, d’accepter qu’on ne pourra pas les revoir car ils ne nous appartiennent plus, la porte s’est claquée pour toujours, le temps ne fera que nous en éloigner, à moins d’être un bon rêveur, celui qui se souvient toujours de ses rêves, de rêves si clairs et précis qu’ils permettent de s’y attarder encore, d’entrer à nouveau dans ces pièces de l’enfance, sans autre clé que le désir constant d’y revenir. »

« On devrait trouver des moyens pour empêcher qu’un parfum s’épuise, demander un engagement au vendeur – certifiez-moi d’abord qu’il sera sur les rayons pour cinquante ou soixante ans, sinon retirez-le tout de suite. Faites-le pour moi et pour tous ceux qui, grâce à un flacon acheté dans une parfumerie ou un grand magasin, retrouvent l’odeur de leur mère, l’odeur d’une maison, d’une époque bénie de leur vie, d’un premier amour ou, plus précieux encore, quasi inaccessible, l’odeur de leur enfance. »

« Dès qu’il la voit, il lui trouve une grâce, un éclat différent des femmes qu’il connaît. Sa peau est irréellement blanche, elle a l’air d’être de passage, comme si elle devait bientôt repartir pour une planète lointaine. Elle traverse l’espace, marche d’une pièce à l’autre, comme une somnambule. Elle n’est pas vraiment absente mais appartient à un autre plan sur le dessin. Pourtant elle capte toute la lumière. Il a devant lui une équation mystérieuse, un problème à résoudre, et il ne veut surtout pas qu’un autre le fasse à sa place. »

jeudi 12 avril 2018

Dialogue et encouragement...

La belle orchidée fleurie encourage sa petite voisine qui a pris du retard et qui a du mal à s'épanouir. Un dialogue s'est instauré entre elles et apparemment il a réussi puisque cette dernière a laissé gonfler ses bourgeons. De prochaines photos lorsque ceux-ci auront laissé place à de magnifiques fleurs... :-)

mardi 10 avril 2018

Rouge-queue noir femelle*

Le 25 mars dernier, j'avais posté une photo d'un rouge-queue noir mâle qui se trouvait sur le toit du nichoir. Aujourd'hui, c'est un rouge-queue noir femelle qui est venu(e) se poser dessus, peut-être s'agissait-il de sa dame ? Si oui, ils devraient se presser pour emménager car hier, c'était un couple de mésanges qui visitait les lieux... :-)



*Si je me suis trompée et qu'il ne s'agit pas d'un rouge-queue noir femelle, n'hésitez pas à me le signaler ! Merci.

dimanche 8 avril 2018

L'art de vivre...

Une petite citation du soir, cela faisait longtemps... :-)

L'art de vivre consiste à garder intact le sentiment de la vie et à ne jamais déserter le point d'émerveillement et de sidération qui seul permet à l'âme de voir.
(Christian Bobin)

vendredi 6 avril 2018

Ce coeur changeant

 CE COEUR CHANGEANT  de Agnès Desarthe
Un roman que j'ai aimé. Bien sûr, sinon je ne vous en parlerais pas... :-)

 Quatrième de couverture 
« Face à la vie, elle avait la même impression que lorsqu'elle regardait le paysage défiler par la fenêtre du train : si elle était dans le sens de la marche, le panorama semblait se jeter sur elle, et ses yeux affolés ne savaient à quel détail s'attacher ni quelle ligne suivre. Elle se sentait écrasée par l'image qui ne tenait pas en place, ne cessait de se transformer. Assise en sens inverse, elle retrouvait son calme et contemplait l'horizon jusqu'à sombrer dans le sommeil. Alors... alors, songeait-elle, peut-être pourrait-on dire que c'est la même chose lorsqu'on regarde soit en direction de l'avenir, soit vers le passé. Peut-être est-ce pour cela que j'ai tant besoin de mes souvenirs. »
Née à l'aube du XXe siècle, Rose débarque à Paris à 20 ans et se trouve projetée dans un univers totalement inconnu. L'affaire Dreyfus, puis la guerre de 14 éclatent. Les années folles se succèdent. Les bas-fonds, la vie de bohème, la solitude... Rose risque à tout moment de tomber.

Usant de toutes les ressources du romanesque, Agnès Desarthe mêle le murmure de l'intime et le souffle de l'Histoire dans ce grand livre baroque qui signe son retour à la fiction.

 Extrait  
« Elle protégeait les yeux de sa fille endormie, souriait aux autres voyageurs et regardait un instant le paysage fuir loin d'elle, car elle prenait soin de s'asseoir en sens inverse de la marche. C'était ainsi qu'elle avait toujours voyagé, songeait-elle, sans regarder vers l'avenir qui se précipitait sur vous comme une bête sauvage, mais plutôt tournée calmement vers le passé dont on parvenait à retenir certaines bribes tandis qu'il défilait à l'envers, jusqu'au néant. Se souvenir, quel luxe. Errer languissamment dans ces régions révolues qui n'attendaient rien de vous, n'appelaient aucune décision, aucun arbitrage. Le passé, une contrée qui ne s'offrait qu'à la contemplation. Elle se laisserait porter, à rebours si possible. Elle aurait voulu que le train roulât en sens inverse du temps, ainsi atteindrait-elle la stase, l'endroit de perfection, un sommet de la vie. Ida et moi dans le train, entre Paris et Sorø, pour toujours, proches encore de ce que nous quittons, loin cependant de ce qui nous attend. »

jeudi 5 avril 2018

Chardonneret élégant


Photo faite aujourd'hui. 
C'est la première fois que je vois un chardonneret élégant dans mon pré.
 Je suis contente !