« La maladie commence par un brutal accès de jalousie. Puis une boule dans la gorge. Elle descend dans l’estomac, noue vos entrailles. Vous vous sentez diminué, triste, inutile. Enfin, vous plongez dans l’abattement, irrité contre tout le monde et en particulier contre vous-même. C’est la nouvelle épidémie de "fomo". »
je viens de lire cet article aussi ! je suppose que pas mal de personnes en sont atteintes et que les pâtes parfois n'ont pas le même goût ! je me suis désinscrite de Facebook il y a longtemps ! chacun sa vie... je respecte
Coucou Françoise <3 J'ai lu l'article jusqu'au bout et apparemment j'ai bon ;o)) Tout pareil, je ne pense pas souffrir de "fomo" ! Je me suis inscrite sur Facebook à l' arrêt de mon travail pour raison de santé de ma maman et comme j'étais à la maison, cela m'a permis de ne pas briser le lien social <3 J'ai fait de très belles rencontres et je me réjouie du bonheur des autres, tout comme avant les réseaux sociaux :)) Douce soirée Claude
Je suis pas allergique au fomo... Je viens de recréer un compte FB et je trouve que raconter les journées banales seraient une bonne idée ! (cela soignerait tous ces fomo !)... Sourire.
Je pense que, même avant que n'existe le virtuel, il existait le "fomo", sous une autre forme, car la jalousie et le sentiment que l'herbe est meilleure chez le voisin, a toujours existé. Bonne soirée à toi, Suzame.
ah... je ne sais pas ce qu'est l'épidémie de fomo.... hi... j'irai voir de quoi il s'agit..... Moi je succombe à l'épidémie de bronchite, de grippe..... gros bisous lointains
Bonjour Françoise, je ne connaissais pas cette maladie. Il faut avouer que la vie « complètement fabuleuse » des autres qui s’étale sur Facebook, Twitter, Instagram et quelques blogs parfois n'est pas le reflet de la réalité. la plupart des gens enjolivent ou alors accentuent pour donner envie aux autres . Ce qui est faux bien entendu (je reviens à l'article) car le bon plat de pâtes sera toujours aussi savoureux et si l'on fait le choix de rester chez soi on va passer certainement une aussi bonne soirée que celles et ceux qui se force à nous faire croire que c'est le cas (et si c'est le cas , s'en vantent). Ce n'est pas ma conception de ces sites et je n'en fait pas usage pour cela . Merci pour cette éclairage , Françoise.
Bonsoir Jerry, Je ne sais pas si les gens font cela pour donner envie aux autres, ou bien s'ils le font pour se sentir exister, ce qui n'est pas mieux bien sûr. Mais n'avons-nous pas ce besoin, nous aussi, parfois ?... Moi non plus, je n'en fais pas usage pour cela. Juste partager quelques moments avec un cercle d'amis. Merci à toi, Jerry, de ton commentaire éclairé. :-) Bonne soirée.
Ne fréquentant pas Fessebouc, je ne sais pas de quoi il s'agit… Il y a longtemps que j'ai compris l'équation : comparaison = poison... quant au truc de penser qu'il faudrait toujours être au courant de tout… il n'y a pas plus belle manière que de creuser son malheur… Je suis toujours étonné de voir cette extraordinaire attirance pour vivre malheureux…
Ce ne sont pas les réseaux sociaux qui sont en cause, mais l'utilisation et l'importance que nous leur donnons.Idem pour l'actualité, trop d'information, tue l'information et nous oublions souvent de prendre du recul. Le sentiment d’être malheureux a toujours existé, reste inconscient d'une morale judéo-chretienne pour mériter son paradis. " Cueille le jour sans te soucier de quoi demain sera fait "
Coucou, je n'en souffre pas pour le moment en tout cas; je crois surtout qu'il ne faut pas écouter ou lire tout ce qui se dit; Il faut penser à soi d'abord et tout le reste n' a pas d'importance." On" veut nous culpabiliser, nous rabaisser, mais au fond qu'y a t-il de vrai dans tous ces écrits ou dans ces réseaux sociaux? Bonne journée. Bisous
Oui, Marie-Jeanne, il faut penser à soi d'abord. Et arrêter de regarder ce qui se passe chez le voisin, et se demander si c'est mieux ou pas ! :-) Bonne soirée à toi, et de gros bisous.
Merci pour vos petits mots que j'apprécie infiniment.
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je viens de lire cet article aussi ! je suppose que pas mal de personnes en sont atteintes
RépondreSupprimeret que les pâtes parfois n'ont pas le même goût ! je me suis désinscrite de Facebook il y a longtemps ! chacun sa vie... je respecte
Je suis sur Facebook, mais je n'en abuse pas, et surtout, je ne souffre pas de "fomo" en lisant les murs des autres. :-)
SupprimerBonne soirée à toi, Marty.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerMa langue avait fourché ... devant tout ce bonheur étalé.
SupprimerFomoter Fessedebouc, ça sent ... mauvais !!
Ecrit comme cela, évidemment... :-)
SupprimerCoucou Françoise <3
RépondreSupprimerJ'ai lu l'article jusqu'au bout et apparemment j'ai bon ;o))
Tout pareil, je ne pense pas souffrir de "fomo" !
Je me suis inscrite sur Facebook à l' arrêt de mon travail pour raison de santé de ma maman et comme j'étais à la maison, cela m'a permis de ne pas briser le lien social <3
J'ai fait de très belles rencontres et je me réjouie du bonheur des autres, tout comme avant les réseaux sociaux :))
Douce soirée
Claude
On peut être sur Facebook et ne pas souffrir de "fomo". Je le confirme, Claude. :-)
SupprimerDouce soirée à toi aussi. Bisous.
