Pas encore de nouvel article, je suis encore en mode pause, mais par contre de nouvelles photos. Si vous voulez aller les voir, cliquez sur le titre ci-dessous :
jeudi 31 juillet 2014
mardi 22 juillet 2014
Petite parenthèse dans la pause estivale
Je dépose ce soir ces deux petits coeurs photographiés début juillet en Bretagne (avec mon téléphone portable ce qui explique leur qualité moyenne). C'est juste une petite parenthèse car je suis encore en pause estivale, mais je ne voulais pas attendre pour vous les offrir... Le premier a été photographié sur la plage de Saint Marc sur mer et le deuxième à La Gacilly.
C'est pour vous ! A bientôt. :-)
C'est pour vous ! A bientôt. :-)
jeudi 3 juillet 2014
Pause estivale
Voici le moment de faire une pause ! Je vous retrouverai d'ici quelques semaines au même endroit, à la même heure... euh, la même heure, c'est pas certain... :-)
Passez un bel été, imprégnez-vous de chaque instant de bonheur, faites le plein d'énergie, le plein de soleil, le plein d'amour.
Passez un bel été, imprégnez-vous de chaque instant de bonheur, faites le plein d'énergie, le plein de soleil, le plein d'amour.
A bientôt ! Je vous embrasse.
Roses de chez moi avec une petite invitée qui s'empresse de décoller !... :-) |
mercredi 2 juillet 2014
mardi 1 juillet 2014
Regretter ce que l'on n'a pas...
« Regretter ce que l’on n’a pas, se plaindre de ses manques, espérer être quelqu’un d’autre empêche de faire fructifier ses atouts et de révéler celui que l’on est naturellement, essentiellement. »
-> "Confidences d'un homme en quête de cohérence" de Thierry Janssen
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-> "Confidences d'un homme en quête de cohérence" de Thierry Janssen
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lundi 30 juin 2014
Les petites guerres quotidiennes de nos relations intimes
En fin de semaine, je mettrai mon blog en pause estivale, mais avant cela, je m'empresse de déposer encore quelques citations qui me parlent dans la période, ce qui ne sera peut-être pas le cas lors de mon retour. On ne sait jamais. Et ce serait dommage de les laisser dans mes tiroirs et de ne pas vous en faire profiter. :-)
« A la lecture de cet effroyable récit des petites guerres quotidiennes de nos relations intimes, certains pourraient choisir de s'abstenir du moindre contact avec un autre. Ce serait probablement une erreur car une relation même conflictuelle nous en apprend davantage sur nous-mêmes que toute une vie d'isolement. »
-> Vivre en paix : Comment transformer la peur en amour de Thierry Janssen
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« A la lecture de cet effroyable récit des petites guerres quotidiennes de nos relations intimes, certains pourraient choisir de s'abstenir du moindre contact avec un autre. Ce serait probablement une erreur car une relation même conflictuelle nous en apprend davantage sur nous-mêmes que toute une vie d'isolement. »
-> Vivre en paix : Comment transformer la peur en amour de Thierry Janssen
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dimanche 29 juin 2014
Deviens capable d'aimer
« Deviens capable d'aimer sans souvenir, sans fantasme et sans interprétation, sans faire le point. Qu'il y ait seulement des flux, qui tantôt tarissent, se glacent ou débordent, tantôt se conjuguent ou s'écartent. »
-> Gilles Deleuze, Dialogues
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-> Gilles Deleuze, Dialogues
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samedi 28 juin 2014
Addiction au sucre
Voici une habitude dont j'aimerais bien arriver à me débarrasser : manger du sucre, du sucre sous toutes ses formes : gâteaux, chocolat, glaces, etc. Mais quand l'habitude remonte à l'enfance, quand l'habitude est liée à l'enfance, ce n'est pas évident du tout. En fait, lorsque j'étais gamine, je mangeais très peu, je n'avais pas d'appétit, et cela angoissait ma mère, c'est normal, quelle mère ne s'inquiète-t-elle pas si son enfant ne mange pas ? Par contre, j'adorais le sucre. Alors, comme je mangeais très peu à table, ma mère me donnait des choses que j'aimais, c'est-à-dire des gâteaux, du sucre, du chocolat. Ainsi, je mangeais et cela ôtait son angoisse.
