J'ai une tendresse toute particulière pour ces deux promeneuses.
Ce jour-là, il faisait très beau, le soleil resplendissait, nous les avons trouvées sur le chemin qu'elles ont l'habitude de prendre et que nous empruntons nous-mêmes régulièrement. Nous ne les avions pas vues de tout l'hiver.
Ces deux dames, toujours aussi charmantes et ravies d'échanger quelques mots avec nous.
Tout en discutant, nous les avons accompagnées un moment dans leurs pas.
Elles nous ont demandé des nouvelles de nos enfants, petits-enfants, et d'autres personnes connues d'elles et de nous.
Et puis nous les avons laissé marcher à leur rythme et avons repris le nôtre, en nous disant à très bientôt sur le même chemin.
J'ai toujours beaucoup de plaisir à les rencontrer, et aussi à les retrouver dès que les beaux jours arrivent. Et je me dis : c'est bien, elles ont passé l'hiver.
Je leur avais déjà consacré un billet en février 2022 → Comme une photo ancienne
Une série de photos faites lundi après-midi :
Le toutou aussi a passé l'hiver ! Tu as raison d'employer cette expression, les statistiques te donnent raison, même si les épidémies ou des épisodes caniculaires provoquent certaines fluctuations.
RépondreSupprimerEt peut-être, qui sait ? que ces deux charmantes dames se font la même réflexion pour vous :-)
Un joli chemin de retrouvailles, longue vie à vous toutes !
Oui, le toutou aussi a passé l'hiver ! :-)
SupprimerEt oui, peut-être qu'elles se sont fait la même réflexion, car personne n'est à l'abri d'un accident, voire pire...
Merci pour le "longue vie à toutes" et merci pour ton commentaire.
Bonne fin de journée, Rom.
En effet je me souviens que tu nous avais déjà parlé de ces dames. Je vais aller relire ton billet. Bonne soirée.
RépondreSupprimerMerci Chinou. Bonne soirée à toi aussi.
SupprimerCoucou. Un billet tendre. Nous sommes aussi rassurés que ces deux dames aient bien passé l'hiver. Certes, elles ont peut-être une ou deux rides en plus mais elles sont toujours vaillantes sur leurs deux jambes. On leur souhaite encore plein de balades durant le printemps et tout le reste de l'année d'ailleurs. Et à toi aussi. Bises alpines.
RépondreSupprimerCoucou Dédé
SupprimerOui, je le voulais tendre ce billet, j'aime beaucoup ces deux dames, si agréables, charmantes et souriantes.
Merci à toi. Bises bassoises.
Joli témoignage Françoise. J'avais ainsi plaisir à croiser au marché du samedi matin une très belle femme élégante, grande et mince, les cheveux de neige et toujours un sourire sur le visage. Elle était l'un de mes repères du samedi matin.Je l'ai vue vieillir doucement toujours avec élégance...et un jour je ne l'ai plus vue...
RépondreSupprimerOui, le temps avait passé, et la belle dame avait vieilli... et enfin traversé l'ultime passage...
SupprimerMerci de ton commentaire, Suzame. Bonne soirée.
Bonsoir Françoise
RépondreSupprimerJe ne me souvenais plus de la date mais je me rappelle très bien de ton billet.
En cette période où tout est sombre, voir très sombre, c'est le genre de nouvelle qui fait du bien.
Merci à toi, bonne soirée !!!
Bonsoir gitantroubadour
SupprimerOui, un peu de légèreté et de belles choses font du bien, tu as raison.
C'est moi qui te remercie. Bonne soirée !
Lors de ma dernière promenade j'ai croisé le sosie de mon amie N décédée depuis 17 ans. J'ai cru que mon coeur s'arrêtait. La même allure, la même taille, la même couleur de cheveux... Les derniers mois de sa vie, souffrant d'une maladie du coeur, elle ne pouvait plus marcher... Et là, son sosie arrivait face à mois en avançant d'un bon pas !
RépondreSupprimerJe comprends ce que tu as pu ressentir, Biche. J'avais croisé le sosie de mon frère quelques mois après sa mort, c'était à une soirée musicale, il était quasi en face de moi, cela m'avait fait très bizarre. Il a dû se demander pourquoi je le regardais ainsi, mais c'était plus fort que moi, mon regard ne pouvait s'en détacher. Étrange sensation...
SupprimerSans vouloir faire une comparaison avec ce que vous avez ressentie, l'une ou l'autre, la situation n'étant pas la même, j'ai toujours trouvé juste et belle l'impression décrite par Michel Jonasz dans une de ses chansons.
SupprimerL'autre jour, j'ai vu quelqu'un qui te ressemble
Et la rue était comme une photo qui tremble.
Très belle chanson de Michel Jonasz que je viens de réécouter.
SupprimerOui, c'est joliment dit et tellement vrai...
Merci Rom.
C'est vrai que comme toi cela m'arrive de croiser sur nos chemins des personnes qui d'année en année prennent de l'âge (comme nous!) c'est toujours un plaisir d'échanger. Bisous et une bonne fin de semaine (je ne reçois à nouveau plus les news de ce blog-ci, c'est rageant...)
RépondreSupprimerSi tu veux recevoir à nouveau les news de ce blog-ci, il faudrait que tu te réabonnes, c'est ce qu'a fait gitantroubadour qui avait le même problème que toi.
SupprimerBonne fin de semaine, et bon week-end à toi. Bisous.
Ce billet est non seulement touchant, il est rassurant. Ces promenades quotidiennes ressemblent à un cadeau de la vie, une récompenses qu'elles apprécient. Nous voudrions prendre soin d'elles, les gâter un peu.
RépondreSupprimerBonsoir Grand-Langue
SupprimerOui, merci pour ce commentaire tout à fait en harmonie avec ce billet.
Bonne soirée, et merci de votre visite.
Je suis d'accord, les revoir passer, c'est un peu comme si le temps arrêtait sa course folle, c'est rassurant comme de revoir un vieil arbre refaire des bourgeons.
RépondreSupprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Oui, tout à fait, Célestine, c'est rassurant et réconfortant. :-)
SupprimerBelle journée à toi, bisous.