Oups... je me réjouis (désolée)
RépondreSupprimerClaude
pas grave, Claude... :-)
SupprimerJe ne suis pas la mode, cette maladie ne me touchera donc pas ;-)
RépondreSupprimerBonne soirée Françoise.
(sourire) J'en suis certaine, Philippe. :-)
SupprimerBonne soirée à toi aussi.
Je suis pas allergique au fomo...
RépondreSupprimerJe viens de recréer un compte FB et je trouve que raconter les journées banales seraient une bonne idée ! (cela soignerait tous ces fomo !)...
Sourire.
(sourire) Pourquoi pas, Gilles ! :-)
SupprimerBonne soirée.
Marrant, j'ai lu le même article hier.
RépondreSupprimerNon, je ne souffre pas de ce mal. J'envie quelquefois mais ne jalouse jamais.
Idem, Pascal. :-)
SupprimerBonjour Françoise
RépondreSupprimerPas de facebook, je ne me sens pas fomo du tout. Il m'arrive de zapper "mon petit monde bloguesque" pendant toute une semaine voir plus.
Par contre, me sentir diminuée, triste, inutile... oui... mais ça c'est une autre histoire qui n'a rien à voir avec le monde virtuel.
Passe une bonne journée.
Je pense que, même avant que n'existe le virtuel, il existait le "fomo", sous une autre forme, car la jalousie et le sentiment que l'herbe est meilleure chez le voisin, a toujours existé.
SupprimerBonne soirée à toi, Suzame.
ah... je ne sais pas ce qu'est l'épidémie de fomo.... hi... j'irai voir de quoi il s'agit.....
RépondreSupprimerMoi je succombe à l'épidémie de bronchite, de grippe..... gros bisous lointains
J'espère que tu vas mieux, Loula. Prends soin de toi, ma soeur gémelle. :-)
SupprimerGros bisous.
Je n'en suis pas atteinte mais j'en connais certain(e)s...
RépondreSupprimerGROS BISOUS
Gros bisous, Marité. :-)
SupprimerBonjour Françoise, je ne connaissais pas cette maladie. Il faut avouer que la vie « complètement fabuleuse » des autres qui s’étale sur Facebook, Twitter, Instagram et quelques blogs parfois n'est pas le reflet de la réalité. la plupart des gens enjolivent ou alors accentuent pour donner envie aux autres . Ce qui est faux bien entendu (je reviens à l'article) car le bon plat de pâtes sera toujours aussi savoureux et si l'on fait le choix de rester chez soi on va passer certainement une aussi bonne soirée que celles et ceux qui se force à nous faire croire que c'est le cas (et si c'est le cas , s'en vantent). Ce n'est pas ma conception de ces sites et je n'en fait pas usage pour cela . Merci pour cette éclairage , Françoise.
RépondreSupprimerBonsoir Jerry,
SupprimerJe ne sais pas si les gens font cela pour donner envie aux autres, ou bien s'ils le font pour se sentir exister, ce qui n'est pas mieux bien sûr. Mais n'avons-nous pas ce besoin, nous aussi, parfois ?...
Moi non plus, je n'en fais pas usage pour cela. Juste partager quelques moments avec un cercle d'amis.
Merci à toi, Jerry, de ton commentaire éclairé. :-)
Bonne soirée.
Françoise bonsoir et bien je ne connais pas cette maladie et j'irai en lire davantage*
RépondreSupprimerMais en tout cas je ne suis pas jalouse
GROS BISOUS Françoise
Te connaissant un peu, France, non je ne pense pas que tu sois quelqu'un qui souffre de jalousie. Gros bisous à toi aussi, et une bonne soirée.
SupprimerJ'ai connu quelqu'un qui souffrait de quelque chose dans ce genre et c'est surtout pénible pour l'autre ! Amitiés.
RépondreSupprimerC'est vrai, Ariaga, ce peut être pénible pour l'autre, en effet. :-)
SupprimerMerci de ta visite, bonne soirée.
Ne fréquentant pas Fessebouc, je ne sais pas de quoi il s'agit…
RépondreSupprimerIl y a longtemps que j'ai compris l'équation : comparaison = poison...
quant au truc de penser qu'il faudrait toujours être au courant de tout… il n'y a pas plus belle manière que de creuser son malheur…
Je suis toujours étonné de voir cette extraordinaire attirance pour vivre malheureux…
C'est vrai, Alain, des fois on le cultive vraiment son malheur... :-)
SupprimerBonne soirée à toi, et merci de ta visite.
ben non.....
RépondreSupprimerTant mieux, Sylvie. :-)
SupprimerCe ne sont pas les réseaux sociaux qui sont en cause, mais l'utilisation et l'importance que nous leur donnons.Idem pour l'actualité, trop d'information, tue l'information et nous oublions souvent de prendre du recul.
RépondreSupprimerLe sentiment d’être malheureux a toujours existé, reste inconscient d'une morale judéo-chretienne pour mériter son paradis.
" Cueille le jour sans te soucier de quoi demain sera fait "
Très belle et sage citation, et commentaire très juste, Tunkasina. Merci à toi. :-)
SupprimerBonne soirée.
Coucou, je n'en souffre pas pour le moment en tout cas; je crois surtout qu'il ne faut pas écouter ou lire tout ce qui se dit; Il faut penser à soi d'abord et tout le reste n' a pas d'importance." On" veut nous culpabiliser, nous rabaisser, mais au fond qu'y a t-il de vrai dans tous ces écrits ou dans ces réseaux sociaux?
RépondreSupprimerBonne journée. Bisous
Oui, Marie-Jeanne, il faut penser à soi d'abord. Et arrêter de regarder ce qui se passe chez le voisin, et se demander si c'est mieux ou pas ! :-)
SupprimerBonne soirée à toi, et de gros bisous.