« Rue des voleurs » est un roman de Mathias Énard (2012). J'ai entendu parler de ce livre chez
Noëlle, elle en disait du bien. Je l'ai donc pris à la médiathèque, et je l'ai lu. Je confirme : il est TRÈS bien.
La page de couverture :
« C’est un jeune Marocain de Tanger, un garçon sans histoire, un musulman
passable, juste trop avide de liberté et d’épanouissement, dans une
société peu libertaire. Au lycée, il a appris quelques bribes
d’espagnol, assez de français pour se gaver de Série Noire. Il attend
l’âge adulte en lorgnant les seins de sa cousine Meryem. C’est avec elle
qu’il va “fauter”, une fois et une seule. On les surprend : les coups
pleuvent, le voici à la rue, sans foi ni loi.
Commence alors une dérive qui l’amènera à servir les textes – et les
morts – de manières inattendues, à confronter ses cauchemars au réel, à
tutoyer l’amour et les projets d’exil.
Dans Rue des Voleurs, roman à vif et sur le vif, l’auteur de Zone
retrouve son territoire hypersensible à l’heure du Printemps arabe et
des révoltes indignées. Tandis que la Méditerranée s’embrase, l’Europe
vacille. Il faut toute la jeunesse, toute la naïveté, toute l’énergie du
jeune Tangérois pour traverser sans rebrousser chemin le champ de
bataille. Parcours d’un combattant sans cause, Rue des Voleurs est porté
par le rêve d’improbables apaisements, dans un avenir d’avance
confisqué, qu’éclairent pourtant la compagnie des livres, l’amour de
l’écrit et l’affirmation d’un humanisme arabe. »
.
A inscrire sur la liste des vœux et cadeaux à offrir. Merci pour cette découverte.
RépondreSupprimerC'est moi qui te remercie, Swan Li. :-)
SupprimerJe lirais bien ce roman, "Rue des voleurs". Merci pour le résumé.
RépondreSupprimerBonne journée Françoise.
Merci à toi, Bizak. Bonne soirée.
SupprimerBonjour Françoise, un joli résumé qui donne envie d'aller plus loin. Bonne journée. Bisous.
RépondreSupprimerUne douce nuit à toi, Marie. Bisous.
Supprimer