Ce n'est pas que je n'ai plus rien à vous dire, oh non !, mais je vais ralentir l'activité de mon blog. Je me rends compte que je passe à nouveau trop de temps devant l'ordinateur. Il attire cet ordinateur, hein ! En fait, j'aimerais passer plus de temps à lire (j'ai plein de livres qui attendent d'être lus), j'aimerais perfectionner mon reiki (je suis en train de passer le 3e degré), j'aimerais faire du qi gong à la maison (j'ai acheté un livre et un CD pour réviser les mouvements appris au cours du mardi), j'aimerais aller marcher plus régulièrement, j'aimerais accorder plus de temps à la méditation, j'aimerais accorder plus de temps à modeler la terre, j'aimerais préparer un recueil de poèmes, j'aimerais écrire un livre (oui carrément !) et j'aimerais aussi passer plus de temps avec mes amies et les personnes que j'aime. Donc mon blog va sommeiller pendant quelques temps. Quand l'envie sera trop forte, je posterai un billet ou une photo, je vous donnerai de mes nouvelles en même temps. Voilà, vous savez tout. A bientôt de vous lire chez vous ! BISES.
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mercredi 11 mars 2015
mardi 10 mars 2015
Si un de tes amis perd quelqu'un...
Un peu cafardeuse ce soir. Peut-être du fait de l'actualité. Et ce texte me revient en mémoire. Texte que j'ai envoyé à ma soeur qui a perdu récemment sa meilleure amie. Un très beau texte. Le voici :
« Si un de tes amis perd quelqu'un, écris-lui une lettre d'amour. Il en faut, des lettres, pour que la journée, la soirée passent quand même. On ouvre, on lit, on cherche dans les lignes le mot juste, on le trouve toujours. Si lointain que soit l'auteur de la lettre, il est là, vigilant, il t'aide à regarder la vie, il te dit qu'il sait, qu'il pense, qu'il garde, qu'il garantit. Les lettres cimentent les briques que posent les survivants. Ecris, écris, écris. Ne rate pas une occasion de le faire. Si tu as le choix entre écrire et ne pas écrire, choisis toujours d'écrire. Aucune lettre n'est déplacée. Nous en avons reçu de gens qui avaient entendu parler de nous par des amis communs, des gens que nous n'avions jamais vus. Tout est utile. Nous sommes, chacun d'entre nous, utiles à tous. J'ai gardé tout ce courrier et bien sûr ne l'ai jamais relu. J'ai oublié les mots. Des effort surhumains pour nous rejoindre dans la pauvreté du langage sont enfermés dans de grandes enveloppes à soufflets. Efforts fournis en vain ? Bien sûr que non. Tu m'aurais vue, guettant le courrier, ouvrant les enveloppes, lisant fébrilement, commentant, rangeant. Rêvant ensuite à ce qui m'avait été écrit. Y prêtant toute ma détresse. Les lettres pavaient le chemin entre mes filles et moi. » (Geneviève Jurgensen*)
*En 1980, Geneviève Jurgensen a perdu ses deux petites filles dans un accident de voiture.
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« Si un de tes amis perd quelqu'un, écris-lui une lettre d'amour. Il en faut, des lettres, pour que la journée, la soirée passent quand même. On ouvre, on lit, on cherche dans les lignes le mot juste, on le trouve toujours. Si lointain que soit l'auteur de la lettre, il est là, vigilant, il t'aide à regarder la vie, il te dit qu'il sait, qu'il pense, qu'il garde, qu'il garantit. Les lettres cimentent les briques que posent les survivants. Ecris, écris, écris. Ne rate pas une occasion de le faire. Si tu as le choix entre écrire et ne pas écrire, choisis toujours d'écrire. Aucune lettre n'est déplacée. Nous en avons reçu de gens qui avaient entendu parler de nous par des amis communs, des gens que nous n'avions jamais vus. Tout est utile. Nous sommes, chacun d'entre nous, utiles à tous. J'ai gardé tout ce courrier et bien sûr ne l'ai jamais relu. J'ai oublié les mots. Des effort surhumains pour nous rejoindre dans la pauvreté du langage sont enfermés dans de grandes enveloppes à soufflets. Efforts fournis en vain ? Bien sûr que non. Tu m'aurais vue, guettant le courrier, ouvrant les enveloppes, lisant fébrilement, commentant, rangeant. Rêvant ensuite à ce qui m'avait été écrit. Y prêtant toute ma détresse. Les lettres pavaient le chemin entre mes filles et moi. » (Geneviève Jurgensen*)
*En 1980, Geneviève Jurgensen a perdu ses deux petites filles dans un accident de voiture.
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L'acceptation est un art de vivre
« Il ne sert à rien de regretter des choix passés. La vie est ainsi, elle est jalonnée d'erreurs, et sans doute ces erreurs ont-elles leur raison d'être, sans doute nous apportent-elles quelque chose malgré tout. Accepter. L'acceptation est un art de vivre. »
-> Laurent Gounelle (Le jour où j'ai appris à vivre)
-> Laurent Gounelle (Le jour où j'ai appris à vivre)
lundi 9 mars 2015
Méfiez-vous du vent
Samedi, je suis allée à une journée de diététique chinoise, comme je le fais tous les deux ou trois mois environ. Encore un cours passionnant. Je ne vous le raconterai pas cette fois-ci, mais juste... méfiez-vous du vent ! Marie-Claude nous l'a bien dit, samedi. Et pourtant, je ne m'en suis pas méfiée hier en me baladant, et ce matin, j'ai un très fort mal à la gorge. En fait, le vent est pervers, il ouvre les pores (les portes) au froid, et aux microbes et ceux-ci, par les pores ouverts, peuvent entrer directement dans notre organisme. Hier, je suis donc allée marcher, il faisait beau, le soleil brillait, il y avait un peu de vent mais bon avec le soleil... Je n'ai rien mis autour du cou, j'ai la gorge fragile, j'ai mis tout l'hiver un foulard pour le protéger, mais hier non. Bien mal m'en a pris. J'ai bien senti la bise fraîche me piquer le cou. Et ce matin, pas manqué, j'ai mal à la gorge. Alors je vous le redis, méfiez-vous du vent ! Et aussi du soleil racoleur de mars, mois où l'on a tendance à trop se dévêtir malgré l'air encore frais et agressif...