J'ai toujours eu un problème avec mon image, avec mon poids. Lorsque j'étais adolescente, je me trouvais trop grosse, alors que je rentrais dans du 36 ! Au pire dans du 38 ! Au fil des années, j'ai pris des kilos, car j'ai continué à manger beaucoup d'aliments sucrés. Aujourd'hui, sans être très grosse, j'aimerais toutefois perdre quelques kilos, pour ma santé d'abord, et puis pour ma ligne bien sûr. Mais je n'arrive pas à avoir la volonté de me passer de sucre. Pourtant, si je ne mangeais pas de sucre juste pendant disons un mois, je perdrais à tous les coups 4 kilos d'emblée. Oui mais voilà, l'envie de sucre est plus forte. On peut dire que c'est une addiction au sucre. J'ai essayé plusieurs régimes, sans succès durable. Je crois qu'il faut que je fasse un travail par rapport à ce besoin de sucre, me poser la question de savoir pourquoi j'en ai tant besoin, qu'est-ce que cela signifie pour moi. "Tiens, mange un bonbon, ça te fera du bien !", c'est ce qu'on me disait lorsque, enfant, je me faisais mal, ou que je pleurais. Et maintenant, que veux-je soigner avec toutes ces choses sucrées que j'avale ? Que veux-je combler ? Je crois qu'il est là le problème, et que c'est en me posant cette question que je peux peut-être me "guérir" du sucre...
Et vous ! êtes-vous accros au sucre ? Arrivez-vous à vous raisonner pour ne pas trop en manger ? Avez-vous trouvé la clé pour vous en passer ? J'aimerais que vous me racontiez, cela m'intéresserait et me serait sûrement très utile. Merci.
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J'ai toujours eu un problème avec mon image, avec mon poids. Lorsque j'étais adolescente, je me trouvais trop grosse, alors que je rentrais dans du 36 ! Au pire dans du 38 ! Au fil des années, j'ai pris des kilos, car j'ai continué à manger beaucoup d'aliments sucrés. Aujourd'hui, sans être très grosse, j'aimerais toutefois perdre quelques kilos, pour ma santé d'abord, et puis pour ma ligne bien sûr. Mais je n'arrive pas à avoir la volonté de me passer de sucre. Pourtant, si je ne mangeais pas de sucre juste pendant disons un mois, je perdrais à tous les coups 4 kilos d'emblée. Oui mais voilà, l'envie de sucre est plus forte. On peut dire que c'est une addiction au sucre. J'ai essayé plusieurs régimes, sans succès durable. Je crois qu'il faut que je fasse un travail par rapport à ce besoin de sucre, me poser la question de savoir pourquoi j'en ai tant besoin, qu'est-ce que cela signifie pour moi. "Tiens, mange un bonbon, ça te fera du bien !", c'est ce qu'on me disait lorsque, enfant, je me faisais mal, ou que je pleurais. Et maintenant, que veux-je soigner avec toutes ces choses sucrées que j'avale ? Que veux-je combler ? Je crois qu'il est là le problème, et que c'est en me posant cette question que je peux peut-être me "guérir" du sucre...
Et vous ! êtes-vous accros au sucre ? Arrivez-vous à vous raisonner pour ne pas trop en manger ? Avez-vous trouvé la clé pour vous en passer ? J'aimerais que vous me racontiez, cela m'intéresserait et me serait sûrement très utile. Merci.
