HUMAN. Je ne regrette pas ma soirée
devant le petit écran. Des témoignages très forts d'adultes et d'enfants. Certains portraits nous amusent, d'autres nous interpellent, d'autres nous effraient, d'autres nous bouleversent. On ne peut éprouver que de l'empathie pour tous ces gens car nous pourrions être eux, car nous sommes eux. Et sans compter les paysages d'une beauté à vous couper le souffle !
Petit bémol toutefois, j'aurais aimé voir
le film en VO sous-titré, car ces voix recouvrant les voix originales m'ont un
peu dérangée. Je le regarderai à nouveau mais cette fois en VO et sous-titré.
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mercredi 30 septembre 2015
mardi 29 septembre 2015
« HUMAN », ce soir, à la télé !
Pour celles et ceux que cela intéresse, le film « HUMAN » dont je vous ai parlé mercredi dernier, passe ce soir à la télé sur France 2 vers 20h50.
Moi, je serai devant mon écran ! :-)
lundi 28 septembre 2015
Avez-vous vu l'éclipse de la lune ?
Le mois dernier, j'avais photographié la lune, une lune énorme et magnifique. Hier soir, je pensais faire une autre photo, tout aussi réussie que la précédente, et j'étais impatiente que la nuit tombe. Evidemment, et j'aurais dû y penser, la configuration n'était pas la même. A la nuit tombée, la lune était encore bien petite et bien haute dans le ciel. Et de plus, il y avait des nuages. Tant pis. Je me suis dit que je me lèverai dans la nuit pour observer l'éclipse. Je n'ai pas mis de réveil, je m'étais mentalement préparée à me réveiller et à me lever. C'est ce qui s'est produit. Je me suis réveillée, j'ai regardé l'heure, il était 3h50. Ne te rendors pas, me suis-je dit, car j'ai un très bon sommeil et il aurait suffi que je referme les yeux pour me rendormir illico. Je me suis donc levée sans bruit, je suis allée chercher mon appareil photos, j'ai ouvert le volet de la porte donnant sur la terrasse, et je suis sortie. Je fus un peu déçue, car il y avait du brouillard, mais j'ai tout de même pu apercevoir la lune, enfin un petit morceau de lune car elle était bien cachée à ce moment-là par l'ombre de la terre. Je l'ai photographiée. La photo n'est pas très nette, mais c'est tout ce que j'ai pu faire. Je suis restée un moment à la regarder, mais le froid me tombant sur les épaules, je suis retournée me coucher. Je me suis réveillée ensuite à 6h. Vite, me dis-je, je vais peut-être mieux la voir cette fois. Je me suis donc relevée. Mais la lune n'était déjà plus visible, j'ai juste aperçu la lumière qu'elle diffusait au loin. Tant pis. J'étais de toute façon heureuse d'avoir pu répondre présente à ce spectacle grandiose, spectacle parmi tant d'autres mais dont on ne mesure pas toujours le côté extraordinaire.
Voici donc la seule photo que j'ai pu faire cette nuit à 3h52 :
Voici donc la seule photo que j'ai pu faire cette nuit à 3h52 :
vendredi 25 septembre 2015
100 mots par jour
J'ai créé un nouveau blog ! Ah bon ? Eh oui ! Mais celui-ci sera réservé à un exercice d'écriture bien précis, exercice auquel vous pouvez d'ailleurs participer vous aussi, si vous en avez envie. C'est en me baladant chez des amies blogueuses que j'en ai pris connaissance et l'idée m'a plu. Il s'agit d'écrire tous les jours sur le vif 100 mots (pas plus), de transcrire des éléments réels de votre journée et de suivre la consigne thématique de la date correspondant.
Mon nouveau blog -> 100 mots par jour.
Et si vous voulez plus d'explications, c'est ici -> Explicatif.
Mon nouveau blog -> 100 mots par jour.
Et si vous voulez plus d'explications, c'est ici -> Explicatif.
Belle fin de semaine à vous et bon week-end !
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mercredi 23 septembre 2015
HUMAN de Yann Arthus-Bertrand
Sans doute avez-vous entendu parler de ce film : HUMAN ? Peut-être certains d'entre vous ont-ils déjà eu la chance d'aller le voir ? Moi, j'ai hâte qu'il passe dans ma région, car la bande annonce est prometteuse et tout ce qu'il peut représenter. Déjà, rien que le titre... HUMAN...
Vous pouvez cliquer sur ce lien si vous voulez en savoir plus -> HUMAN.
Un passage de ce film, l'interview de Francine. Bouleversant...
Vous pouvez cliquer sur ce lien si vous voulez en savoir plus -> HUMAN.
Un passage de ce film, l'interview de Francine. Bouleversant...
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lundi 21 septembre 2015
L'a-mante dévorante...
Cet après-midi, deux mantes religieuses se sont retrouvées devant chez moi, l'une s'est posée sur la porte vitrée de la verrière (photo ci-contre), l'autre sur le banc se trouvant juste à côté de la porte vitrée. Il me semble bien qu'il s'agissait de deux femelles. Mais j'ai peut-être mal vu. J'ai en tous cas photographié l'une d'elles avant qu'elle ne s'envole. Elle paraissait très pressée... L'autre s'est envolée presque en même temps. Après tout, peut-être qu'il s'agissait d'un mâle et d'une femelle et qu'ils s'étaient donnés rendez-vous devant chez moi...
« Prenez le temps d'observer une mante : ce minifauve offre un spectacle permanent. Souvent verte, quelquefois brune ou jaunâtre, une mante immobile est difficile à repérer. On ne la rencontre pas seulement dans les régions méridionales, elle est aussi présente aux environs de Paris. A l'affût, pattes avant pliées, la mante religieuse semble avoir l'attitude de la prière qui lui a donné son nom. Mais si un insecte vient à passer, elle détend ses bras en un vingtième de seconde. C'est une machine de guerre, et ses bras armés d'épines empêchent ses victimes de s'échapper. Suivent alors un repas spectaculaire et un nouvel affût. La mante religieuse ne semble jamais rassasiée. Ses capacités à détruire des insectes ravageurs en font un animal utile dans un jardin.
La femelle ne dévore pas systématiquement le mâle, mais cela arrive assez souvent pour avoir fait sa réputation. Elle peut même décapiter son courageux partenaire en plein accouplement! Miracle de la nature, celui-ci continue sa fonction sans tête, car les nerfs nécessaires à sa tâche amoureuse sont à l'intérieur de son corps. Ce cannibalisme s'expliquerait par le besoin en protéines de la femelle fécondée: une sorte de pension alimentaire obligatoire... »
-> « Le Kama-sutra des demoiselles. La vie extraordinaire des animaux qui nous entourent. » - Marc Giraud.
« Prenez le temps d'observer une mante : ce minifauve offre un spectacle permanent. Souvent verte, quelquefois brune ou jaunâtre, une mante immobile est difficile à repérer. On ne la rencontre pas seulement dans les régions méridionales, elle est aussi présente aux environs de Paris. A l'affût, pattes avant pliées, la mante religieuse semble avoir l'attitude de la prière qui lui a donné son nom. Mais si un insecte vient à passer, elle détend ses bras en un vingtième de seconde. C'est une machine de guerre, et ses bras armés d'épines empêchent ses victimes de s'échapper. Suivent alors un repas spectaculaire et un nouvel affût. La mante religieuse ne semble jamais rassasiée. Ses capacités à détruire des insectes ravageurs en font un animal utile dans un jardin.
La femelle ne dévore pas systématiquement le mâle, mais cela arrive assez souvent pour avoir fait sa réputation. Elle peut même décapiter son courageux partenaire en plein accouplement! Miracle de la nature, celui-ci continue sa fonction sans tête, car les nerfs nécessaires à sa tâche amoureuse sont à l'intérieur de son corps. Ce cannibalisme s'expliquerait par le besoin en protéines de la femelle fécondée: une sorte de pension alimentaire obligatoire... »
-> « Le Kama-sutra des demoiselles. La vie extraordinaire des animaux qui nous entourent. » - Marc Giraud.
Cela me donne à réfléchir...
Tout en lisant des romans, je continue bien sûr à lire d'autres ouvrages. Ces jours, je suis dans la lecture de : « Ces glucides qui menacent votre cerveau. Pourquoi et comment limiter gluten, céréales, sucres et glucides raffinés. »
Un livre très intéressant qui interroge.
Voici un extrait du quatrième de couverture, cela vous donnera une idée :
« On le sait, notre santé commence dans notre assiette. Ce qu'on ne savait pas encore, c'est que c'est le cas aussi pour notre cerveau.
