Jeune, je crois que je ne réalisais pas autant que maintenant le côté merveilleux d'une grossesse: un petit être qui grandit à l'intérieur du ventre de sa maman, un petit être qui grandit dans son ventre, à soi. Une vie, un corps à l'intérieur d'un autre corps, d'une autre vie. C'est fabuleux, non, quand on y pense? Il y a des choses qui semblent si naturelles (elles le sont bien évidemment) qu'on en oublie aussi le côté merveilleux et magique. Oui, je le ressens ainsi ces jours: merveilleux et magique.
Le plus beau moment de ma vie: la naissance de mes deux fils.
La plus belle chose que j'ai faite: mes deux fils...
Photos trouvées sur le net :
Tes photos sont très belles, tes mots aussi... Je crois que les grand-parents touchent du doigt cette mangnificence, bien plus que les parents eux-mêmes... Peut-être parce que les parents n'ont tout simplement pas le temps de prendre ce recul-là... Je m'interroge sur comment je serai, grand-mère... La vision est floue, mais mes loulous ont encore des années devant eux avant de me dire que je vais prendre du grade (enfin, c'est ce que j'espère !!!)...
RépondreSupprimerCe dont je suis certaine, c'est qu'effectivement, la naissance de la vie est quelque chose de prodigieux... Biologiquement parlant, c'est magnifique...
Merci Françoise, j'aime tes billets... Te disais-tu transparente ?...
Bonsoir Rêva :-)
RépondreSupprimerC'est moi qui te remercie pour l'intérêt que tu portes à chacun de mes billets.
J'aime aller te lire, moi aussi.
Transparente?... Je me sens de moins en moins transparente, et c'est tant mieux... (sourire)
Passe une belle soirée, ma belle.
Je t'embrasse bien fort.
Bonjour, Françoise.
RépondreSupprimerJe te comprends.
Je n'ai rien à répondre.
Mais j'ai à t'embrasser.
Bonne journée.
L eau, source de vie jaillit là haut sur la montagne. Elle se fraye un chemin au travers des roches recouvertes de mousse. Parfois
RépondreSupprimerelle se fond dans un autre courant pour terminer sa course dans les eaux majestueuses d un fleuve de la plaine. Longtemps elle serpentera au gré du relief pour enfin atteindre la mer, perdant ainsi son identité.
Bonne journée Latil
- Merci, Herbert. Je t'embrasse moi aussi.
RépondreSupprimer- Quels jolis mots, Latil ! C'est comme un poème. Tu devrais créer un blog où mettre tes mots, tu parles si bien :-)
Merci, et belle journée à toi.