Parfois, c'est la timidité, qui fait que nous nous taisons.
Parfois, c'est l'orgueil, l'amour-propre, qui nous empêchent de dire ce que nous ressentons vraiment et qui nous empêchent d'avouer nos véritables attentes, nos véritables désirs.
Ce peut être aussi la peur du rejet. C'est terrible la peur du rejet. Alors, pour se protéger (du moins, le croit-on) nous préférons ne rien dire et ne rien dévoiler de nos sentiments, de nos émotions.
Et puis, un jour, peut-être avons-nous été mal compris, et maintenant nous évitons de dire, pour éviter un autre éventuel malentendu.
Mais quel dommage, tout de même, de tout garder au fond de soi et de ne rien dire...
Oui, je pense que c'est ça. Un jour nous avons été mal compris,et par la suite, on se tait. On exprime plus ses sentiments, ses attentes, ses souhaits.
RépondreSupprimerTu parles de rejet, cela me fait penser au livre de LISE BOURBEAU... Je me suis retrouvée dans ce thème, alors que je pensais à toute autre blessure qu'a celle-ci.
Quand nous sommes enfant nous n'avons pas ce recul là, c'est au fil des années que nous apprenons à devenir ainsi. Dommage, quelque part nous gachons une partie de nous.
Bisous FRANCOISE bonne soirée.
RE pour un autre sujet...
RépondreSupprimerJe viens de m'apercevoir que tu as modifié le paragraphe POURQUOI CE BLOG.
J'aime bien, il est très significatif, et très positif.
T'chao,t'chao bisous
Il y a plein de raisons pour "ne rien dire", des bonnes et des mauvaises. Mais la peur du rejet, oui, est terrible et remonte, bien souvent, à l'enfance. Je ferai un billet juste sur ce sujet bientôt.
RépondreSupprimerTu aimes mon texte d'intro ? Tant mieux, Marie. Et de plus, tu as bien compris le sens que je voulais lui donner (sourire).
Bonne soirée à toi, et gros bisous.
J'hadère totalement à ce que tu as dit. La peur du rejet, de n'avoir pas de valeur. Parfois je ne dis rien, et d'autrefois j'ai l'impression de trop parler, de dire des choses sans intérêt. Et alors je m'en veux, je pense que j'ai été ridicule. Il m'arrive aussi d'être étourdie, de parler et de penser après surtout au travail. Bonsoir, Michelle
RépondreSupprimerIl faudrait vraiment apprendre à dire, à parler, sans avoir peur des autres, sans avoir peur de la réaction des autres, ce serait tellement bien...
RépondreSupprimerEt puis, de toute façon, nous ne pouvons pas plaire à tout le monde, il faut bien qu'on se le dise. Quoique l'on fasse, quoique l'on dise, nous ne ferons pas l'unanimité.
Alors pourquoi se priver de parler ?...
souvent on aimerait que les autres devinent nos pensées et nos attentes et agissent en conséquence; alors qu'il serait tellement plus simple de le dire clairement
RépondreSupprimerCe serait plus simple, en effet, plutôt que d'imaginer, parfois, des choses qui sont fausses, et de se faire du mal...
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