« Ténébreux, vénéneux, à la marge. Alain Klingler avance, depuis une quinzaine d'années, ayant sûrement fait le deuil d'un succès populaire — et peut-être même d'une reconnaissance critique. Trop difficile, et parfois dérangeant. Pourtant, il y a quelque chose d'attirant et d'intrigant dans ses chansons de feu. Où la voix toujours douce et l'interprétation étonnamment sobre portent des mots tranchants.
Après avoir flirté avec l'électro pop, Klingler revient ici vers une expression piano/voix. Il reprend de vieux titres, en crée de nouveaux, chante Baudelaire, cite Ferré et Barbara... même si s'entend surtout l'écho de Guidoni. Filiation évidente, tissée d'audaces, de subversions et d'une noirceur fière de l'être. L'amertume pointe, la violence des sentiments bouillonne. Klingler chante ses propres textes ou met en musique ceux d'Elisa Point, Monsieur Poli, Catherine Pozzi (noms familiers aux oreilles des initiés). Son disque oscille entre le bilan et l'autoportrait. Sans concession. » — Valérie Lehoux
Source : Télérama
Merci du partage.
RépondreSupprimerBon week-end Françoise
BIZZZ ✰✯✮ Laure ✮✯✰
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Merci à toi pour ta fidélité, Laure :-)
SupprimerBonne fin de week-end, et gros bisous.