Certaines attitudes, certains comportements peuvent nous agacer chez certains de nos amis, de nos proches. Ou bien nous les acceptons avec leurs défauts (enfin, qui sont pour nous des défauts, mais en sont-ils vraiment ?), ou bien nous décidons d'arrêter de les fréquenter. Il ne faut pas oublier que nous ne sommes pas parfaits nous non plus (et heureusement), et certaines de nos attitudes peuvent aussi agacer les autres.
Aimer les gens, c'est les accepter tels qu'ils sont, et ne pas vouloir les mettre dans un moule qui ne serait pas le leur. Ils ne seraient plus eux. Qu'est-ce que ce serait ennuyeux de pouvoir formater les gens comme nous le voudrions ! *
De toute façon, comme je le dis souvent, nous ne pouvons pas plaire à tout le monde et nous ne pouvons pas non plus pas aimer tout le monde. C'est logique. Et c'est tant mieux.
Et aussi, et surtout, ne rien exiger, que ce soit en amitié ou en amour. Si nous respectons les autres, si nous les aimons, nous n'avons pas le droit d'exiger, d'imposer.
Savoir accepter ce que l'on nous donne, donner sans forcément attendre en retour, voilà ce que devraient être les relations avec les gens que nous aimons. Pas toujours facile, je vous l'accorde, mais au moins pas de frustration et pas d'attente. Juste le plaisir de recevoir et de donner. Utopique ? Peut-être... mais réalisable, oui, sûrement.
Voici déjà le résumé de l'histoire : cliquez sur Résumé
FRANÇOISE
RépondreSupprimeret oui, prendre les autres tels qu'ils sont et qu'ils nous prennent tel que l'on est. Si chacun s'appliquait à le mettre en pratique, la vie serait quand même moins complexe!!!
Et tant en amitié qu'en amour ne rien exiger, ne pas imposer...
et aussi ne pas s'imposer ;-)...
Ah le titre du livre de BORIS VIAN m'interpelle, j'ai hâte que tu nous fasses un billet à ce propos.
Bisous bon après-midi FRANÇOISE
Moins complexe, et moins compliquée, c'est sûr, Marie !
RépondreSupprimerOui, ne pas s'imposer non plus, tu as raison ;-)
Je parlerai de ce livre prochainement, mais je ne pourrai en dévoiler la fin si vous voulez la lire, c'est la fin qui m'a trop plu, en fait ;-)
Bon après-midi à toi, Marie.
Gros bisous.
Je voulais te dire que je suis passée te lire et que bien évidement, je repasserai commenter....
RépondreSupprimerJuste une petite parenthèse (je parlais avec un ami d'un corps, des petits défauts et il m'a dit "défauts? Mais par rapport à quelle norme?".)
Il a raison..... Les défauts des autres, n'en sont peut être pas pour nous ou pour d'autres encore...
Donne, donne Françoise, n'attends rien et ce que tu recevras ne sera que Cadeau, cadeau magique, petit bonheur du jour....
mais je reviendrai
Mille bisous
Infini
Bonsoir Infini :-)
RépondreSupprimerOui, en fait, qu'est la normalité ? Je me pose souvent la question. Sur quoi se réfère-t-on pour dire qu'untel est normal ou pas ? Tu touches un sujet qui m'est cher, Infini ;-)
Oui, je vais essayer, Infini. Parce que tout ce que j'écris, je ne le fais pas forcément, mais je le pense. Alors, action !... ;-)
A bientôt, et merci.
Mille bisous à toi aussi.
FRANCOISE?
RépondreSupprimerpour le livre de BORIS VIAN, commences par raconter la fin comme ça tout le monde pensera que c'est début... non !!! ben tant pis !!!
ah si tu savais comme je respire ( depuis 2 jours...)je retrouve le côté sain de cet espace
Bisous FRANCOISE
Peut-être bien que je le raconterai un peu, on verra... ;-)
RépondreSupprimerTu respires ?... tant mieux, Marie :-)
Bisous à toi aussi, et bonne soirée.
FRANCOISE
RépondreSupprimerDu coup tu m'as donné faim de la fin.. du livre...
bah, j'ai envie de plaisanter ce soir, tellement je suis contente de retrouver ton "mon" blog préféré ;-)))))
yesssssssssssssss !!!!!
ce qui n'est pas toujours évident, c'est de ne pas avoir d'attentes... ce ne pas faire pression sur l'autre... de ne as être déçu, ce qui risque d'abîmer quelque peu la relation...
RépondreSupprimerJe ne connais pas ce livre de Boris Vian dont tu parles...