En s'appuyant sur des données longtemps tues par la communauté scientifique, le neurologue David Perlmutter fait une révélation qui donne froid dans le dos. Certains glucides, et notamment le gluten et les sucres, sont liés à de nombreuses pathologies: Alzheimer, trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité, (TDAH), épilepsie, anxiété, maux de tête chroniques, dépression, insomnie, pour ne citer qu'eux. »
Moi qui suis une grande consommatrice de glucides, cela me donne à réfléchir... Cette lecture va peut-être m'aider dans mon désir de ralentir cette consommation (parfois excessive) de sucres.
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Un livre très intéressant qui interroge.
Voici un extrait du quatrième de couverture, cela vous donnera une idée :
« On le sait, notre santé commence dans notre assiette. Ce qu'on ne savait pas encore, c'est que c'est le cas aussi pour notre cerveau.
En s'appuyant sur des données longtemps tues par la communauté scientifique, le neurologue David Perlmutter fait une révélation qui donne froid dans le dos. Certains glucides, et notamment le gluten et les sucres, sont liés à de nombreuses pathologies: Alzheimer, trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité, (TDAH), épilepsie, anxiété, maux de tête chroniques, dépression, insomnie, pour ne citer qu'eux. »
Moi qui suis une grande consommatrice de glucides, cela me donne à réfléchir... Cette lecture va peut-être m'aider dans mon désir de ralentir cette consommation (parfois excessive) de sucres.
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dimanche 20 septembre 2015
Mais si, mais si, je t'aime...
Connaissez-vous le chanteur Jacques Debronckart ? A une époque déjà ancienne, j'aimais l'écouter. Il n'est plus de ce monde, il est mort en 1983 à 49 ans. Mais grâce à internet, j'ai pu retrouver certaines de ses chansons. L'une d'elles, "Mais si, mais si, je t'aime" m'avait particulièrement émue. C'est donc cette dernière que j'ai choisie de partager avec vous. Un grand merci à Robdan, c'est grâce à lui si je peux déposer cette vidéo sur mon blog.
samedi 19 septembre 2015
Je ne suis pas une aventurière... Elle, si !...
Je ne suis pas une aventurière, ni une fonceuse, je suis pleine de peurs et d'appréhension, et pourtant je me soigne ! (sourire) mais on ne peut guère changer son caractère, je crois qu'il faut s'en accommoder et s'accepter tel que l'on est. Mais j'envie tout de même les personnes intrépides qui surmontent les obstacles avec légèreté et confiance. En fait, cette réflexion ce matin car je viens de chez Lison, une amie blogueuse, qui est tout le contraire de moi, et je l'admire et l'envie. Elle est vraiment étonnante. Allez faire un petit tour chez elle, vous verrez qu'elle n'a peur de rien, qu'elle se lance constamment des défis et que cela lui permet de découvrir des lieux sublimes et de communier d'une manière extrême avec la nature. Bon, elle est très sportive, ce que je ne suis pas non plus. Et en plus de tout cela, elle s'occupe de sa vigne ! Tu es vraiment étonnante, Lison ! Bravo ! (sourire)
-> Blog de Lison.
Et vous, comment êtes-vous ? prudents, très prudents, trop prudents ? ou bien confiants en vous-mêmes et prêts à vous lancer des défis et à surmonter les obstacles avec confiance ? ce qui vous donne l'occasion de vivre des moments inoubliables, comme le fait Lison ?
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-> Blog de Lison.
Et vous, comment êtes-vous ? prudents, très prudents, trop prudents ? ou bien confiants en vous-mêmes et prêts à vous lancer des défis et à surmonter les obstacles avec confiance ? ce qui vous donne l'occasion de vivre des moments inoubliables, comme le fait Lison ?
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jeudi 17 septembre 2015
Trois romans...
Depuis deux ou trois ans, je lisais essentiellement des livres de psychologie, de développement personnel, de nutrition, etc, mais je délaissais complètement les romans, je trouvais que cela ne m'apportait plus rien de les lire. Et puis, au début de l'été, je me suis réinscrite à la médiathèque, et j'ai eu envie d'en reprendre. Je ne les achèterais pas, car il n'y a pas grand intérêt à relire un roman, enfin à mon avis. Alors qu'on peut revenir sur certains paragraphes, certains sujets d'un livre de psychologie par exemple d'où l'intérêt de les avoir à soi. Donc, j'ai réinséré dans mes lectures, des romans. Il est vrai que parfois, dans ceux-ci, on peut y lire de belles leçons de vie, et aussi des histoires dans lesquelles on se reconnaît un peu, ou même beaucoup. J'ai donc envie de vous parler ce soir de trois romans que j'ai lus cet été et que j'ai aimés.
Tout d'abord, deux petits bijoux : "Le mec de la tombe d'à côté" et "Le caveau de famille" (qui est la suite du premier). Ces livres ont été écrits par Katarina Mazetti.
« Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari, qui a eu le mauvais goût de mourir trop jeune. Bibliothécaire et citadine, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance, rempli de livres. Au cimetière, elle croise souvent le mec de la tombe d'à côté, dont l'apparence l'agace autant que le tape-à-l'œil de la stèle qu'il fleurit assidûment.
Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s'en sort comme il peut, avec son bon sens paysan et une sacrée dose d'autodérision. Chaque fois qu'il la rencontre, il est exaspéré par sa voisine de cimetière, son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie.
Un jour pourtant, un sourire éclate simultanément sur leurs lèvres et ils en restent tous deux éblouis... C'est le début d'une passion dévorante.
C'est avec un romantisme ébouriffant et un humour décapant que ce roman d'amour tendre et débridé pose la très sérieuse question du choc des cultures. »
« Elle c'est Désirée, la bibliothécaire, et lui c'est Benny, le paysan. Elle dévore avec autant d'ardeur livres et produits bio, lui élève des vaches et n'imagine pas qu'on puisse lire "de son plein gré." Pourtant, ils se sont promis trois essais pour avoir un enfant ensemble. Si cela ne donne rien, c'est terminé pour toujours. Et si ça marche... Comme le disait un critique littéraire suédois: "Le quotidien tue l'amour, la vie de famille l'enterre." C'est gai. Bienvenue dans le caveau de famille ! Pétillant et jubilatoire. »
Et ensuite un roman très différent, plus grave, "L'objet de son désir" de Anita Shreve.
"Dans la Nougelle-Angleterre du début du XXe siècle, l'histoire d'une passion amoureuse ravagée par la jalousie. Un roman intense et violent sur le désir, le mensonge et la trahison, porté par l'écriture élégante et subtile d'Anité Shreve.
Lors du voyage en train qui l'emmène en Virginie, Nicholas Van Tassel, austère professeur d'université, retrace l'histoire de son mariage avec Etna Bliss et son amour pour elle, insensé et absolu.
Trente ans plus tôt, Nicholas aperçoit Etna pour la première fois. A cet instant, il n'a plus qu'une obsession: conquérir cette femme mystérieuse et singulière, l'épouser pour ne jamais la perdre.
Des années durant, la passion brûlante de Nicholas se heurte à la froideur implacable de son épouse. Retranchée derrière un mur de silence et de secrets, incapable de lui rendre son amour, Etna poussera son mari au désespoir, jusqu'au drame..."
Je vous les conseille. Les deux premiers, légers et drôles. Le troisième beaucoup plus sombre.
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Tout d'abord, deux petits bijoux : "Le mec de la tombe d'à côté" et "Le caveau de famille" (qui est la suite du premier). Ces livres ont été écrits par Katarina Mazetti.
« Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari, qui a eu le mauvais goût de mourir trop jeune. Bibliothécaire et citadine, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance, rempli de livres. Au cimetière, elle croise souvent le mec de la tombe d'à côté, dont l'apparence l'agace autant que le tape-à-l'œil de la stèle qu'il fleurit assidûment.
Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s'en sort comme il peut, avec son bon sens paysan et une sacrée dose d'autodérision. Chaque fois qu'il la rencontre, il est exaspéré par sa voisine de cimetière, son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie.
Un jour pourtant, un sourire éclate simultanément sur leurs lèvres et ils en restent tous deux éblouis... C'est le début d'une passion dévorante.
