« Je suis aujourd'hui une femme partagée entre la terreur que tout change et la terreur que tout reste pareil jusqu'à la fin de mes jours. »
-> Paulo Coelho
Je suis sûre que beaucoup d'entre vous se reconnaîtront, moi la première. Je n'emploierais toutefois pas le mot "terreur" mais le mot "peur" ce qui n'est déjà pas rien...
.
perso, je n'ai plus peur, car c'et un sentiment négatif qui nous tire vers le bas. Se Faire confiance, faire ce que l'on a à faire, dans la patience, la persévérance, l'adaptabilité, la conscience, la pleine conscience, tout en gardant son entité propre et fantasque ! en bref, la vie est courte, merde ! :)
RépondreSupprimer(sourire) Tu es arrivée à te débarrasser de cette peur, Avalon, et j'en suis heureuse pour toi ! :-)
SupprimerGros bisous, et une belle fin de semaine.
Si tout restait pareil… je trouverai déjà cela pas mal… mais je sais bien que c'est impossible car rien n'est permanent… même pas cette "peur" qui nous assaille parfois.
RépondreSupprimerLe mieux est donc de rester "ouvert" au changement et d'accueillir les surprises que la vie nous réserve avec humilité.
Bisous, Lolo
C'est très joliment dit, Laure. J'aime ton commentaire. Merci. :-)
SupprimerBisous, et une bonne soirée.
Quelle monotonie qu'une existence sans changement...il en est que tu ne peux "contrôler", mais la plupart du temps, c'est toi qui reste maître (esse) de ces changements et découvertes heureusement suggérés ou recherchés...
RépondreSupprimerBises à toi Françoise!
Tu sais, Hubert, l'un de mes traits de caractère est l'indécision, un pas en avant, un pas en arrière... mais après tout, parfois, même en reculant, on avance... :-)
SupprimerBises à toi aussi, et merci de ta visite.
Le changement est stimulant et réconfortant. Ce qui l'est moins, c'est sa vitesse grandissante et la prise de plus faible que nous avons sur lui.
RépondreSupprimerEh oui, Jackss, tout est impermanence. Mais parfois, cela va trop vite, en effet.
SupprimerMerci de ta visite, et belle journée (il fait encore jour chez toi, je crois ?... :-))
le changement exige toujours de lâcher quelque chose, quand on fait les armoires et qu'on range des vêtements qu'on ne porte plus dans une autre armoire on n'a rien changé du tout sauf de place, J''aime le changement et je m'adapte facilement (non ce n'est pas une annonce pour être adoptée) enfin à présent et au fil de mon analyse, je ne sais plus dans quel état j'erre, mais je fais une grosse bise à Françoise, mon aminaute préférée.Merci pour ce blog.
RépondreSupprimer(sourire) J'aime ton humour glissé dans ton commentaire. :-)
SupprimerC'est moi qui te remercie, ma fidèle lectrice ! Gros bisous.
Moi je suis dans la terreur de voir la tête de Hollande pendant encore trois ans
RépondreSupprimer« le changement (de président) c'est maintenant »
(rire) C'est vrai que... Enfin, bref !... :-)
SupprimerBonne soirée, Alain.
Je te comprends très bien...Françoise...
RépondreSupprimerje crois que, dans les périodes de changement, il faut parfois "ne pas trop penser"...et suivre son intuition le plus naturellement possible...
Comme ça, on ne se penche pas trop sur ce "qu'on laisse derrière"...on se concentre sur le nouveau...
Bises amicales.
Il faut suivre son intuition, oui, car celle-ci ne ment jamais. Se poser trop de questions embrouille, en effet.
SupprimerMerci pour ton commentaire, La Licorne. Une belle soirée à toi. Bises.
AlainX,
RépondreSupprimerTrès drôle!
J'aime l'humour d'Alain. :-)
SupprimerBonjour,
RépondreSupprimerLe mouvement est "vie", l'immobilisme est "mort"...
Chacun d'entre nous a une inclinaison d'existence.
Mais avoir peur des deux ?
Etrange...
Un peu comme l'échec (qui est enseignant) et la réussite (qui est inhibitrice) ; deux faces de la même pièce.
Je suis d'accord avec toi, le mot "terreur" est inapproprié...
Cet auteur Coelho, met le doigt sur un paradoxe de l'humain ; paradoxe ou dégénérescence...
En ce qui me concerne, l'immobilisme ne diminue ; le mouvement me grandit.
Je préfère tout perdre et "vivre" que conserver et "mourir".
Bonne journée ensoleillée...
Bonsoir Le rônin
SupprimerJe suis tout à fait d'accord avec ton commentaire, mais si, on peut avoir peur des deux, c'est possible. Etre partagé, être indécis, ne pas arriver à choisir... Rester sur place ou bien avancer. Ce n'est pas toujours évident, à moins de vivre seul, sans attaches. Je ne sais pas...
Merci pour ta visite, et une belle soirée à toi.