Sinon, ma petite minette a disparu depuis deux jours, j'espère qu'il ne lui est rien arrivé. Bichette (qui n'est pas le nom de ma minette, mais juste un terme affectueux), elle n'est pas toute jeune, donc moins agile, et moins rapide. Je suis un peu inquiète. Je vous tiens au courant.
Samedi 14 mars : Ma minette n'est toujours pas rentrée. Cela va faire une semaine qu'elle a disparu. La nuit dernière, j'ai rêvé qu'elle grattait à la porte de la chambre, qu'on lui ouvrait et qu'elle venait se pelotonner et ronronner contre moi. Est-ce que cela veut dire qu'elle va revenir ? ou bien qu'elle est venue me dire adieu ?...
Lundi 23 mars : Toujours aucune nouvelle de ma minette. Pourtant, presque chaque nuit, je rêve qu'elle revient... J'espère encore mais l'espoir s'amenuise...
Sinon, ma petite minette a disparu depuis deux jours, j'espère qu'il ne lui est rien arrivé. Bichette (qui n'est pas le nom de ma minette, mais juste un terme affectueux), elle n'est pas toute jeune, donc moins agile, et moins rapide. Je suis un peu inquiète. Je vous tiens au courant.
Samedi 14 mars : Ma minette n'est toujours pas rentrée. Cela va faire une semaine qu'elle a disparu. La nuit dernière, j'ai rêvé qu'elle grattait à la porte de la chambre, qu'on lui ouvrait et qu'elle venait se pelotonner et ronronner contre moi. Est-ce que cela veut dire qu'elle va revenir ? ou bien qu'elle est venue me dire adieu ?...
Lundi 23 mars : Toujours aucune nouvelle de ma minette. Pourtant, presque chaque nuit, je rêve qu'elle revient... J'espère encore mais l'espoir s'amenuise...
jeudi 5 mars 2015
Atelier sculpture sur terre
Pendant plusieurs années, moi aussi j'ai peint : peinture à l'huile, aquarelle, peinture sur soie. Je peignais des paysages ou des motifs bien "gentils", bien réguliers, pas du tout les peintures que fait ma soeur. On me disait que je peignais bien. Mais un jour, cela ne m'a plus convenu, ma peinture était trop "sage", trop bien faite et j'ai presque envie de dire, sans âme. J'ai essayé de sortir de ces traits trop réguliers, trop contrôlés. Je n'y suis pas arrivée, alors j'ai préféré m'arrêter de peindre, cela ne m'apportait plus rien.
Par contre, le modelage de la terre est un moyen d'expression qui me convient beaucoup mieux. Le contact avec la terre, le toucher, c'est autre chose. Il y a comme une vibration entre elle et moi, un plaisir partagé, que je n'ai jamais trouvé en peignant. Je crois que c'est dans cette matière que j'arrive le mieux à me laisser aller, à ne pas vouloir contrôler, ne pas vouloir faire quelque chose de parfait ni de défini à l'avance. Même avec un modèle, je peux m'approprier la pièce. La terre est souple, elle peut se faire, se défaire, elle devient ronde, ovale, boule, carré, je peux en faire ce que je veux, elle ne m'enferme pas dans quelque chose de définitif et de stressant. Je pense que c'est ce qui me plaît également et qui me fait du bien. Le contact avec la terre est un contact tendre, doux, caressant, apaisant.
Hier, je suis allée à un atelier terre. Je vous joins quelques photos de mon "oeuvre". Je l'aime déjà beaucoup cette petite bonne femme. En yoga, on pourrait dire qu'elle est en position de l'enfant. Lorsqu'elle sera cuite, elle deviendra noire. Je remettrai une photo à ce moment-là.
Par contre, le modelage de la terre est un moyen d'expression qui me convient beaucoup mieux. Le contact avec la terre, le toucher, c'est autre chose. Il y a comme une vibration entre elle et moi, un plaisir partagé, que je n'ai jamais trouvé en peignant. Je crois que c'est dans cette matière que j'arrive le mieux à me laisser aller, à ne pas vouloir contrôler, ne pas vouloir faire quelque chose de parfait ni de défini à l'avance. Même avec un modèle, je peux m'approprier la pièce. La terre est souple, elle peut se faire, se défaire, elle devient ronde, ovale, boule, carré, je peux en faire ce que je veux, elle ne m'enferme pas dans quelque chose de définitif et de stressant. Je pense que c'est ce qui me plaît également et qui me fait du bien. Le contact avec la terre est un contact tendre, doux, caressant, apaisant.
Hier, je suis allée à un atelier terre. Je vous joins quelques photos de mon "oeuvre". Je l'aime déjà beaucoup cette petite bonne femme. En yoga, on pourrait dire qu'elle est en position de l'enfant. Lorsqu'elle sera cuite, elle deviendra noire. Je remettrai une photo à ce moment-là.
mardi 3 mars 2015
A bonne distance...
« Le malheur c'est que, si vous réussissez à attraper un
solitaire, vous le perdez : il n'est plus seul. Ce qui brillait autour de
lui commence à s'éteindre. Les vers luisants sont fascinants dans le
ciel plein d'herbe des bas fossés. Dans le creux de la main, ils n'ont
presque plus de charme et ne donnent qu'une lumière pauvre, avare.
Certaines choses et certains êtres ont besoin de la distance qui les sépare de nous, et que cette distance demeure infranchissable. Ils y puisent leur nourriture. »
-> Christian Bobin
Certaines choses et certains êtres ont besoin de la distance qui les sépare de nous, et que cette distance demeure infranchissable. Ils y puisent leur nourriture. »
-> Christian Bobin
lundi 2 mars 2015
Expo Monique - Médiathèque Villars (Loire)
Comme je vous en ai parlé le 8 février dernier, ma soeur Monique
expose ses croquis et peintures du 3 au 23 mars à la médiathèque de Villars (dans la Loire) (voir affiche sur colonne de gauche).
Si vous habitez dans le coin, elle vous invite à venir découvrir ses oeuvres et encourager son travail.
Si vous voulez la rencontrer et parler avec elle, elle sera présente tous les samedis de cette période.
