Il ne faut pas croire nos forces illimitées. Nous devons nous protéger des souffrances inutiles : celles qui ne sont pas inévitables. Et nous montrer vigilants face à toutes les formes d'agression qui nous mettent peu à peu dans un état d'épuisement. L'épuisement augmente le seuil de réceptivité aux agressions : ce qui, sur un corps reposé, ne produit aucun effet, provoque à l'opposé, sur un corps fatigué, des altérations importantes. Notre sensibilité est exacerbée à cette occasion, laissant apparaître ce qui demandait à être oublié : une sensation de solitude, de rejet ou d'abandon. La répercussion symbolique des événements est alors bien plus lourde de conséquences que les événements eux-mêmes : fragilisés, nous les chargeons d'un sens qu'ils n'ont pas, et nous nous compliquons la vie pour rien. "Quand je suis malheureux, je deviens complètement parano, tout m'agresse, je me méfie de tout le monde, et je me sens trahi, justement par ceux que j'aime le plus."
Extrait du livre "Aime-toi, la vie t'aimera" de Catherine Bensaïd.
C'est vrai que lorsque nous sommes fatigués et épuisés, moralement ou physiquement, nous pouvons ne pas avoir un comportement habituel et réagir d'une façon différente, avoir une réaction disproportionnée par rapport à l'événement, ce qui peut parfois décontenancer nos proches ou nos amis.
Alors, s'il vous plaît, si cela nous arrive, essayez de comprendre avant de juger, et surtout... ne nous en tenez pas rigueur !!!... ;-)))
Ne pas en tenir rigueur...inscrire dans un petit coin le mot: Tolérance...
RépondreSupprimerOui, Hubert, le mot : Tolérance...
RépondreSupprimerMerci à toi, et belle journée.
NO COMMENT !!!! juste, MERCI FRANÇOISE !!!!
RépondreSupprimerbisous et excellente journée à toi.
(sourire) Belle journée à toi aussi, Marie :-))
RépondreSupprimerGros bisous.
C'est tout à fait juste Françoise,il y a des fois où la simple goutte d'eau de trop se transforme en véritable déluge.
RépondreSupprimerOui, une toute petite goutte d'eau, qu'on n'aurait jamais imaginée capable de déclencher une telle tempête...
RépondreSupprimerMais si le mot "Tolérance" existe, c'est bien qu'il a une bonne raison d'exister, en l'occurrence, dans de telles situations...