C'est avec un romantisme ébouriffant et un humour décapant que ce roman d'amour tendre et débridé pose la très sérieuse question du choc des cultures. »
« Elle c'est Désirée, la bibliothécaire, et lui c'est Benny, le paysan. Elle dévore avec autant d'ardeur livres et produits bio, lui élève des vaches et n'imagine pas qu'on puisse lire "de son plein gré." Pourtant, ils se sont promis trois essais pour avoir un enfant ensemble. Si cela ne donne rien, c'est terminé pour toujours. Et si ça marche... Comme le disait un critique littéraire suédois: "Le quotidien tue l'amour, la vie de famille l'enterre." C'est gai. Bienvenue dans le caveau de famille ! Pétillant et jubilatoire. »
Et ensuite un roman très différent, plus grave, "L'objet de son désir" de Anita Shreve.
"Dans la Nougelle-Angleterre du début du XXe siècle, l'histoire d'une passion amoureuse ravagée par la jalousie. Un roman intense et violent sur le désir, le mensonge et la trahison, porté par l'écriture élégante et subtile d'Anité Shreve.
Lors du voyage en train qui l'emmène en Virginie, Nicholas Van Tassel, austère professeur d'université, retrace l'histoire de son mariage avec Etna Bliss et son amour pour elle, insensé et absolu.
Trente ans plus tôt, Nicholas aperçoit Etna pour la première fois. A cet instant, il n'a plus qu'une obsession: conquérir cette femme mystérieuse et singulière, l'épouser pour ne jamais la perdre.
Des années durant, la passion brûlante de Nicholas se heurte à la froideur implacable de son épouse. Retranchée derrière un mur de silence et de secrets, incapable de lui rendre son amour, Etna poussera son mari au désespoir, jusqu'au drame..."
Je vous les conseille. Les deux premiers, légers et drôles. Le troisième beaucoup plus sombre.
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mercredi 16 septembre 2015
L'eau vive, Guy Béart
mardi 8 septembre 2015
Une semaine au Portugal
Vous voyez ce petit point rouge sur la photo ? C'est moi ! Je surplombe la côte vicentine. Vous vous rappelez la côte vicentine ? Mon coup de coeur de l'été. Si vous cliquez sur ce lien -> Portugal, vous pourrez admirer et découvrir, à travers mes photos, cette si belle côte, ce si beau pays accueillant et chaleureux, de par le paysage et ses habitants.
Dédicace à Marie-Claude, Eliseu, Manuela et Sequeira. Merci à eux.
Dédicace à Marie-Claude, Eliseu, Manuela et Sequeira. Merci à eux.
mardi 1 septembre 2015
Une semaine en Andalousie
Nous voici début septembre, la rentrée est là, je reviens sur la toile. Mais avant de republier des mots, car j'ai créé avant tout ce blog pour partager des mots (même si j'ai parfois l'impression qu'il devient un blog photos (sourire)), j'ai envie de partager avec vous quelques photos faites la dernière semaine de juin en Andalousie, l'Andalousie, magnifique région d'Espagne, où j'avais envie d'aller depuis des années. J'ai enfin réalisé mon rêve. Je n'ai pas été déçue, ces quelques jours passés là-bas ont été à la hauteur de mes attentes.
Je partagerai ensuite avec vous des photos faites au Portugal la première semaine de juillet.
Mais commençons par l'Andalousie. Une photo de RONDA, très belle ville andalouse, où nous avions loué un appartement à proximité de la vieille ville.
"Le Pont Neuf (Puente Nuevo) est une des attractions de la ville, avec son précipice impressionnant qui sépare la vieille ville de la partie plus récente. Le pont est une œuvre de 98 mètres de hauteur, construite en pierres et composée de trois arches." (Source : Wikipédia)
Si vous cliquez sur le lien ci-dessous (Andalousie), vous pourrez voir TARIFA, ville située à la pointe Sud de l'Andalousie, où se rejoignent la mer Méditerranée et l'Océan atlantique, d'où l'on a un point de vue sur les côtes africaines, étrangement près. Vous pourrez voir SETENIL, village impressionnant, avec ces énormes rochers qui surplombent les ruelles ou qui servent de toits à certaines maisons. Et d'autres vues encore : -> Andalousie. Allez-y, je vous y invite (sourire).
Je partagerai ensuite avec vous des photos faites au Portugal la première semaine de juillet.
Mais commençons par l'Andalousie. Une photo de RONDA, très belle ville andalouse, où nous avions loué un appartement à proximité de la vieille ville.
"Le Pont Neuf (Puente Nuevo) est une des attractions de la ville, avec son précipice impressionnant qui sépare la vieille ville de la partie plus récente. Le pont est une œuvre de 98 mètres de hauteur, construite en pierres et composée de trois arches." (Source : Wikipédia)
Si vous cliquez sur le lien ci-dessous (Andalousie), vous pourrez voir TARIFA, ville située à la pointe Sud de l'Andalousie, où se rejoignent la mer Méditerranée et l'Océan atlantique, d'où l'on a un point de vue sur les côtes africaines, étrangement près. Vous pourrez voir SETENIL, village impressionnant, avec ces énormes rochers qui surplombent les ruelles ou qui servent de toits à certaines maisons. Et d'autres vues encore : -> Andalousie. Allez-y, je vous y invite (sourire).
samedi 29 août 2015
jeudi 20 août 2015
Encore une histoire de coeur...
Je vais bientôt revenir sur la toile. Mais en attendant, voici un très beau coeur photographié sur ce lieu magnifique dont je vous parlais sur le billet précédent : la côte vicentine au Portugal. Je suis tombée amoureuse de ce lieu, et c'est en ce lieu que ce coeur parfait s'est offert à mon regard... comme quoi... (sourire)
J'ai déposé sur ma page "Mes coeurs" de nouveaux coeurs trouvés ici et là. Si vous voulez aller les voir, et du coup revoir les anciens, cliquez sur -> coeurs.
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J'ai déposé sur ma page "Mes coeurs" de nouveaux coeurs trouvés ici et là. Si vous voulez aller les voir, et du coup revoir les anciens, cliquez sur -> coeurs.
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jeudi 16 juillet 2015
Parenthèse "coup de coeur"
La côte vicentine (costa vicentina), ici tout près du petit village de pêcheurs de Monte Clerigo, au Portugal, voici mon coup de coeur de juillet, je suis tombée littéralement amoureuse de ce lieu si riche en ondes vibratoires, de ce lieu grandiose, superbe, magnifique ! de ce lieu incroyablement beau ! Je n'ai pas la patience d'attendre mon retour sur la toile pour le partager avec vous, d'où cette petite parenthèse... (sourire)
Merci à M.C. et à E. de m'avoir fait découvrir ce lieu magique. J'y retournerai ! :-)
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mercredi 3 juin 2015
Pause estivale
Je vais quitter ma belle région pendant quelques jours, quelques semaines, je vais y revenir, je vais en repartir. Cette année, l'été sera riche en couleurs et en saveurs nouvelles, l'été sera riche en merveilleux moments passés avec mes quatre petits gars. Je veux profiter pleinement de chaque instant. Je vous raconterai tout cela à la rentrée. Mais en attendant, je vous souhaite de passer vous aussi un très bel été. Je vous embrasse et je vous dis à bientôt.
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Cette belle région qui est la mienne... |
Et ces beaux oeillets aussi ! :-) |
lundi 1 juin 2015
Nouvelles du petit bonhomme courageux
Il y a quatre ans, la veille de la fête des mères, mon petit-fils, le petit bonhomme courageux, était victime d'une rupture d'anévrisme alors qu'il n'avait que 2 ans et demi. Si vous avez suivi régulièrement les billets que je lui ai consacrés, vous connaissez son histoire.
Nous arrivons en fin d'année scolaire. Ce soir, ses parents ont eu un entretien avec son maître après l'école, pour faire un bilan en quelque sorte. Noé apprend, il connaît maintenant 17 lettres, il arrive à en assembler quelques-unes, mais cela reste encore sommaire et laborieux. Il a toujours de grosses difficultés de concentration et de motivation. Des troubles du comportement également. Son petit cerveau garde en lui un trou noir qui ne se reconnectera jamais totalement. Des connections se sont refaites, heureusement, mais certaines ne se referont pas. Ses parents l'ont accepté, nous l'avons accepté, mais il y a des jours où l'on se dit que ce n'est pas juste ce qui lui est arrivé, alors qu'il allait si bien et qu'il était si dégourdi. Mais bon, cela n'avance à rien de penser à tout cela, le principal maintenant est qu'il arrive à devenir un adulte autonome et surtout qu'il soit heureux.
