Je ne t'ai jamais dit Mais nous sommes sommes immortels Pourquoi es-tu parti avant que je te l'apprenne ? Le savais-tu déjà ? Avais-tu deviné ? Que des dieux se cachaient sous des faces avinées
Mortels, mortels, nous sommes immortels Je ne t'ai jamais dit mais nous sommes immortels
As-tu vu ces lumières, ces pourvoyeuses d'été Ces leveuses de barrières, toutes ces larmes épuisées Les baisers reçus, savais-tu qu'ils duraient ? Qu'en se mordant la bouche, le goût en revenait
Mortels, mortels, nous sommes immortels Je ne t'ai jamais dit mais nous sommes immortels
As-tu senti parfois que rien ne finissait ? Et qu'on soit là ou pas, quand même, on y serait Et toi qui n'es plus là c'est comme si tu étais Plus immortel que moi mais je te suis de près
Mortels, mortels, nous sommes immortels Je ne t'ai jamais dit mais nous sommes immortels
Mortels, mortels, nous sommes immortels Je ne t'ai jamais dit mais nous sommes immortels
Coucou. J'ai eu la chance de le voir une fois en concert. Ce fut un grand moment de chanson et de poésie. Cette chanson ne déroge pas à la règle. Il a raison Alain, nous sommes immortels puisque nous continuons à vivre, même après notre départ, dans le coeur de nos proches. C'est à cela que servent les souvenirs. Ils apaisent la peine. Bises alpines affectueuses.
Coucou Dédé Je ne l'ai jamais vu en concert, j'aurais aimé, j'ai trop attendu. Oui, j'imagine l'émotion et la magie d'un tel moment. Merci Dédé. Belle semaine à toi, bises bassoises.
Encore une chanson magnifique de ce magicien des mots, de ce compositeur inspiré, de cet interprète à la voix chaleureuse et inimitable …Il nous manque
Merci pour vos petits mots que j'apprécie infiniment.
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Je ne t'ai jamais dit
RépondreSupprimerMais nous sommes sommes immortels
Pourquoi es-tu parti avant que je te l'apprenne ?
Le savais-tu déjà ?
Avais-tu deviné ?
Que des dieux se cachaient sous des faces avinées
Mortels, mortels, nous sommes immortels
Je ne t'ai jamais dit mais nous sommes immortels
As-tu vu ces lumières, ces pourvoyeuses d'été
Ces leveuses de barrières, toutes ces larmes épuisées
Les baisers reçus, savais-tu qu'ils duraient ?
Qu'en se mordant la bouche, le goût en revenait
Mortels, mortels, nous sommes immortels
Je ne t'ai jamais dit mais nous sommes immortels
As-tu senti parfois que rien ne finissait ?
Et qu'on soit là ou pas, quand même, on y serait
Et toi qui n'es plus là c'est comme si tu étais
Plus immortel que moi mais je te suis de près
Mortels, mortels, nous sommes immortels
Je ne t'ai jamais dit mais nous sommes immortels
Mortels, mortels, nous sommes immortels
Je ne t'ai jamais dit mais nous sommes immortels
Ceux qui sont partis vivent à tout jamais dans nos coeurs
RépondreSupprimerOui, c'est tout à fait cela, Marie.
SupprimerBelle semaine à toi.
Coucou. J'ai eu la chance de le voir une fois en concert. Ce fut un grand moment de chanson et de poésie. Cette chanson ne déroge pas à la règle. Il a raison Alain, nous sommes immortels puisque nous continuons à vivre, même après notre départ, dans le coeur de nos proches. C'est à cela que servent les souvenirs. Ils apaisent la peine. Bises alpines affectueuses.
RépondreSupprimerCoucou Dédé
SupprimerJe ne l'ai jamais vu en concert, j'aurais aimé, j'ai trop attendu. Oui, j'imagine l'émotion et la magie d'un tel moment.
Merci Dédé. Belle semaine à toi, bises bassoises.
Encore une chanson magnifique de ce magicien des mots, de ce compositeur inspiré, de cet interprète à la voix chaleureuse et inimitable …Il nous manque
RépondreSupprimerOui, il nous manque... heureusement, ses chansons restent.
SupprimerBonne soirée, Antoine.
Très belle chanson d'un artiste que j'adorais......
RépondreSupprimerMerci Françoise !!!
Avec plaisir, gitantroubadour ! :-)
SupprimerBelle soirée.