Et si vous habitez trop loin,
Si vous habitez dans le coin, elle vous invite à venir découvrir ses oeuvres et encourager son travail.
Si vous voulez la rencontrer et parler avec elle, elle sera présente tous les samedis de cette période.
Et si vous habitez trop loin,
allez découvrir ses oeuvres -> ici.
Merci à vous.
samedi 28 février 2015
Fantaisie bretonne
Je me suis amusée avec Photofiltre et mes photos de Bretagne. J'aime bien cet effet coloré, mi photo mi dessin.
Pour voir d'autres photos, cliquez -> ici.
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Pour voir d'autres photos, cliquez -> ici.
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jeudi 26 février 2015
« lorsqu'on ressent des émotions, on se sent vivre... »
« - Pense à toutes ces informations auxquelles on est soumis en
permanence, tous ces stimuli.
- Laisse-moi deviner : tu vas dénoncer la télé, l'Internet, les réseaux sociaux, les jeux vidéo, les flots d'e-mails sur le portable, les sms...
- Je ne dénonce rien, tout ça est très utile, si on est assez vigilant pour ne pas se laisser prendre au piège. Car sais-tu pourquoi on en devient dépendant ? Parce qu'ils induisent en nous des émotions. Et vois-tu, lorsqu'on ressent des émotions, on se sent vivre. Alors on en veut, encore et encore. C'est pour ça qu'on reste connectés à tous ces réseaux sociaux. Dès qu'un message nous concerne, on ressent une émotion. Une information nous alerte ? Une émotion. Quelqu'un pense à moi ? Une émotion. Une tempête a frappé dans un pays ? Une émotion. Une fois de plus, il n'y a aucun mal à ça, mais à force d'être absorbé par ce qui vient de l'extérieur, on perd le contact avec nous-même. Plus nos émotions sont induites par l'extérieur, moins on sait les faire émerger de l'intérieur par nos propres pensées, nos actions, nos ressentis. C'est un peu comme si on vivait dans un wagonnet de montagnes russes, ballottés à longueur de journée dans un train dont on ne connaît pas le conducteur et dont on ignore où il nous emmène. »
-> Laurent Gounelle (Le jour où j'ai appris à vivre)
- Laisse-moi deviner : tu vas dénoncer la télé, l'Internet, les réseaux sociaux, les jeux vidéo, les flots d'e-mails sur le portable, les sms...
- Je ne dénonce rien, tout ça est très utile, si on est assez vigilant pour ne pas se laisser prendre au piège. Car sais-tu pourquoi on en devient dépendant ? Parce qu'ils induisent en nous des émotions. Et vois-tu, lorsqu'on ressent des émotions, on se sent vivre. Alors on en veut, encore et encore. C'est pour ça qu'on reste connectés à tous ces réseaux sociaux. Dès qu'un message nous concerne, on ressent une émotion. Une information nous alerte ? Une émotion. Quelqu'un pense à moi ? Une émotion. Une tempête a frappé dans un pays ? Une émotion. Une fois de plus, il n'y a aucun mal à ça, mais à force d'être absorbé par ce qui vient de l'extérieur, on perd le contact avec nous-même. Plus nos émotions sont induites par l'extérieur, moins on sait les faire émerger de l'intérieur par nos propres pensées, nos actions, nos ressentis. C'est un peu comme si on vivait dans un wagonnet de montagnes russes, ballottés à longueur de journée dans un train dont on ne connaît pas le conducteur et dont on ignore où il nous emmène. »
-> Laurent Gounelle (Le jour où j'ai appris à vivre)
mardi 24 février 2015
« Grave épidémie de fomo »
« La maladie commence par un brutal accès de jalousie. Puis une boule dans la gorge. Elle descend dans l’estomac, noue vos entrailles. Vous vous sentez diminué, triste, inutile. Enfin, vous plongez dans l’abattement, irrité contre tout le monde et en particulier contre vous-même. C’est la nouvelle épidémie de "fomo". »
-> Pour en savoir plus, cliquez ici : fomo
Je ne pense pas souffrir de "fomo"... Et vous ?... :-)
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samedi 21 février 2015
L'océan et les plages bretonnes
Me voici de retour avec quelques photos prises lors d'un petit séjour en Bretagne.
L'océan, les plages bretonnes, je ne m'en lasse pas... surtout avec cette lumière si particulière.
Cliquez sur ce lien pour découvrir toutes les photos : -> L'océan et les plages bretonnes.
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L'océan, les plages bretonnes, je ne m'en lasse pas... surtout avec cette lumière si particulière.
Cliquez sur ce lien pour découvrir toutes les photos : -> L'océan et les plages bretonnes.
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dimanche 8 février 2015
Peinture de Monique (et pause)
Je trouve cette peinture très belle (petit clic dessus). C'est ma soeur Monique qui l'a peinte. Ma soeur s'est mise à peindre il y a quelques années, et, contrairement à moi, lorsqu'elle commence quelque chose, elle s'y tient. Elle a fait d'énormes progrès depuis ses débuts. J'aime beaucoup ce qu'elle fait. Elle a hérité des talents de notre père qui aimait dessiner et peindre lui aussi. Pour celles et ceux qui habitent dans la Loire ou en Haute-Loire, ou ailleurs, elle expose ses oeuvres du 3 au 23 mars. Cliquez sur le tableau qui est sur la colonne de gauche, vous aurez tous les renseignements concernant cette exposition.
Quant à moi, je mets mon blog en pause pendant une quinzaine de jours environ. Je vous dis donc à bientôt. Prenez soin de vous.
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Quant à moi, je mets mon blog en pause pendant une quinzaine de jours environ. Je vous dis donc à bientôt. Prenez soin de vous.
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vendredi 6 février 2015
Quand approche 19 h...
Quand approche 19 h, on ne rigole plus. Ma minette vient s'installer près
de moi, dans mon bureau, et elle vient faire sa fofolle ou son intéressante,
c'est-à-dire jouer avec tout ce qu'elle trouve près d'elle, mon
chargeur de téléphone, mes stylos (il faut dire qu'elle a le choix avec mon petit "bordel" (sourire)), elle m'attrape le bras avec ses pattes,
et ceci jusqu'à ce que je me lève et aille lui donner son pâté.. Non mais !... :-)
Bon week-end à vous !