A la rentrée prochaine, normalement, il devrait rentrer dans un CEM pour IMC (infirmes moteur cérébraux). Mais on ne peut pas encore dire à ses parents si ce sera en septembre ou un peu plus tard. Et comme il n'y a pas de certitude, les parents de Noé doivent faire d'autres démarches pour que si cette rentrée se fait plus tard, Noé puisse tout de même intégrer un établissement, même provisoirement. Cela veut dire rester encore quelques semaines, quelques mois, en CLIS, et trouver des soignants libéraux, où il faudra emmener Noé pour continuer sa rééducation, le CAMS ne le prenant plus en charge (il a eu 6 ans). Déjà que la situation n'est pas simple, on ne leur facilite pas la tâche en ne leur donnant pas encore de date fixe. Ils ne peuvent pas faire autrement sans doute, Noé n'est pas le seul sur la liste d'attente. Mais ce n'est pas évident, tout cela. Sinon, Ruben, le petit frère de Noé, grandit lui aussi. Il prend soin de son frère, s'en sent un peu responsable, à 4 ans bichette. Il ne comprend pas encore tout, mais il est en train de se rendre compte néanmoins que son grand frère n'est pas tout à fait comme les autres, qu'il ne doit pas l'imiter en tout, alors qu'un petit frère normalement imite son grand frère, que celui-ci est son modèle. Il faut prendre soin également de ce petit bout d'homme afin qu'il ne souffre pas de la situation et qu'il ait une évolution normale. Ce n'est sûrement pas évident non plus pour lui d'avoir un grand frère handicapé. La maîtresse de Ruben disait dernièrement à ses parents qu'il s'occupait et s'intéressait à ce que faisaient les autres, qu'il était altruiste, plus qu'un enfant de son âge. Il sera sans doute mûr plus rapidement, par la force des choses. En fait, lorsqu'un tel événement se produit, il ne faut pas oublier que cela a des répercussions sur tout l'entourage.
Nous arrivons en fin d'année scolaire. Ce soir, ses parents ont eu un entretien avec son maître après l'école, pour faire un bilan en quelque sorte. Noé apprend, il connaît maintenant 17 lettres, il arrive à en assembler quelques-unes, mais cela reste encore sommaire et laborieux. Il a toujours de grosses difficultés de concentration et de motivation. Des troubles du comportement également. Son petit cerveau garde en lui un trou noir qui ne se reconnectera jamais totalement. Des connections se sont refaites, heureusement, mais certaines ne se referont pas. Ses parents l'ont accepté, nous l'avons accepté, mais il y a des jours où l'on se dit que ce n'est pas juste ce qui lui est arrivé, alors qu'il allait si bien et qu'il était si dégourdi. Mais bon, cela n'avance à rien de penser à tout cela, le principal maintenant est qu'il arrive à devenir un adulte autonome et surtout qu'il soit heureux.
A la rentrée prochaine, normalement, il devrait rentrer dans un CEM pour IMC (infirmes moteur cérébraux). Mais on ne peut pas encore dire à ses parents si ce sera en septembre ou un peu plus tard. Et comme il n'y a pas de certitude, les parents de Noé doivent faire d'autres démarches pour que si cette rentrée se fait plus tard, Noé puisse tout de même intégrer un établissement, même provisoirement. Cela veut dire rester encore quelques semaines, quelques mois, en CLIS, et trouver des soignants libéraux, où il faudra emmener Noé pour continuer sa rééducation, le CAMS ne le prenant plus en charge (il a eu 6 ans). Déjà que la situation n'est pas simple, on ne leur facilite pas la tâche en ne leur donnant pas encore de date fixe. Ils ne peuvent pas faire autrement sans doute, Noé n'est pas le seul sur la liste d'attente. Mais ce n'est pas évident, tout cela. Sinon, Ruben, le petit frère de Noé, grandit lui aussi. Il prend soin de son frère, s'en sent un peu responsable, à 4 ans bichette. Il ne comprend pas encore tout, mais il est en train de se rendre compte néanmoins que son grand frère n'est pas tout à fait comme les autres, qu'il ne doit pas l'imiter en tout, alors qu'un petit frère normalement imite son grand frère, que celui-ci est son modèle. Il faut prendre soin également de ce petit bout d'homme afin qu'il ne souffre pas de la situation et qu'il ait une évolution normale. Ce n'est sûrement pas évident non plus pour lui d'avoir un grand frère handicapé. La maîtresse de Ruben disait dernièrement à ses parents qu'il s'occupait et s'intéressait à ce que faisaient les autres, qu'il était altruiste, plus qu'un enfant de son âge. Il sera sans doute mûr plus rapidement, par la force des choses. En fait, lorsqu'un tel événement se produit, il ne faut pas oublier que cela a des répercussions sur tout l'entourage.
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Les deux petits gars. |
vendredi 29 mai 2015
mercredi 27 mai 2015
Histoire d'une femme libre
Un livre que j'ai aimé :
« Histoire d'une femme libre » - Françoise Giroud
Quatrième de couverture :
« Été 1960. Françoise Giroud vient de subir le plus grand échec de son existence : sa mort. De nombreux verrous bloquant la porte de sa chambre, une dose plus que létale de poison avalée, le téléphone débranché, elle avait tout prévu... sauf que deux solides gaillards iraient jusqu'à défoncer une cloison pour l'arracher à un coma déjà profond. Il lui faudra vivre.» Alix de Saint-André. Après sa tentative de suicide, Françoise Giroud écrivit Histoire d'une femme libre, récit autobiographique, dont Alix de Saint-André a retrouvé le manuscrit qu'on croyait détruit. On y retrouve la voix d'une femme d'exception, complexe, lucide, et formidablement courageuse. Au milieu d'une vie tourmentée, elle dresse à la pointe sèche le portrait des mondes et des hommes qu'elle a croisés
Extraits :
« Pour mesurer la place qu'un être humain occupe dans votre coeur et dans votre vie, il faut la mort ou l'absence. Encore celles-ci ne se superposent-elles pas forcément. Combien de gens vous deviennent précieux lorsqu'ils sont hors de votre vue, qui se décolorent lorsqu'ils reviennent... »
« Alors j'ai compris, d'un coup, ce que signifie "être seule". C'est ne plus avoir, auprès de soi, quelqu'un de qui se faire entendre sans parler. » (suite à la mort de sa mère)
« De toute façon, les autres vous voient à l'intérieur de leur système, comme il leur convient que vous soyez pour qu'eux-mêmes se voient beaux... »
« Je ne sais pas encore s'il est vrai que les perles meurent lorsque plus personne ne s'en pare. »
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« Histoire d'une femme libre » - Françoise Giroud
Quatrième de couverture :
« Été 1960. Françoise Giroud vient de subir le plus grand échec de son existence : sa mort. De nombreux verrous bloquant la porte de sa chambre, une dose plus que létale de poison avalée, le téléphone débranché, elle avait tout prévu... sauf que deux solides gaillards iraient jusqu'à défoncer une cloison pour l'arracher à un coma déjà profond. Il lui faudra vivre.» Alix de Saint-André. Après sa tentative de suicide, Françoise Giroud écrivit Histoire d'une femme libre, récit autobiographique, dont Alix de Saint-André a retrouvé le manuscrit qu'on croyait détruit. On y retrouve la voix d'une femme d'exception, complexe, lucide, et formidablement courageuse. Au milieu d'une vie tourmentée, elle dresse à la pointe sèche le portrait des mondes et des hommes qu'elle a croisés
Extraits :
« Pour mesurer la place qu'un être humain occupe dans votre coeur et dans votre vie, il faut la mort ou l'absence. Encore celles-ci ne se superposent-elles pas forcément. Combien de gens vous deviennent précieux lorsqu'ils sont hors de votre vue, qui se décolorent lorsqu'ils reviennent... »
« Alors j'ai compris, d'un coup, ce que signifie "être seule". C'est ne plus avoir, auprès de soi, quelqu'un de qui se faire entendre sans parler. » (suite à la mort de sa mère)
« De toute façon, les autres vous voient à l'intérieur de leur système, comme il leur convient que vous soyez pour qu'eux-mêmes se voient beaux... »
« Je ne sais pas encore s'il est vrai que les perles meurent lorsque plus personne ne s'en pare. »
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lundi 25 mai 2015
lundi 18 mai 2015
Marie-Clotilde
La nuit dernière, j'ai rêvé à une ancienne petite amie d'école lorsque je me trouvais en classe de CM1 ou CM2, je ne sais plus. Elle s'appelait Marie-Clotilde. Elle avait été atteinte par le virus de la poliomyélite, et l'une de ses jambes, complètement paralysée, était appareillée, elle marchait avec des béquilles. Elle était très jolie, des cheveux noirs, et des yeux immenses, également noirs. Elle était la seule à avoir hérité des grands yeux noirs de sa mère. Ses deux frères et sa soeur aînés avaient hérité de la ressemblance et des yeux bleu clair de leur père. En début de semaine, l'une des élèves de la classe était désignée pour l'aider à porter son cartable et l'une de ses béquilles. La classe se situait au premier étage, elle devait se tenir avec sa main libre à la rampe pour descendre les escaliers. Nous étions fières car nous étions également cette semaine-là assise en classe à côté d'elle. Je ne l'ai jamais entendue se plaindre. Elle était une très bonne élève, et était souvent citée en exemple. Elle me fascinait et m'intimidait. Je pense souvent à elle, peut-être par rapport à mon petit-fils. Je me demande souvent ce qu'elle est devenue. J'ai bien sûr fait des recherches sur internet, mais je n'ai rien trouvé la concernant. La nuit dernière, donc, j'ai rêvé à elle. J'ai rêvé que par le plus pur des hasards, nous nous retrouvions, et que nous étions aussi heureuses l'une que l'autre de nous revoir. Elle n'était plus une petite fille, elle avait des années en plus elle aussi. Elle était toujours aussi belle et souriante. Elle ne semblait nullement gênée par son handicap. Un joli rêve comme je les aime.