@(sourire) Marie.
RépondreSupprimerEh bien, je suis contente que tu soies contente, tiens !... ;-)
Gros bisous à toi, et bonne fin de soirée.
@Oui, je sais bien, Coumarine, ce n'est pas évident de ne pas avoir d'attente, et tout ce que tu dis. Mais si l'on fait trop pression, on risque aussi de faire fuire l'autre, non ?...
Tu ne connais pas ce livre ? Il faudra absolument que j'en parle, alors ;-)
Bonne soirée à toi.
Coucou!
RépondreSupprimerJe l'ai lu quand j'étais jeune, plus jeune, comme "l'Ecume des Jours" aussi, à la même époque, mais faudrait peut être que j'y revienne. Aucun souvenirs. J'étais peut être trop jeune pour comprendre toute la poésie de ces livres, tous les messages.
Mais parle nous en, fais moi remonter les souvenirs...
De gros bisous
Coucou Barbara !
RépondreSupprimerMoi aussi, je l'avais d'abord lu il y a très longtemps, je ne sais plus à qui était le livre, et puis il y a quelques années, je l'ai acheté et je l'ai relu. Boris Vian avec son humour cru et féroce, mais aussi, oui, sa si belle poésie. On aime ou on n'aime pas. Je choisirai des extraits dès que j'aurai un peu plus de temps, promis.
Gros bisous à toi aussi, et belle journée !
Très belle réflexion! ;) Je suis d'accord avec le fait qu'a partir du moment ou nous aimons vraiment les gens, et qu'ils nous tiennent à coeur, on les accepte tels qu'ils sont. Mais parfois ça dépend de nos limites, aimer n'est pas tout accepter, et je peux très bien me rendre compte que les amis que j'aimais auparavant, ne sont plus vraiment des amis au final, puisqu'a mes yeux ils ne me respectent plus, me font du mal etc comment accepter quelqu'un qui nous fait du mal? (agressions etc) ... Mais par ex avec mon copain, comme je l'aime vraiment, je l'ai toujours accepté tel qu'il était, et de mon coté, en fait, plus j'aime les gens, plus je suis sincère avec eux, donc je leur fait part de leurs défauts de manière douce sans pour autant les brusquer, mais je l'aime toujours autant avec ses défauts ET qualités (mais je trouve que c'est bien d'en parler justement)Sans nos amis, nos proches, nous ne savons pas vraiment qui nous sommes, l'ami que nous avons est une image de nous même.
RépondreSupprimerOui, Anonyme, bien souvent, nos amis sont notre propre reflet, notre miroir, c'est bien connu d'ailleurs.
RépondreSupprimerAimer les gens tels qu'ils sont, oui, mais comme vous le dites, s'ils nous font du mal, il vaut mieux les éviter, et ne plus avoir de contact avec eux. Il faut avant tout se respecter et se protéger.
Pouvoir dire les choses à ses amis est très bien, avec un minimum de délicatesse, bien sûr, la sincérité, c'est très important dans toute relation.
Merci beaucoup pour ce commentaire très intéressant, et merci pour votre visite, Anonyme.
Belle journée à vous !
Bonjour,
RépondreSupprimerVoici un papillon de juillet qui s'en vient chatouiller mon p'tit matin de décembre...
Heureux vol.
Il y aurait tant à ajouter encore à vos mots,
j'imagine déjà les prudences qu'il faudrait y mettre tant il faut aussi savoir se protéger,
les frontières que nous pourrions aussi franchir tant la tolérance usurpe encore ce qui devrait être le simple respect,
mais... Votre billet est si bienvenu, il peut s'inviter à toutes heures, entre médias boulimiques et tracas ordinaires, entre l'oubli de l'autre et nos fragiles humeurs... Entre mon premier p'tit café et ce jour qui s'invite, heureux.
Votre billet m'est doux comme le miel,
et si, reçue d'un de mes proches aimés, une 'tite agacerie s'en vient,
je la recevrai comme une fantaisie heureuse, me rappelant que mes exigences cachent souvent le meilleur de ce que l'heure et ceux qui la partagent ont à m'offrir.
C'était bon de vous lire,
merci.
Une passagère qui se retire, le sourire sur la face et la belle humeur engageante...
Une toute belle journée à vous,
cordialement,
Lydaine.
Mais je dois dire que c'était bon de vous lire aussi, Lydaine (sourire), et je vous remercie pour vos mots et votre passage. Je vais aller visiter votre univers, il doit être beau, lui aussi, j'en suis sûre :-)
SupprimerBelle soirée à vous, et douce nuit. A bientôt ! :-)