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mercredi 4 février 2015
La bonté
« La bonté se place au-dessus de la générosité parce qu'elle n'a rien à voir avec les convenances. »
-> Abla Farhoud
-> Abla Farhoud
mardi 3 février 2015
La diététique chinoise
Je suis en train de lire un livre passionnant sur la diététique chinoise : « Ces aliments qui nous soignent. » de Philippe Sionneau et Josette Chapellet. En fait, depuis quelques temps déjà, je vais régulièrement à des ateliers de diététique chinoise. Ces ateliers sont animés par Marie-Claude, une puriste dans le genre, une femme que j'apprécie beaucoup. Le dernier en date était le 17 janvier. Ce cours m'a passionnée encore plus que les premiers. Et j'ai donc envie de vous en parler. J'ai compris, notamment à ce cours, l'importance de prendre soin de son appareil digestif, et aussi comment celui-ci fonctionne. On veut bien souvent faire un régime ou bien faire attention à ce qu'on mange, on sait que ce sera meilleur pour nous, certes, mais on ne sait pas trop pourquoi. Suite au cours et à l'achat de ce livre, j'ai compris le rôle essentiel de chaque organe gérant la digestion, et j'ai donc ainsi compris l'importance de respecter certains points. Je n'ai pas vraiment changé mon alimentation, à part réduire la quantité de sucre (j'en mangeais beaucoup trop), de produits laitiers (mais j'avais déjà bien ralenti avant), et je ne mange que très peu de viande, mais bon je ne suis pas une carnivore et je ne l'ai jamais été. Je vous note ci-après quelques conseils valables pour tout le monde, même pour ceux qui ne s'intéressent pas à la diététique chinoise :
- Ne pas manger jusqu'à satiété, l'estomac devrait être plein aux 2/3 après un repas, pas plus, sinon cela demande trop d'énergie au corps pour digérer, et cela entraîne de la fatigue.
- Bien mastiquer, très important aussi, de prendre le temps de mastiquer. Manger lentement. Un proverbe indien dit qu'il faut boire ses aliments.
- Manger chaud. L'estomac a besoin d'une température de 38° pour bien digérer. Si nous mangeons froid ou glacé, cela lui demande beaucoup plus de travail et d'énergie, la digestion sera difficile.
- Eviter l'excès de cru et de froid. Contrairement aux idées reçues, manger trop de crudités n'est pas bon. «Les aliments crus demandent au corps une telle énergie pour les digérer et les assimiler que le bénéfice réel (leur richesse en vitamines et en minéraux) est nettement moins intéressant que ce que l'on pouvait imaginer.» En fait, il faut trouver un juste compromis entre cru et cuit : ne pas les faire trop cuire pour conserver les vitamines, donc une cuisson courte, ce qui laissera aux légumes leur croquant et leur saveur.
- Boire peu avant et pendant le repas, et boire chaud à la fin du repas (thé, tisane, ...). La boisson chaude facilitera la digestion et est favorable à une meilleure assimilation des aliments.
- Manger dans le calme et la sérénité (si possible...). Laisser les tensions en dehors de la salle à manger. Pas de télé, pas de radio, pas d'info, et pas de disputes !...
- Pratiquer une courte marche après le repas. Cela aide aussi à bien digérer.
Ensuite, il faut savoir que tel aliment n'est pas forcément bon pour chaque personne. Nous sommes tous différents, avec des terrains différents. Il faut en tenir compte dans son alimentation. Et il est bon de savoir aussi que chaque aliment a une propriété médicinale :
Quatrième de couverture (extraits) de « Ces aliments qui nous soignent. » :
« Saviez-vous que, selon la diététique chinoise, le concombre traite la rétention d'eau, le céleri soulage l'hypertension artérielle, la pomme de terre soigne les ulcères de l'estomac, la carotte fait baisser le taux de cholestérol, le cèpe traite la fatigue, le kiwi fait digérer, la pêche soigne la constipation, la mangue empêche les vomissements, (...), le gingembre prévient les intoxications alimentaires ? ».
Etc., etc.
Enfin bref, je suis en train d'apprendre une nouvelle façon de me nourrir et qui, ma foi, a l'air de fort bien me convenir... :-)
- Ne pas manger jusqu'à satiété, l'estomac devrait être plein aux 2/3 après un repas, pas plus, sinon cela demande trop d'énergie au corps pour digérer, et cela entraîne de la fatigue.
- Bien mastiquer, très important aussi, de prendre le temps de mastiquer. Manger lentement. Un proverbe indien dit qu'il faut boire ses aliments.
- Manger chaud. L'estomac a besoin d'une température de 38° pour bien digérer. Si nous mangeons froid ou glacé, cela lui demande beaucoup plus de travail et d'énergie, la digestion sera difficile.
- Eviter l'excès de cru et de froid. Contrairement aux idées reçues, manger trop de crudités n'est pas bon. «Les aliments crus demandent au corps une telle énergie pour les digérer et les assimiler que le bénéfice réel (leur richesse en vitamines et en minéraux) est nettement moins intéressant que ce que l'on pouvait imaginer.» En fait, il faut trouver un juste compromis entre cru et cuit : ne pas les faire trop cuire pour conserver les vitamines, donc une cuisson courte, ce qui laissera aux légumes leur croquant et leur saveur.
- Boire peu avant et pendant le repas, et boire chaud à la fin du repas (thé, tisane, ...). La boisson chaude facilitera la digestion et est favorable à une meilleure assimilation des aliments.
- Manger dans le calme et la sérénité (si possible...). Laisser les tensions en dehors de la salle à manger. Pas de télé, pas de radio, pas d'info, et pas de disputes !...
- Pratiquer une courte marche après le repas. Cela aide aussi à bien digérer.
Ensuite, il faut savoir que tel aliment n'est pas forcément bon pour chaque personne. Nous sommes tous différents, avec des terrains différents. Il faut en tenir compte dans son alimentation. Et il est bon de savoir aussi que chaque aliment a une propriété médicinale :
Quatrième de couverture (extraits) de « Ces aliments qui nous soignent. » :
« Saviez-vous que, selon la diététique chinoise, le concombre traite la rétention d'eau, le céleri soulage l'hypertension artérielle, la pomme de terre soigne les ulcères de l'estomac, la carotte fait baisser le taux de cholestérol, le cèpe traite la fatigue, le kiwi fait digérer, la pêche soigne la constipation, la mangue empêche les vomissements, (...), le gingembre prévient les intoxications alimentaires ? ».