Je me demande parfois ce que sont devenues des personnes autrefois rencontrées, avec lesquelles j'ai eu des relations d'amitié ou autres relations. Je me demande si nous aurions des choses à nous dire, si nous aurions du plaisir à nous retrouver. Je sais que pour certaines, ce serait oui. Pour d'autres, j'ai un doute. J'ai d'ailleurs retrouvé la trace d'une ancienne amie d'enfance, mais lorsque je lis ses billets (elle poste régulièrement sur un site de réseaux sociaux), je me dis que nous n'aurions sans doute pas grand chose à partager maintenant. Mais après tout, je n'en sais rien...
Je me demande parfois ce que sont devenues des personnes autrefois rencontrées, avec lesquelles j'ai eu des relations d'amitié ou autres relations. Je me demande si nous aurions des choses à nous dire, si nous aurions du plaisir à nous retrouver. Je sais que pour certaines, ce serait oui. Pour d'autres, j'ai un doute. J'ai d'ailleurs retrouvé la trace d'une ancienne amie d'enfance, mais lorsque je lis ses billets (elle poste régulièrement sur un site de réseaux sociaux), je me dis que nous n'aurions sans doute pas grand chose à partager maintenant. Mais après tout, je n'en sais rien...
mercredi 13 mai 2015
« C'est fou comme on peut aimer un lieu ! »
« C'est fou comme on peut aimer un lieu !... » c'est la réflexion que je me suis faite en quittant le village de la Breure et ma petite maison bleue hier après-midi. Sans doute parce qu'il est chargé de tant de bons moments passés et partagés avec ma famille ; sans doute parce que c'est le seul endroit qu'il me reste où ont vécu pendant quelques temps, le temps des vacances, mes parents, mon frère, tous trois disparus, et qu'il y a encore dans la maison leur odeur, leurs empreintes, une partie d'eux. Mes parents avaient acheté en viager cette petite maison appartenant à une vieille tante et chaque année nous y passions nos vacances d'été en août. C'était toute une expédition, car mes parents n'avaient pas de voiture. Ils faisaient partir une malle par le train quelques jours avant, et nous prenions le train à notre tour quelques jours après. C'était l'aventure ! C'était la fête ! Pendant quelques années, je passais même tout le mois de juillet chez mon oncle, ma tante et mes cousins. C'était entre autres pour m'apprendre à manger de tout, j'étais très difficile et je mangeais très peu. Et le bon air allait peut-être contribuer, lui aussi, à me donner de l'appétit (j'habitais en ville, l'air n'était pas encore autant pollué qu'il ne l'est maintenant, mais c'était tout de même la ville). Je garde un souvenir merveilleux de ces mois de juillet, entourée de tous mes cousins (il étaient neuf), partageant les travaux de la ferme, mon oncle et ma tante étaient fermiers, les aidant autant qu'une petite fille de 10 ans peut le faire. De plus, j'ai toujours beaucoup aimé les animaux alors là, avec les vaches, moutons, chèvres, cochons, chiens, chats, j'étais aux anges ! (sourire)
La Breure, c'était et C'EST mon petit coin de paradis !... :-)
J'ai passé récemment quelques jours là-bas et je vous ai rapporté des photos. Si cela vous dit, cliquez ici pour aller les voir -> La Breure et ses alentours
Et puis, je veux remercier ceux et celles qui me lisent, ainsi que ceux et celles qui me laissent des commentaires, car je ne suis pas bien présente, quant à moi, en ce moment, sur mes blogs amis.
MERCI ! :-)
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La Breure, c'était et C'EST mon petit coin de paradis !... :-)
J'ai passé récemment quelques jours là-bas et je vous ai rapporté des photos. Si cela vous dit, cliquez ici pour aller les voir -> La Breure et ses alentours
MERCI ! :-)
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jeudi 7 mai 2015
Voici ma nouvelle copine !...
Cette petite merlette (surveillée tout de même de près par son merle) qui vient me regarder alors que je suis dans la verrière. Pas sauvage du tout la petite. Elle pose même ! Mais elle sait que je suis l'amie des oiseaux.
Et quelques autres photos faites ces jours derniers. Attention aux rapaces qui survolent nos têtes...
Cliquez sur les photos pour les agrandir, ce sera mieux.
mardi 5 mai 2015
« Faites donc attention quand vous cueillez une fleur »
Je suis en train de faire du tri dans mes archives et je viens de retrouver cette page que j'avais mise de côté (page prise sur le site de Julos Beaucarne) : « Faites donc attention quand vous cueillez une fleur. » Texte si joliment et poétiquement écrit par Julos. Le printemps est la saison des fleurs, alors lisez donc... ne vous en privez pas...
« Ses roses la réclamaient à corps et à cri, elle ne pouvait plus rester dans son bureau du 9e étage d'un immeuble de la ville la plus proche de chez elle. Ses "roses" l'appelaient et lui envoyaient des bouffées de parfums télépathiques, elle prétexta une migraine et bondit dans sa voiture hybride.
Quand elle arriva chez elle, elle se précipita dans le jardin. Les roses criaient son nom à tue tête et l'entouraient de parfums variés car il y avait là des roses de toutes les variétés avec et y compris la variété particulière appelée "cuisse de nymphe émue". Tout à coup, elle ne sait pas comment cela a pu se faire, tout à coup, elle devint une rose elle-même.
Elle se sentait si bien comme ça, attachée à la terre et elle entendait monter la sève dans tous les pétales de son corps de rose, elle aspirait le soleil si fort, qu'il se pencha du haut du ciel et à ce moment-là, il faisait terriblement torride, heureusement un nuage vint à son secours pour la rafraîchir, sinon elle aurait perdu les pétales, c'est dangereux d'être aimée par le soleil, toutes les roses vous le diront, plus on s'en approche plus il vous brûle. Elle craignait aussi qu'un promeneur ignorant son état de rose stagiaire vint la choisir parmi toutes les roses et la mit stupidement à sa boutonnière, quelle triste fin pour une rose. Elle craignait de devenir une vague potiche dans un vase évasé, d'être coupée de la terre-mère si tant aimée. Les roses qui lisaient ses pensées et qui l'aimaient tendrement parce qu'elles avaient été plantées par elle, les roses lui rendirent sa forme humaine. En se réveillant, au moment même où elle sentait son corps féminin comme un vêtement de soie plus doux que la douceur même, alors qu'elle se réveillait dans l'autre règne, elle dit : "Comme c'est étrange de changer de règne, de ne parler qu'en "langue parfum", comme c'est étrange de sentir la terre monter dans tous les pores de votre peau et d'embrasser le soleil sur la bouche avec tous ses pétales au risque de se brûler les lèvres".
Dites, promeneur, qui que vous soyiez, faites donc attention quand vous cueillez une fleur, demandez au moins la permission, les roses, en effet, n'appartiennent qu'à elles-mêmes. »
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Cliquez sur la page pour l'agrandir. |
Quand elle arriva chez elle, elle se précipita dans le jardin. Les roses criaient son nom à tue tête et l'entouraient de parfums variés car il y avait là des roses de toutes les variétés avec et y compris la variété particulière appelée "cuisse de nymphe émue". Tout à coup, elle ne sait pas comment cela a pu se faire, tout à coup, elle devint une rose elle-même.
