« Le coquelicot dresse dans les champs sa fleur sauvage et frêle, résistante et singulière, que personne n’a plantée, dont la flamme parcourt les champs comme un message. » (Marcel Proust)
" Coquelicot. C'est un cri, c'est un appel, c'est un mot de joues rouges et de course folle dans les blés, de mollets piqués par les chardons, de roulades et de cul par-dessus tête dans le fossé.
C'est un mot claquant, insolent, cueille-moi si tu l'oses, je me fanerai aussitôt mais regarde : je suis légion. Je pousse et je re-pousse, et dans cette flaque rouge tu ne sais plus où poser les yeux. Coquelicots, cavalcade, concours à qui sera le plus rouge, tes joues ou moi. " Anne Sylvestre
Une fleur fragile qu'enfant nous n'hésitions pas à couper pour retourner les pétales en forme de jupe autour du coeur noir simulant ainsi une petite danseuse !
Il est vrai qu'il est tentant de le faire, Chinou ! Moi, j'aimais prendre la fleur non ouverte et déployer moi-même ses pétales, c'était magique en quelque sorte de découvrir ce coeur noir. :-)
Comme Chinou, enfant je retournais les pétales pour en faire une danseuse.... Fragile mais coriace aussi, on le rencontre parfois dans des terrains hostiles à toutes végétations. Merci pour cette touche de couleur, bonne soirée Françoise !!!
Tout à fait, gitantroubadour, le coquelicot n'a pas besoin de grand chose pour pousser, c'est pour cela qu'il traverse aussi aisément le temps ! :-) Merci à toi. Bonne fin d'après-midi.
Moi aussi je faisais une petite poupée avec sa jupe froissée et je jouais à la faire danser. Pour moi cette fleur est le symbole du mois de mai plus que le muguet ! bises et une belle journée
Merci pour vos petits mots que j'apprécie infiniment.
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" Coquelicot. C'est un cri, c'est un appel, c'est un mot de joues rouges et de course folle dans les blés, de mollets piqués par les chardons, de roulades et de cul par-dessus tête dans le fossé.
RépondreSupprimerC'est un mot claquant, insolent, cueille-moi si tu l'oses, je me fanerai aussitôt mais regarde : je suis légion. Je pousse et je re-pousse, et dans cette flaque rouge tu ne sais plus où poser les yeux. Coquelicots, cavalcade, concours à qui sera le plus rouge, tes joues ou moi. "
Anne Sylvestre
Ooooh... Merci Marie pour ces jolis mots d'Anne Sylvestre ! :-)
SupprimerCoquelicot éphémère et fragile mais si vivant!
RépondreSupprimerOui Ghislaine, c'est joliment dit ! :-)
SupprimerUne fleur fragile qu'enfant nous n'hésitions pas à couper pour retourner les pétales en forme de jupe autour du coeur noir simulant ainsi une petite danseuse !
RépondreSupprimerIl est vrai qu'il est tentant de le faire, Chinou !
SupprimerMoi, j'aimais prendre la fleur non ouverte et déployer moi-même ses pétales, c'était magique en quelque sorte de découvrir ce coeur noir. :-)
Comme Chinou, enfant je retournais les pétales pour en faire une danseuse....
RépondreSupprimerFragile mais coriace aussi, on le rencontre parfois dans des terrains hostiles à toutes végétations.
Merci pour cette touche de couleur, bonne soirée Françoise !!!
Tout à fait, gitantroubadour, le coquelicot n'a pas besoin de grand chose pour pousser, c'est pour cela qu'il traverse aussi aisément le temps ! :-)
SupprimerMerci à toi. Bonne fin d'après-midi.
Une fleur qui m'évoque Bobin...et aussi les tableaux de Provence...:-)
RépondreSupprimerBises
Et que nos coeurs chaque jour s'ouvrent à la fraîcheur et à l'éclat des coquelicots. (sourire)
SupprimerBises, La Licorne.
Quelle belle photo !
RépondreSupprimerMerci Manou ! :-)
SupprimerMoi aussi je faisais une petite poupée avec sa jupe froissée et je jouais à la faire danser. Pour moi cette fleur est le symbole du mois de mai plus que le muguet ! bises et une belle journée
RépondreSupprimerDans le pré où se trouvait ce coquelicot, il y avait aussi des bleuets, c'était magnifique ! :-)
SupprimerBelle fin de journée, Manou. Bises itou.
Ils reviennent en force dans les champs, et c'est un bon signe, il paraît...
RépondreSupprimerLe tien est merveilleux.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Oui, c'est un bon signe, Célestine, je confirme ! :-)
SupprimerBisous, belle Amie.
Pourquoi chaque fois que je vois le coquelicot monte à mes lèvres ce poème
RépondreSupprimerEtais-je donc si amoureux de ma prof d'espagnol ? :-)
¡ Amapola,sangre de la tierra
amapola, herida del sol
boca de la primavera azul
amapola de mi corazón !
(Juan Ramón Jimenez)
Peut-être... un poco, mucho, apasionadamente, locamente ? (sourire)
SupprimerEn tous cas, un bien joli souvenir, Alain. :-)
Bonsoir Françoise, ton coquelicot est un peu timide, non ? ;-)
RépondreSupprimerOui, Philippe, timide et pudique ! :-)
SupprimerBelle fin de journée à toi.
merveilleux coquelicot... ohhhhhhh comme je l'aime!
RépondreSupprimerOui, Coumarine, je le sais... (sourire)
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