Etc., etc.
Enfin bref, je suis en train d'apprendre une nouvelle façon de me nourrir et qui, ma foi, a l'air de fort bien me convenir... :-)
lundi 2 février 2015
Et encore des petits piafs...
parce que décidément, en ce moment, ce sont eux qui m'inspirent le mieux... :-)
« Les oiseaux, c'est comme l'amour, ça a toujours existé. Toutes les espèces disparaissent, mais pas les oiseaux. Comme l'amour. »
-> Le Marin de Gibraltar (Marguerite Duras)
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« Les oiseaux, c'est comme l'amour, ça a toujours existé. Toutes les espèces disparaissent, mais pas les oiseaux. Comme l'amour. »
-> Le Marin de Gibraltar (Marguerite Duras)
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dimanche 1 février 2015
samedi 31 janvier 2015
Pierre Rabhi, un homme sage
J'ai regardé cette vidéo chez Kristel, et j'ai envie de la partager avec vous :
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vendredi 30 janvier 2015
Frimousse féline
Cet après-midi, ma minette a bien voulu poser... alors, forcément, elle veut que je l'affiche... :-)
Elle va avoir 13 ans en avril. Et elle est toujours aussi adorable. Regardez ces yeux, ils disent tout, non ?... Amour, amour, amour... (sourire)
Elle va avoir 13 ans en avril. Et elle est toujours aussi adorable. Regardez ces yeux, ils disent tout, non ?... Amour, amour, amour... (sourire)
mercredi 28 janvier 2015
Le fatalisme a des limites
« Le fatalisme a des limites. Nous devons nous en remettre au sort uniquement lorsque nous avons épuisé tous les remèdes. »
-> Gandhi
Pour les personnes qui ont tendance à baisser les bras un peu trop rapidement ou qui pensent que tout est foutu d'avance... Si l'on cherche bien, si on le désire vraiment, il y a toujours quelque chose à faire avant de se résigner à son triste sort... C'est mon avis. :-)
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-> Gandhi
Pour les personnes qui ont tendance à baisser les bras un peu trop rapidement ou qui pensent que tout est foutu d'avance... Si l'on cherche bien, si on le désire vraiment, il y a toujours quelque chose à faire avant de se résigner à son triste sort... C'est mon avis. :-)
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dimanche 25 janvier 2015
Le monde intérieur de Bégé
Je continue dans le domaine de la Peinture. Il y a trois ans, je vous parlais de l'artiste peintre Bégé dont j'avais pu admirer quelques oeuvres lors de l'une de ses expositions à Lyon. Je continue de suivre l'actualité de son monde intérieur et son évolution, car j'aime toujours autant ses peintures, elles me touchent quelque part, et me questionnent également. Qui sont tous ces petits personnages qui s'agitent sur ses toiles, qui se contorsionnent, qui se débattent peut-être même ? Que veulent-ils nous dire ? Que veulent-ils me dire ? Pourquoi me touchent-ils ? J'aurai peut-être un jour la réponse, qui sait ? En attendant, je les laisse me parler et me toucher...
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas Bégé, je vous laisse découvrir.
Son blog -> Le monde intérieur de Bégé.
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas Bégé, je vous laisse découvrir.
Son blog -> Le monde intérieur de Bégé.
jeudi 22 janvier 2015
La pie
Un tableau que j'aime : "La pie" de Claude Monet.
Jacques a trouvé la réponse ! En fait, il s'agit de l'ombre de la pie. Regardez bien : le bec de la pie est tourné vers la droite, sur l'ombre également, donc c'est normal. Mais si vous regardez bien la queue, elle est orientée vers la droite, par contre sur l'ombre elle est orientée vers la gauche. C'est là que se trouve l'erreur. On dit (sur internet) que Claude Monet s'était justifié à un critique d'art en expliquant qu'il l'avait ainsi peinte pour des raisons d'esthétisme. En fait, on ne sait pas vraiment si cette erreur est intentionnelle ou involontaire... Et on ne le saura sans doute jamais.
Merci à vous d'avoir réfléchi à la question ! Et ainsi d'avoir mis à jour d'autres éléments de cette si belle peinture hivernale.
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mercredi 21 janvier 2015
La neige blanche et apaisante...
Lors d'une balade sous la neige cet après-midi avec une amie. J'adore cette photo*.
-> un petit clic dessus pour l'agrandir... :-)
*D'ailleurs, pourquoi une photo nous parle-t-elle plus qu'une autre ? Cette photo m'émeut, mais je ne sais pas dire pourquoi. Il serait sans doute intéressant d'en connaître la raison. Je vais y réfléchir...
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mardi 20 janvier 2015
Savoir qu'il y a quelqu'un...
« Savoir qu'il y a quelqu'un quelque part qui pense à vous, qui vous réserve un petit coin dans son coeur, au chaud, à l'abri de tout, c'est comme une couverture toute douce qui vous enveloppe et vous protège du froid.
»
-> Agnès Ledig
-> Agnès Ledig
dimanche 18 janvier 2015
Un billet pour elle...
Cet après-midi, comme chaque année à la même époque, j'ai revêtu mon habit de guichetière pour accueillir le public venant assister à la pièce de théâtre jouée par la troupe du petit village où je vis. Une troupe qui existe depuis 63 ans, nombreux comédiens se sont succédé sur les planches. Cette troupe a un succès grandissant, puisque sept représentations ont lieu maintenant, et il faut le préciser, à guichet fermé. J'avais écrit un billet à ce sujet il y a trois ans. Si vous voulez le relire ou le découvrir, cliquez ici.