Elle se sentait si bien comme ça, attachée à la terre et elle entendait monter la sève dans tous les pétales de son corps de rose, elle aspirait le soleil si fort, qu'il se pencha du haut du ciel et à ce moment-là, il faisait terriblement torride, heureusement un nuage vint à son secours pour la rafraîchir, sinon elle aurait perdu les pétales, c'est dangereux d'être aimée par le soleil, toutes les roses vous le diront, plus on s'en approche plus il vous brûle. Elle craignait aussi qu'un promeneur ignorant son état de rose stagiaire vint la choisir parmi toutes les roses et la mit stupidement à sa boutonnière, quelle triste fin pour une rose. Elle craignait de devenir une vague potiche dans un vase évasé, d'être coupée de la terre-mère si tant aimée. Les roses qui lisaient ses pensées et qui l'aimaient tendrement parce qu'elles avaient été plantées par elle, les roses lui rendirent sa forme humaine. En se réveillant, au moment même où elle sentait son corps féminin comme un vêtement de soie plus doux que la douceur même, alors qu'elle se réveillait dans l'autre règne, elle dit : "Comme c'est étrange de changer de règne, de ne parler qu'en "langue parfum", comme c'est étrange de sentir la terre monter dans tous les pores de votre peau et d'embrasser le soleil sur la bouche avec tous ses pétales au risque de se brûler les lèvres".
Dites, promeneur, qui que vous soyiez, faites donc attention quand vous cueillez une fleur, demandez au moins la permission, les roses, en effet, n'appartiennent qu'à elles-mêmes. »
Julos
(Photo et texte pris ici -> Bienvenue au Julosland).
mercredi 29 avril 2015
Quatre jours en Italie
L'envie de partager quelques photos faites en Italie lors d'un petit séjour effectué en fin de semaine dernière.
Vous pourrez voir : Orta et son lac, l'île de San Giulio, les îles Borromées (l'île Bella, l'île des pêcheurs, l'île Madre), Come, Bellagio, Milan, et des fleurs, beaucoup de fleurs...
Vous pourrez voir : Orta et son lac, l'île de San Giulio, les îles Borromées (l'île Bella, l'île des pêcheurs, l'île Madre), Come, Bellagio, Milan, et des fleurs, beaucoup de fleurs...
Un petit clic -> ici pour voir toutes les photos.
mercredi 8 avril 2015
Et aussi un partage...
L'envie aussi, dans cette parenthèse de pause, de partager avec vous cette peinture. J'ai eu un coup de coeur pour le portrait de cette vieille dame. Je le trouve très beau, très lumineux et empreint d'une telle douceur. L'artiste peint pour le plaisir et n'expose pas ses oeuvres, à part glisser de temps en temps un ou deux tableaux lors d'une exposition commune organisée par l'atelier où il se rend régulièrement. Alors un grand merci à toi, Théo, de m'avoir donné ton accord pour ce partage.
vendredi 3 avril 2015
Juste quelques nouvelles...
Coucou. Voici comme promis quelques nouvelles.
Tout d'abord, je veux vous montrer ma petite dame faite en terre il y a quelques semaines, une fois cuite. Je suis un peu déçue, en fait. Certaines oeuvres méritent de rester inachevées. Je la préférais de couleur marron. La terre en cuisant est devenue noire et a perdu cet aspect brillant. C'est dommage. Comment la préférez-vous ? Je mets les deux photos pour que vous puissiez comparer.
Sinon, ma petite minette n'est pas revenue. Elle a disparu le 8 mars (la minette que j'avais eue avant elle était morte un 9 mars, décidément...). Je ne sais pas ce qu'elle est devenue, elle ne s'était jamais éloignée de la maison en 13 ans. Je peux faire toutes les suppositions. Mais je pense qu'il va falloir que je fasse le deuil de son retour... Ce n'est qu'une minette, me direz-vous, mais cela n'enlève pas le manque et la peine que j'ai de son absence.
Autrement, depuis une dizaine de jours, j'ai le dos coincé par un lumbago... Voudrais-je trop en faire ? En ai-je plein le dos ? Finalement, on peut lui faire dire plein de choses à son dos. J'ai un rendez-vous chez un chiropracteur à la fin du mois, c'est loin... J'ai déjà eu ce problème de dos plusieurs fois, je suis déjà allée voir des ostéopathes, mais cela revient toujours, alors je vais tenter le chiropracteur. Si vous êtes allé en voir un, donnez-moi votre avis, cela m'intéresse.
Et pour finir, ce qui explique peut-être aussi ma forme très moyenne de ces jours-ci, je viens d'avoir exactement, au jour près, le même âge que mon père avait quand il nous a quittés... Pas évident...
Voilà. Pas vraiment de bonnes nouvelles, mais bon, ce pourrait être pire. Je me réjouis maintenant de ce qui m'attend, avec ou sans mal au dos : les fêtes de Pâques en famille, une petite escapade en Italie, un petit séjour en Bretagne, et dès le début de l'été, des vacances en Andalousie et au Portugal. Alors je n'ai vraiment pas de quoi me plaindre !
Quant à mes projets énoncés sur le billet précédent, j'en ai déjà réalisé quelques-uns. Quant aux autres, il va falloir plus de temps pour les mener à bien, mais ils sont toujours d'actualité. :-)
Et vous ? Comment allez-vous ? Je pense à vous. A bientôt. Je vous embrasse.
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Petit clic sur la photo |
Sinon, ma petite minette n'est pas revenue. Elle a disparu le 8 mars (la minette que j'avais eue avant elle était morte un 9 mars, décidément...). Je ne sais pas ce qu'elle est devenue, elle ne s'était jamais éloignée de la maison en 13 ans. Je peux faire toutes les suppositions. Mais je pense qu'il va falloir que je fasse le deuil de son retour... Ce n'est qu'une minette, me direz-vous, mais cela n'enlève pas le manque et la peine que j'ai de son absence.
Autrement, depuis une dizaine de jours, j'ai le dos coincé par un lumbago... Voudrais-je trop en faire ? En ai-je plein le dos ? Finalement, on peut lui faire dire plein de choses à son dos. J'ai un rendez-vous chez un chiropracteur à la fin du mois, c'est loin... J'ai déjà eu ce problème de dos plusieurs fois, je suis déjà allée voir des ostéopathes, mais cela revient toujours, alors je vais tenter le chiropracteur. Si vous êtes allé en voir un, donnez-moi votre avis, cela m'intéresse.
Et pour finir, ce qui explique peut-être aussi ma forme très moyenne de ces jours-ci, je viens d'avoir exactement, au jour près, le même âge que mon père avait quand il nous a quittés... Pas évident...
Voilà. Pas vraiment de bonnes nouvelles, mais bon, ce pourrait être pire. Je me réjouis maintenant de ce qui m'attend, avec ou sans mal au dos : les fêtes de Pâques en famille, une petite escapade en Italie, un petit séjour en Bretagne, et dès le début de l'été, des vacances en Andalousie et au Portugal. Alors je n'ai vraiment pas de quoi me plaindre !
Quant à mes projets énoncés sur le billet précédent, j'en ai déjà réalisé quelques-uns. Quant aux autres, il va falloir plus de temps pour les mener à bien, mais ils sont toujours d'actualité. :-)
Et vous ? Comment allez-vous ? Je pense à vous. A bientôt. Je vous embrasse.
mercredi 11 mars 2015
Ce n'est pas que je n'ai plus rien à vous dire...
Ce n'est pas que je n'ai plus rien à vous dire, oh non !, mais je vais ralentir l'activité de mon blog. Je me rends compte que je passe à nouveau trop de temps devant l'ordinateur. Il attire cet ordinateur, hein ! En fait, j'aimerais passer plus de temps à lire (j'ai plein de livres qui attendent d'être lus), j'aimerais perfectionner mon reiki (je suis en train de passer le 3e degré), j'aimerais faire du qi gong à la maison (j'ai acheté un livre et un CD pour réviser les mouvements appris au cours du mardi), j'aimerais aller marcher plus régulièrement, j'aimerais accorder plus de temps à la méditation, j'aimerais accorder plus de temps à modeler la terre, j'aimerais préparer un recueil de poèmes, j'aimerais écrire un livre (oui carrément !) et j'aimerais aussi passer plus de temps avec mes amies et les personnes que j'aime. Donc mon blog va sommeiller pendant quelques temps. Quand l'envie sera trop forte, je posterai un billet ou une photo, je vous donnerai de mes nouvelles en même temps. Voilà, vous savez tout. A bientôt de vous lire chez vous ! BISES.
