jeudi 5 décembre 2013
Certes elle nous protège mais elle nous emprisonne aussi
On met des années à se construire une carapace... Certes elle nous protège mais elle nous emprisonne aussi. Il faudra bien, tôt ou tard, trouver le moyen d'en sortir afin de se dégager de nos blocages et de libérer l'élan vital en nous.
-> Lise Côté
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A mesure que l'élan vital se développe en nous, la carapace se fendille d'elle-même et tombe peu à peu ...devenue inutile...
RépondreSupprimerSinon.. il faut la garder. Elle protège. c'est mieux que rien !
A certaines périodes, oui, il vaut mieux la garder, Alain, mais à d'autres, elle devient un peu trop lourde et embarrassante. Alors, la fendiller un peu, c'est peut-être pas mal...
SupprimerBonne soirée à toi, et merci de ta visite.
elle peut faire beaucoup de bruit en se brisant !
RépondreSupprimeril faut retrouver l'équilibre dans plus de légèreté...
pas toujours facile
Pas toujours facile, oui, je le conçois, Marty, mais il est parfois nécessaire de le faire, sous peine d'étouffement...
SupprimerBonne soirée, et merci pour tes mots.
La carapace a des ouvertures bien grillagées, bien protégées mais on a la clé pour les ouvrir quand c'est grand beau temps dehors; bisous, françoise
RépondreSupprimerOui, Lison, et tu as d'ailleurs trouvé cette clé, n'est-ce pas ? :-)
SupprimerJe t'embrasse. Belle soirée à toi.
Il est vrai qu'elle protège, mais souvent derrière la carapace se cache un être sensible...
RépondreSupprimerBises en te souhaite un agréable week-end chère Françoise.
Oui, Edith, c'est pour cela que cet être sensible a parfois tant de mal à se débarrasser de cette carapace protectrice.
SupprimerBelle fin de dimanche à toi. Je t'embrasse.
la carapace que l'on avait c'est celle que nous nous étions batie , un jour, on doit en bâtir une autre. En résumé . Nous sommes nous sommes des êtres d'intérieur et d'extérieur, nous forgeons ce qui devient nous, nous changeons notre intérieur et notre extérieur quand nous sentons que nous en avons besoin; bisous Francoise et bon WE. amitié
RépondreSupprimerL'être intérieur a un jour envie de s'exprimer, et c'est alors que sa carapace commence à se fendiller, trop d'émotions contenues, c'est lourd aussi.
SupprimerBisous à toi aussi, Marie, et bonne soirée. Amitiés.
Oui, nous construisons bien souvent nous mêmes les murs de notre prison...
RépondreSupprimerOui, nous mettons notre coeur dans un coffre-fort pensant nous protéger, mais nous nous enfermons nous-mêmes, c'est vrai.
Supprimer« La clef du coffre-fort et des coeurs, c'est la même. »
Jean de La Fontaine
Cette carapace, c'est la "persona" de Jung et on ne peut pas s'en débarrasser complètement. Ce serait comme se promener dans une foule habillée. Amitiés.
RépondreSupprimerNon, on ne peut pas s'en débarrasser complètement, Ariaga, mais laissons-la se fendiller un peu, juste un peu, pour ne pas se fermer aux émotions.
SupprimerMerci de ta visite. Bonne soirée à toi.
une carapace ou une cuirasse ça protège mais ça enferme aussi
RépondreSupprimerOui, Gazou, ça enferme aussi...
Supprimeril faut la fendiller beaucoup, beaucoup pour pouvoir respirer librement
RépondreSupprimerJe suis de ton avis, Gazou, mais il ne faut pas vouloir le faire trop rapidement non plus...
SupprimerBelle fin de semaine à toi, et merci de ton passage.