Mais sur le billet de ce soir, je veux vous parler d'autre chose. Cet après-midi, une famille est arrivée, des grands-parents avec leurs enfants et petits-enfants. Le grand-père faisait partie de la troupe il y a quelques années, et lors des voyages organisées par celle-ci, il venait accompagné de sa dame. Une petite dame tout à fait charmante, discrète, souriante, une petite dame que j'aimais beaucoup. Tous les deux ont vieilli. Lui reste dorénavant près de sa femme, celle-ci ayant des problèmes de santé. Elle ne peut rester toute seule, étant sujette régulièrement à de petits malaises. Cet après-midi, donc, ils sont passés au guichet. Je l'ai vue. Elle m'a regardée, souriante, mais le regard un peu perdu. Je lui ai dit bonjour, elle m'a reconnue, je l'ai embrassée. Si je n'avais pas eu cette fichue retenue, et puis elle n'en avait peut-être pas envie, mais j'aurais eu envie de la prendre dans mes bras. Elle paraissait tellement petite et fragile. Elle m'a profondément émue. Lorsque tous deux étaient encore alertes, et qu'ils venaient faire les voyages avec nous, j'aimais beaucoup discuter avec elle, elle était vraiment intéressante et agréable. Et puis, elle était la gentillesse même. De la voir maintenant, si fragile, si petite, si menue, cela m'a fait quelque chose. J'aurais vraiment eu envie de la prendre dans mes bras...
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Mais sur le billet de ce soir, je veux vous parler d'autre chose. Cet après-midi, une famille est arrivée, des grands-parents avec leurs enfants et petits-enfants. Le grand-père faisait partie de la troupe il y a quelques années, et lors des voyages organisées par celle-ci, il venait accompagné de sa dame. Une petite dame tout à fait charmante, discrète, souriante, une petite dame que j'aimais beaucoup. Tous les deux ont vieilli. Lui reste dorénavant près de sa femme, celle-ci ayant des problèmes de santé. Elle ne peut rester toute seule, étant sujette régulièrement à de petits malaises. Cet après-midi, donc, ils sont passés au guichet. Je l'ai vue. Elle m'a regardée, souriante, mais le regard un peu perdu. Je lui ai dit bonjour, elle m'a reconnue, je l'ai embrassée. Si je n'avais pas eu cette fichue retenue, et puis elle n'en avait peut-être pas envie, mais j'aurais eu envie de la prendre dans mes bras. Elle paraissait tellement petite et fragile. Elle m'a profondément émue. Lorsque tous deux étaient encore alertes, et qu'ils venaient faire les voyages avec nous, j'aimais beaucoup discuter avec elle, elle était vraiment intéressante et agréable. Et puis, elle était la gentillesse même. De la voir maintenant, si fragile, si petite, si menue, cela m'a fait quelque chose. J'aurais vraiment eu envie de la prendre dans mes bras...
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jeudi 15 janvier 2015
Paysages de neige en Haute-Loire
Allez, suivez ces pas de neige, ils vous conduiront vers de jolis paysages tout blancs où je me suis baladée fin décembre début janvier. Vous ferez aussi la connaissance de Bella, adorable et joyeuse petite chienne, qui aime tant courir et sauter dans la neige !
Cliquez -> ici pour vous y rendre.
« Les héritiers », au cinéma hier soir
Hier soir, sortie cinéma. Je suis allée voir "Les héritiers". Un très bon film, tiré d'une histoire vraie, film plein d'espoir, qui fait du bien...
Le résumé pris sur L'internaute :
« Une professeure désabusée intègre le collège Léon Blum de Créteil, avec des élèves peu motivés et désabusés par le système scolaire. Elle sait qu'elle doit donner un sens à sa vie, et peut-être à celle de ses élèves. C'est ainsi qu'elle décide de les intéresser à l'histoire et les inscrit au Concours national de la Résistance et de la Déportation. Les cancres se découvrent des ressources qu'ils ne soupçonnaient pas et vont reprendre confiance en eux et en leurs capacités. Les leçons ne profitent pas uniquement aux élèves, qui eux aussi redonnent goût à l'enseignement à celle qui n'y croyait plus. "Les Héritiers", qui devait à l'origine s'appeler "La Morale de l'Histoire" est inspiré d'une histoire vraie, qui s'est déroulée au sein même du lycée Léon Blum de Créteil (...). »
« Une professeure désabusée intègre le collège Léon Blum de Créteil, avec des élèves peu motivés et désabusés par le système scolaire. Elle sait qu'elle doit donner un sens à sa vie, et peut-être à celle de ses élèves. C'est ainsi qu'elle décide de les intéresser à l'histoire et les inscrit au Concours national de la Résistance et de la Déportation. Les cancres se découvrent des ressources qu'ils ne soupçonnaient pas et vont reprendre confiance en eux et en leurs capacités. Les leçons ne profitent pas uniquement aux élèves, qui eux aussi redonnent goût à l'enseignement à celle qui n'y croyait plus. "Les Héritiers", qui devait à l'origine s'appeler "La Morale de l'Histoire" est inspiré d'une histoire vraie, qui s'est déroulée au sein même du lycée Léon Blum de Créteil (...). »
mardi 13 janvier 2015
Croyez en l'extase des nuages...
Croyez en l'extase des nuages qui traversent les grands horizons,
au petit vent du soir, au cœur de l'été chaud.
Croyez en la douceur d'une amitié, d'un amour,
à la main qui serre votre main.
Car demain, mais n'y pensez pas,
demain éclateront peut-être les nuages et l'orage emportera vos amours.
Tenez-vous serrés,
ne vous endormez pas sur un reproche non formulé,
endormez-vous réconciliés.
endormez-vous réconciliés.
Vivez le peu que vous vivez dans la clarté.
Julos Beaucarne
Photo faite ce matin.
lundi 12 janvier 2015
Le ciel de ce soir... un coeur...
Beaucoup de fils, certes, mais ils sont là, il faut faire avec.
Par contre, voyez-vous ce coeur tout bleu au milieu des nuages ? :-)
dimanche 11 janvier 2015
« Je pense de toutes mes forces qu'il faut s'aimer à tort et à travers »
J'avais déjà publié ce texte de Julos Beaucarne sur mon ancien blog "Un coeur qui bat" en 2010. Je viens de le relire chez mon amie Coumarine et j'ai envie de le déposer également ici ce soir. Il y aura tout à fait sa place en cette période.
« Je pense de toutes mes forces, qu'il faut s'aimer à tort et à travers », écrit Julos Beaucarne, dans une lettre ouverte, alors que sa compagne vient d'être assassinée en 1975 par un déséquilibré.