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mardi 10 mars 2015
Si un de tes amis perd quelqu'un...
Un peu cafardeuse ce soir. Peut-être du fait de l'actualité. Et ce texte me revient en mémoire. Texte que j'ai envoyé à ma soeur qui a perdu récemment sa meilleure amie. Un très beau texte. Le voici :
« Si un de tes amis perd quelqu'un, écris-lui une lettre d'amour. Il en faut, des lettres, pour que la journée, la soirée passent quand même. On ouvre, on lit, on cherche dans les lignes le mot juste, on le trouve toujours. Si lointain que soit l'auteur de la lettre, il est là, vigilant, il t'aide à regarder la vie, il te dit qu'il sait, qu'il pense, qu'il garde, qu'il garantit. Les lettres cimentent les briques que posent les survivants. Ecris, écris, écris. Ne rate pas une occasion de le faire. Si tu as le choix entre écrire et ne pas écrire, choisis toujours d'écrire. Aucune lettre n'est déplacée. Nous en avons reçu de gens qui avaient entendu parler de nous par des amis communs, des gens que nous n'avions jamais vus. Tout est utile. Nous sommes, chacun d'entre nous, utiles à tous. J'ai gardé tout ce courrier et bien sûr ne l'ai jamais relu. J'ai oublié les mots. Des effort surhumains pour nous rejoindre dans la pauvreté du langage sont enfermés dans de grandes enveloppes à soufflets. Efforts fournis en vain ? Bien sûr que non. Tu m'aurais vue, guettant le courrier, ouvrant les enveloppes, lisant fébrilement, commentant, rangeant. Rêvant ensuite à ce qui m'avait été écrit. Y prêtant toute ma détresse. Les lettres pavaient le chemin entre mes filles et moi. » (Geneviève Jurgensen*)
*En 1980, Geneviève Jurgensen a perdu ses deux petites filles dans un accident de voiture.
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« Si un de tes amis perd quelqu'un, écris-lui une lettre d'amour. Il en faut, des lettres, pour que la journée, la soirée passent quand même. On ouvre, on lit, on cherche dans les lignes le mot juste, on le trouve toujours. Si lointain que soit l'auteur de la lettre, il est là, vigilant, il t'aide à regarder la vie, il te dit qu'il sait, qu'il pense, qu'il garde, qu'il garantit. Les lettres cimentent les briques que posent les survivants. Ecris, écris, écris. Ne rate pas une occasion de le faire. Si tu as le choix entre écrire et ne pas écrire, choisis toujours d'écrire. Aucune lettre n'est déplacée. Nous en avons reçu de gens qui avaient entendu parler de nous par des amis communs, des gens que nous n'avions jamais vus. Tout est utile. Nous sommes, chacun d'entre nous, utiles à tous. J'ai gardé tout ce courrier et bien sûr ne l'ai jamais relu. J'ai oublié les mots. Des effort surhumains pour nous rejoindre dans la pauvreté du langage sont enfermés dans de grandes enveloppes à soufflets. Efforts fournis en vain ? Bien sûr que non. Tu m'aurais vue, guettant le courrier, ouvrant les enveloppes, lisant fébrilement, commentant, rangeant. Rêvant ensuite à ce qui m'avait été écrit. Y prêtant toute ma détresse. Les lettres pavaient le chemin entre mes filles et moi. » (Geneviève Jurgensen*)
*En 1980, Geneviève Jurgensen a perdu ses deux petites filles dans un accident de voiture.
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L'acceptation est un art de vivre
« Il ne sert à rien de regretter des choix passés. La vie est ainsi, elle est jalonnée d'erreurs, et sans doute ces erreurs ont-elles leur raison d'être, sans doute nous apportent-elles quelque chose malgré tout. Accepter. L'acceptation est un art de vivre. »
-> Laurent Gounelle (Le jour où j'ai appris à vivre)
-> Laurent Gounelle (Le jour où j'ai appris à vivre)
lundi 9 mars 2015
Méfiez-vous du vent
Samedi, je suis allée à une journée de diététique chinoise, comme je le fais tous les deux ou trois mois environ. Encore un cours passionnant. Je ne vous le raconterai pas cette fois-ci, mais juste... méfiez-vous du vent ! Marie-Claude nous l'a bien dit, samedi. Et pourtant, je ne m'en suis pas méfiée hier en me baladant, et ce matin, j'ai un très fort mal à la gorge. En fait, le vent est pervers, il ouvre les pores (les portes) au froid, et aux microbes et ceux-ci, par les pores ouverts, peuvent entrer directement dans notre organisme. Hier, je suis donc allée marcher, il faisait beau, le soleil brillait, il y avait un peu de vent mais bon avec le soleil... Je n'ai rien mis autour du cou, j'ai la gorge fragile, j'ai mis tout l'hiver un foulard pour le protéger, mais hier non. Bien mal m'en a pris. J'ai bien senti la bise fraîche me piquer le cou. Et ce matin, pas manqué, j'ai mal à la gorge. Alors je vous le redis, méfiez-vous du vent ! Et aussi du soleil racoleur de mars, mois où l'on a tendance à trop se dévêtir malgré l'air encore frais et agressif...
Sinon, ma petite minette a disparu depuis deux jours, j'espère qu'il ne lui est rien arrivé. Bichette (qui n'est pas le nom de ma minette, mais juste un terme affectueux), elle n'est pas toute jeune, donc moins agile, et moins rapide. Je suis un peu inquiète. Je vous tiens au courant.
Samedi 14 mars : Ma minette n'est toujours pas rentrée. Cela va faire une semaine qu'elle a disparu. La nuit dernière, j'ai rêvé qu'elle grattait à la porte de la chambre, qu'on lui ouvrait et qu'elle venait se pelotonner et ronronner contre moi. Est-ce que cela veut dire qu'elle va revenir ? ou bien qu'elle est venue me dire adieu ?...
Lundi 23 mars : Toujours aucune nouvelle de ma minette. Pourtant, presque chaque nuit, je rêve qu'elle revient... J'espère encore mais l'espoir s'amenuise...
Sinon, ma petite minette a disparu depuis deux jours, j'espère qu'il ne lui est rien arrivé. Bichette (qui n'est pas le nom de ma minette, mais juste un terme affectueux), elle n'est pas toute jeune, donc moins agile, et moins rapide. Je suis un peu inquiète. Je vous tiens au courant.
Samedi 14 mars : Ma minette n'est toujours pas rentrée. Cela va faire une semaine qu'elle a disparu. La nuit dernière, j'ai rêvé qu'elle grattait à la porte de la chambre, qu'on lui ouvrait et qu'elle venait se pelotonner et ronronner contre moi. Est-ce que cela veut dire qu'elle va revenir ? ou bien qu'elle est venue me dire adieu ?...
Lundi 23 mars : Toujours aucune nouvelle de ma minette. Pourtant, presque chaque nuit, je rêve qu'elle revient... J'espère encore mais l'espoir s'amenuise...
jeudi 5 mars 2015
Atelier sculpture sur terre
Pendant plusieurs années, moi aussi j'ai peint : peinture à l'huile, aquarelle, peinture sur soie. Je peignais des paysages ou des motifs bien "gentils", bien réguliers, pas du tout les peintures que fait ma soeur. On me disait que je peignais bien. Mais un jour, cela ne m'a plus convenu, ma peinture était trop "sage", trop bien faite et j'ai presque envie de dire, sans âme. J'ai essayé de sortir de ces traits trop réguliers, trop contrôlés. Je n'y suis pas arrivée, alors j'ai préféré m'arrêter de peindre, cela ne m'apportait plus rien.
Par contre, le modelage de la terre est un moyen d'expression qui me convient beaucoup mieux. Le contact avec la terre, le toucher, c'est autre chose. Il y a comme une vibration entre elle et moi, un plaisir partagé, que je n'ai jamais trouvé en peignant. Je crois que c'est dans cette matière que j'arrive le mieux à me laisser aller, à ne pas vouloir contrôler, ne pas vouloir faire quelque chose de parfait ni de défini à l'avance. Même avec un modèle, je peux m'approprier la pièce. La terre est souple, elle peut se faire, se défaire, elle devient ronde, ovale, boule, carré, je peux en faire ce que je veux, elle ne m'enferme pas dans quelque chose de définitif et de stressant. Je pense que c'est ce qui me plaît également et qui me fait du bien. Le contact avec la terre est un contact tendre, doux, caressant, apaisant.