« Ma loulou est partie pour le pays de l'envers du décor. Un homme lui a donné neuf coups de poignards dans sa peau douce. C'est la société qui est malade. Il nous faut la remettre d'aplomb et d'équerre, par l'amour, et l'amitié, et la persuasion.
C'est l'histoire de mon petit amour à moi, arrêté sur le seuil de ses 33 ans. Ne perdons pas courage, ni vous ni moi, je vais continuer ma vie et mes voyages avec ce poids à porter en plus et nos deux chéris qui lui ressemblent.
Sans vous commander, je vous demande d'aimer plus que jamais ceux qui vous sont proches. Le monde est une triste boutique, les cœurs purs doivent se mettre ensemble pour l'embellir, il faut reboiser l'âme humaine. Je resterai sur le pont, je resterai un jardinier, je cultiverai mes plantes de langage. A travers mes dires, vous retrouverez ma bien-aimée ; il n'est de vrai que l'amitié et l'amour. Je suis maintenant très loin au fond du panier des tristesses. On doit manger chacun, dit-on, un sac de charbon pour aller en paradis. Ah ! Comme j'aimerais qu'il y ait un paradis, comme ce serait doux les retrouvailles.
En attendant, à vous autres, mes amis de l'ici-bas, face à ce qui m'arrive, je prends la liberté, moi qui ne suis qu'un histrion, qu'un batteur de planches, qu'un comédien qui fait du rêve avec du vent, je prends la liberté de vous écrire pour vous dire ce à quoi je pense aujourd'hui : Je pense de toutes mes forces qu'il faut s'aimer à tort et à travers. »
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« Je pense de toutes mes forces, qu'il faut s'aimer à tort et à travers », écrit Julos Beaucarne, dans une lettre ouverte, alors que sa compagne vient d'être assassinée en 1975 par un déséquilibré.
« Ma loulou est partie pour le pays de l'envers du décor. Un homme lui a donné neuf coups de poignards dans sa peau douce. C'est la société qui est malade. Il nous faut la remettre d'aplomb et d'équerre, par l'amour, et l'amitié, et la persuasion.
C'est l'histoire de mon petit amour à moi, arrêté sur le seuil de ses 33 ans. Ne perdons pas courage, ni vous ni moi, je vais continuer ma vie et mes voyages avec ce poids à porter en plus et nos deux chéris qui lui ressemblent.
Sans vous commander, je vous demande d'aimer plus que jamais ceux qui vous sont proches. Le monde est une triste boutique, les cœurs purs doivent se mettre ensemble pour l'embellir, il faut reboiser l'âme humaine. Je resterai sur le pont, je resterai un jardinier, je cultiverai mes plantes de langage. A travers mes dires, vous retrouverez ma bien-aimée ; il n'est de vrai que l'amitié et l'amour. Je suis maintenant très loin au fond du panier des tristesses. On doit manger chacun, dit-on, un sac de charbon pour aller en paradis. Ah ! Comme j'aimerais qu'il y ait un paradis, comme ce serait doux les retrouvailles.
En attendant, à vous autres, mes amis de l'ici-bas, face à ce qui m'arrive, je prends la liberté, moi qui ne suis qu'un histrion, qu'un batteur de planches, qu'un comédien qui fait du rêve avec du vent, je prends la liberté de vous écrire pour vous dire ce à quoi je pense aujourd'hui : Je pense de toutes mes forces qu'il faut s'aimer à tort et à travers. »
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samedi 10 janvier 2015
Le vrai démocrate...
« Le vrai démocrate est celui qui, grâce à des moyens purement non
violents, défend sa liberté, par conséquent celle de son pays et
finalement celle de l'humanité tout entière. »
-> Gandhi
Ce matin, le soleil a eu raison du brouillard...
-> Gandhi
Ce matin, le soleil a eu raison du brouillard...
mercredi 7 janvier 2015
Et si en plus y'a personne...
Je n'aime pas écouter les infos, celles-ci sont toujours porteuses de mauvaises nouvelles et je les évite. Pourtant je suis loin d'être indifférente à ce qui se passe. Chaque fois qu'un homme en tue un autre, je souffre, et je suis dans l'incompréhension la plus totale : comment peut-on tuer son prochain, au nom de quoi, au nom de qui ?!!! Et si en plus y'a personne ?...
Profonde tristesse...
Profonde tristesse...
mardi 6 janvier 2015
Comment ne pas s'émerveiller ?
Photo faite ce matin de la fenêtre de mon (ancien) bureau.
Brouillard se dissipant, soleil levant, silence ambiant, émerveillement.
En début d'après-midi, en revenant de mon cours de qi gong. Je me suis garée, je suis descendue de voiture et j'ai admiré, c'était tellement beau ! Et j'ai fait une photo pour vous en faire profiter. Elle est belle ma région, n'est-ce pas ! :-)
samedi 3 janvier 2015
Heureuse année 2015
« Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir,
et l'envie furieuse d'en réaliser quelques-uns.
Je vous souhaite d'aimer ce qu'il faut aimer,
et d'oublier ce qu'il faut oublier.
Je vous souhaite des passions.
Je vous souhaite des silences.
Je vous souhaite des chants d'oiseaux au réveil
et des rires d'enfants.
Je vous souhaite de résister à l'enlisement, à l'indifférence,
aux vertus négatives de notre époque.
Je vous souhaite surtout d'être vous. »
Jacques Brel
Je crois que Jacques Brel a tout dit, n'est-ce pas ?
C'est donc avec ces mots que je vous souhaite une très belle année 2015 !
Je crois que Jacques Brel a tout dit, n'est-ce pas ?
C'est donc avec ces mots que je vous souhaite une très belle année 2015 !
Arlempdes, magnifique petit village de Haute-Loire
(photo prise le 1er janvier de cette nouvelle année)
vendredi 19 décembre 2014
Belles fêtes de fin d'année
Nous sommes le 19 décembre et toujours pas de neige à l'horizon dans ma région. Alors je vous offre ces deux photos faites il y a juste un instant, magnifique ciel coloré et ombres chinoises...
Je mets mon blog en pause pour deux semaines environ, le temps d'aller à droite et à gauche, le temps de profiter de mes petits et de mes grands, de ma famille, de mes amis. Et je vous donne rendez-vous en 2015 !