Hier, je suis allée à un atelier terre. Je vous joins quelques photos de mon "oeuvre". Je l'aime déjà beaucoup cette petite bonne femme. En yoga, on pourrait dire qu'elle est en position de l'enfant. Lorsqu'elle sera cuite, elle deviendra noire. Je remettrai une photo à ce moment-là.
Par contre, le modelage de la terre est un moyen d'expression qui me convient beaucoup mieux. Le contact avec la terre, le toucher, c'est autre chose. Il y a comme une vibration entre elle et moi, un plaisir partagé, que je n'ai jamais trouvé en peignant. Je crois que c'est dans cette matière que j'arrive le mieux à me laisser aller, à ne pas vouloir contrôler, ne pas vouloir faire quelque chose de parfait ni de défini à l'avance. Même avec un modèle, je peux m'approprier la pièce. La terre est souple, elle peut se faire, se défaire, elle devient ronde, ovale, boule, carré, je peux en faire ce que je veux, elle ne m'enferme pas dans quelque chose de définitif et de stressant. Je pense que c'est ce qui me plaît également et qui me fait du bien. Le contact avec la terre est un contact tendre, doux, caressant, apaisant.
Hier, je suis allée à un atelier terre. Je vous joins quelques photos de mon "oeuvre". Je l'aime déjà beaucoup cette petite bonne femme. En yoga, on pourrait dire qu'elle est en position de l'enfant. Lorsqu'elle sera cuite, elle deviendra noire. Je remettrai une photo à ce moment-là.
mardi 3 mars 2015
A bonne distance...
« Le malheur c'est que, si vous réussissez à attraper un
solitaire, vous le perdez : il n'est plus seul. Ce qui brillait autour de
lui commence à s'éteindre. Les vers luisants sont fascinants dans le
ciel plein d'herbe des bas fossés. Dans le creux de la main, ils n'ont
presque plus de charme et ne donnent qu'une lumière pauvre, avare.
Certaines choses et certains êtres ont besoin de la distance qui les sépare de nous, et que cette distance demeure infranchissable. Ils y puisent leur nourriture. »
-> Christian Bobin
Certaines choses et certains êtres ont besoin de la distance qui les sépare de nous, et que cette distance demeure infranchissable. Ils y puisent leur nourriture. »
-> Christian Bobin
lundi 2 mars 2015
Expo Monique - Médiathèque Villars (Loire)
Comme je vous en ai parlé le 8 février dernier, ma soeur Monique
expose ses croquis et peintures du 3 au 23 mars à la médiathèque de Villars (dans la Loire) (voir affiche sur colonne de gauche).
Si vous habitez dans le coin, elle vous invite à venir découvrir ses oeuvres et encourager son travail.
Si vous voulez la rencontrer et parler avec elle, elle sera présente tous les samedis de cette période.
Et si vous habitez trop loin,
Si vous habitez dans le coin, elle vous invite à venir découvrir ses oeuvres et encourager son travail.
Si vous voulez la rencontrer et parler avec elle, elle sera présente tous les samedis de cette période.
Et si vous habitez trop loin,
allez découvrir ses oeuvres -> ici.
Merci à vous.
samedi 28 février 2015
Fantaisie bretonne
Je me suis amusée avec Photofiltre et mes photos de Bretagne. J'aime bien cet effet coloré, mi photo mi dessin.
Pour voir d'autres photos, cliquez -> ici.
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Pour voir d'autres photos, cliquez -> ici.
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jeudi 26 février 2015
« lorsqu'on ressent des émotions, on se sent vivre... »
« - Pense à toutes ces informations auxquelles on est soumis en
permanence, tous ces stimuli.
- Laisse-moi deviner : tu vas dénoncer la télé, l'Internet, les réseaux sociaux, les jeux vidéo, les flots d'e-mails sur le portable, les sms...
- Je ne dénonce rien, tout ça est très utile, si on est assez vigilant pour ne pas se laisser prendre au piège. Car sais-tu pourquoi on en devient dépendant ? Parce qu'ils induisent en nous des émotions. Et vois-tu, lorsqu'on ressent des émotions, on se sent vivre. Alors on en veut, encore et encore. C'est pour ça qu'on reste connectés à tous ces réseaux sociaux. Dès qu'un message nous concerne, on ressent une émotion. Une information nous alerte ? Une émotion. Quelqu'un pense à moi ? Une émotion. Une tempête a frappé dans un pays ? Une émotion. Une fois de plus, il n'y a aucun mal à ça, mais à force d'être absorbé par ce qui vient de l'extérieur, on perd le contact avec nous-même. Plus nos émotions sont induites par l'extérieur, moins on sait les faire émerger de l'intérieur par nos propres pensées, nos actions, nos ressentis. C'est un peu comme si on vivait dans un wagonnet de montagnes russes, ballottés à longueur de journée dans un train dont on ne connaît pas le conducteur et dont on ignore où il nous emmène. »
-> Laurent Gounelle (Le jour où j'ai appris à vivre)
- Laisse-moi deviner : tu vas dénoncer la télé, l'Internet, les réseaux sociaux, les jeux vidéo, les flots d'e-mails sur le portable, les sms...
- Je ne dénonce rien, tout ça est très utile, si on est assez vigilant pour ne pas se laisser prendre au piège. Car sais-tu pourquoi on en devient dépendant ? Parce qu'ils induisent en nous des émotions. Et vois-tu, lorsqu'on ressent des émotions, on se sent vivre. Alors on en veut, encore et encore. C'est pour ça qu'on reste connectés à tous ces réseaux sociaux. Dès qu'un message nous concerne, on ressent une émotion. Une information nous alerte ? Une émotion. Quelqu'un pense à moi ? Une émotion. Une tempête a frappé dans un pays ? Une émotion. Une fois de plus, il n'y a aucun mal à ça, mais à force d'être absorbé par ce qui vient de l'extérieur, on perd le contact avec nous-même. Plus nos émotions sont induites par l'extérieur, moins on sait les faire émerger de l'intérieur par nos propres pensées, nos actions, nos ressentis. C'est un peu comme si on vivait dans un wagonnet de montagnes russes, ballottés à longueur de journée dans un train dont on ne connaît pas le conducteur et dont on ignore où il nous emmène. »
-> Laurent Gounelle (Le jour où j'ai appris à vivre)
mardi 24 février 2015
« Grave épidémie de fomo »
« La maladie commence par un brutal accès de jalousie. Puis une boule dans la gorge. Elle descend dans l’estomac, noue vos entrailles. Vous vous sentez diminué, triste, inutile. Enfin, vous plongez dans l’abattement, irrité contre tout le monde et en particulier contre vous-même. C’est la nouvelle épidémie de "fomo". »
-> Pour en savoir plus, cliquez ici : fomo
Je ne pense pas souffrir de "fomo"... Et vous ?... :-)
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samedi 21 février 2015
L'océan et les plages bretonnes
Me voici de retour avec quelques photos prises lors d'un petit séjour en Bretagne.
L'océan, les plages bretonnes, je ne m'en lasse pas... surtout avec cette lumière si particulière.
Cliquez sur ce lien pour découvrir toutes les photos : -> L'océan et les plages bretonnes.
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L'océan, les plages bretonnes, je ne m'en lasse pas... surtout avec cette lumière si particulière.
Cliquez sur ce lien pour découvrir toutes les photos : -> L'océan et les plages bretonnes.
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dimanche 8 février 2015
Peinture de Monique (et pause)
Je trouve cette peinture très belle (petit clic dessus). C'est ma soeur Monique qui l'a peinte. Ma soeur s'est mise à peindre il y a quelques années, et, contrairement à moi, lorsqu'elle commence quelque chose, elle s'y tient. Elle a fait d'énormes progrès depuis ses débuts. J'aime beaucoup ce qu'elle fait. Elle a hérité des talents de notre père qui aimait dessiner et peindre lui aussi. Pour celles et ceux qui habitent dans la Loire ou en Haute-Loire, ou ailleurs, elle expose ses oeuvres du 3 au 23 mars. Cliquez sur le tableau qui est sur la colonne de gauche, vous aurez tous les renseignements concernant cette exposition.
Quant à moi, je mets mon blog en pause pendant une quinzaine de jours environ. Je vous dis donc à bientôt. Prenez soin de vous.
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Quant à moi, je mets mon blog en pause pendant une quinzaine de jours environ. Je vous dis donc à bientôt. Prenez soin de vous.
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