Je vous souhaite de très belles fêtes de fin d'année. Qu'elles soient aussi belles et douces que les couleurs de ce ciel. Je vous embrasse bien fort.
Je mets mon blog en pause pour deux semaines environ, le temps d'aller à droite et à gauche, le temps de profiter de mes petits et de mes grands, de ma famille, de mes amis. Et je vous donne rendez-vous en 2015 !
Je vous souhaite de très belles fêtes de fin d'année. Qu'elles soient aussi belles et douces que les couleurs de ce ciel. Je vous embrasse bien fort.
jeudi 18 décembre 2014
« Le recruteur » - Genevieve Clay-Smith et Robin Bryan
« Un petit court-métrage génial. Grand prix du CM et prix du public au festival EOP! 2013. (...)
Thomas Howell doit passer un entretien d’embauche dans un cabinet d’avocats réputé. Quand il voit arriver le recruteur, son étonnement est sans bornes … »
Allez consulter la page de Wikipédia consacrée à Pablo Pineda, vous verrez que ce court-métrage n'a rien d'une fiction. :-)
Thomas Howell doit passer un entretien d’embauche dans un cabinet d’avocats réputé. Quand il voit arriver le recruteur, son étonnement est sans bornes … »
Court-métrage qui m'a émue et touchée...
sans doute, et même sûrement, parce que je suis sensibilisée par la "différence"...
sans doute, et même sûrement, parce que je suis sensibilisée par la "différence"...
Allez consulter la page de Wikipédia consacrée à Pablo Pineda, vous verrez que ce court-métrage n'a rien d'une fiction. :-)
mardi 16 décembre 2014
Une jolie histoire
Une jolie histoire trouvée -> ici.
« Une tribu africaine possède une très belle manière de punir ceux qui agissent mal. Quand une personne fait une mauvaise action, ils l’amènent au centre du village et toute la tribu l’entoure. Durant deux journées, les membres de la tribu vont dire à cette personne toutes les bonnes choses qu’elle a accomplies jusqu’à présent. Cette tribu croit que tous les êtres humains qui viennent sur terre sont bons et que nous désirons tous la sécurité, le bonheur, l’amour et la paix. En essayant de chercher le bonheur, nous faisons parfois une erreur et cette communauté perçoit l’erreur comme un appel à l’aide. Ils s’unissent ensemble pour le bien-être de cet individu, pour l’aider à se reconnecter avec sa vraie nature, pour l’aider à se rappeler qu’il est fondamentalement bon jusqu’à ce qu’il se souvienne de sa bonté dont il a été déconnecté. »
(Par Alexandre, 12 mai 2014)
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Photo prise sur le net |
(Par Alexandre, 12 mai 2014)
lundi 15 décembre 2014
Commentaires et questionnement
Lorsque nous déposons une citation ou bien un texte d'un auteur quelconque et qu'un commentaire attaque les mots de l'auteur, nous nous sentons forcément nous aussi un peu attaqués, car même si ce n'est pas nous qui avons écrit ce texte, c'est tout de même nous qui l'avons choisi et déposé. Faut-il justifier son choix ? Se justifier ? Je n'aime pas ce verbe "se justifier", se justifier c'est que nous nous sentons coupables, mais coupables de quoi ? Coupables de trouver du sens à des mots qui semblent dangereux à d'autres ? Mais si ces mots nous parlent et nous interpellent, c'est notre droit, cela nous appartient. Ce qui est intéressant alors, au lieu de créer un conflit, c'est de pouvoir échanger nos points de vue, parfois très différents, car cela peut être une source d'échanges enrichissants. Si l'autre n'adhère pas du tout aux propos de l'auteur que nous avons cité, il a sûrement une bonne raison, et il faut l'écouter aussi. Après tout, l'autre peut nous apprendre... comme nous aussi nous pouvons lui apprendre...
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Il n'y a pas de raison sans passion
« Il n'y a pas de raison sans passion, et il ne devrait pas y avoir de passion sans raison. La pensée complexe que je défends part du latin complexus, qui veut dire "ce qui est tissé ensemble", afin d'opérer une tension permanente entre l'aspiration à un savoir non parcellaire, non cloisonné, non réducteur, et la reconnaissance de l'inachèvement et de l'incomplétude de toute connaissance. "complexe" ne signifie nullement "compliqué", encore moins "obscur" ou "abscons", mais désigne cette forme de pensée qui relie un tout à ses parties, articule au lieu de segmenter. »
-> Edgar Morin
« raison », « passion », « complexe », « tissé ensemble », « aspiration », « non parcellaire »,
« non cloisonné », « non réducteur », « reconnaissance », « inachèvement », « incomplétude »,
« connaissance », « relie », « articule ».
Enfin bref, tous des mots qui me parlent... :-)
-> Edgar Morin
« raison », « passion », « complexe », « tissé ensemble », « aspiration », « non parcellaire »,
« non cloisonné », « non réducteur », « reconnaissance », « inachèvement », « incomplétude »,
« connaissance », « relie », « articule ».
Enfin bref, tous des mots qui me parlent... :-)
dimanche 14 décembre 2014
SAISIR
J'ai envie de vous offrir un poème ce soir, un très beau poème :
Recueillir le grain des heures
Etreindre l'étincelle
Ravir un paysage
Absorber l'hiver avec le rire
Dissoudre les noeuds du chagrin
S'imprégner d'un visage
Moissonner à voix basse
Flamber pour un mot tendre
Embrasser la ville et ses reflux
Ecouter l'océan en toutes choses
Entendre les sierras du silence
Transcrire la mémoire des miséricordieux
Relire un poème qui avive
Saisir chaque maillon d'amitié.
Andrée Chedid - « Au coeur du coeur »
Recueillir le grain des heures
Etreindre l'étincelle
Ravir un paysage
Absorber l'hiver avec le rire
Dissoudre les noeuds du chagrin
S'imprégner d'un visage
Moissonner à voix basse
Flamber pour un mot tendre
Embrasser la ville et ses reflux
Ecouter l'océan en toutes choses
Entendre les sierras du silence
Transcrire la mémoire des miséricordieux
Relire un poème qui avive
Saisir chaque maillon d'amitié.
Andrée Chedid - « Au coeur du coeur »
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