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jeudi 26 juin 2014
Rien n'est jamais acquis
« Notre vie est un compromis, une tentative pour maintenir un équilibre entre des pulsions contraires. Rien n’est jamais acquis. »
-> Confidences d'un homme en quête de cohérence, de Thierry Janssen
Un livre que j'achèterai certainement car je viens d'en lire plusieurs extraits et ceux-ci ne me laissent pas indifférente. Serais-je moi aussi en quête de cohérence ?... :-)
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-> Confidences d'un homme en quête de cohérence, de Thierry Janssen
Un livre que j'achèterai certainement car je viens d'en lire plusieurs extraits et ceux-ci ne me laissent pas indifférente. Serais-je moi aussi en quête de cohérence ?... :-)
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mercredi 25 juin 2014
Yves JAMAIT - Prendre la route
Quand je pense qu'il est passé à Saint-Etienne et que je n'ai pas pu aller le voir... (soupir)
Mais bon, j'espère qu'il reviendra bien vite dans ma région et que je pourrai cette fois aller à son concert ! :-)
mardi 24 juin 2014
Aujourd'hui, c'est la Saint Jean
Il y a quelques semaines, alors que je faisais du tri dans mon courrier, j'ai retrouvé plusieurs lettres que j'avais adressées à mon frère lorsque j'avais 17 ans, lui en avait alors 20, et qu'il se trouvait loin de la maison pour ses études. Je lui confiais mes petits soucis, mes questionnements, mes coups de coeur musicaux, les derniers films que j'étais allée voir, les derniers livres que j'avais lus, ce que j'en avais pensé, je lui confiais également mes émois sentimentaux. J'ai souri en lisant ces courriers. A cette époque, j'écrivais énormément à mon frère, je lui demandais conseil, je lui demandais de me dire quelle était la meilleure attitude à avoir, la meilleure réponse à apporter, ce qu'il pensait d'untel, s'il pensait que c'était un garçon sérieux, etc. Mon frère, pris par ses études et ses histoires à lui, ne me répondait pas toujours très vite, du moins pas assez vite à mon goût, et je lui en faisais la remarque, j'étais en attente de ses réponses, en attente de ses lettres. Son avis m'était très important et j'en tenais compte dans mes choix. En relisant toutes ces lettres, j'ai été émue en repensant à cette période où mon frère était mon confident, mon ami, à cette époque où il m'emmenait voir des concerts des Pink Floyds, des Who, qu'il m'emmenait au cinéma, qu'il sortait sa petite soeur, quoi ! Mon frère a toujours été très protecteur avec moi, peut-être parce que nous avions perdu notre père alors que nous étions jeunes, et qu'il se sentait un peu responsable de moi. Mon grand frère... désormais absent, et à qui je pense très souvent.
Aujourd'hui, c'est la Saint Jean...
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Aujourd'hui, c'est la Saint Jean...
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lundi 23 juin 2014
Elle peut être ce que nous sommes...
![]() |
Peinture de Antoni Tàpies |
-> Antoni Tàpies
dimanche 22 juin 2014
On ne pardonne pas...
« On ne pardonne pas à son ami ses erreurs, on ne les excuse pas non plus. On les comprend. »
-> Philippe Soupault
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-> Philippe Soupault
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jeudi 19 juin 2014
La perfection, quel ennui parfois...
Est-ce qu'il est vraiment bien de savoir faire quelque chose à la perfection ?
Je réfléchis ce soir suite à un commentaire laissé chez un blog ami qui disait : "On apprend trop et après on ne sait plus".
Et je repense à une époque, il y a quelques années, où mon mari et moi allions à des cours de danse. Nous y sommes allés trois ans, je crois, ou quatre, peu importe. Nous savions alors danser à la perfection (enfin presque... :-)) le tango, la valse, le rock, le paso doble, etc. Mais il y avait un hic, et de taille, à mon avis. Lorsque nous allions à une fête entre amis, nous ne savions plus danser avec les autres. Nous étions tellement dans nos pas, 1, 2, 1, 2, 3... que nous ne savions plus nous accorder avec les pas de ceux qui n'avaient pas suivi les cours. Nous ne savions plus danser naturellement, on peut dire. C'était assez frustrant. Bon, depuis, nous avons un peu oublié nos pas de danse, et c'est aussi bien, nous pouvons à nouveau danser avec les autres avec plaisir et naturel.
La perfection n'est pas très amusante, je trouve, et cela pas seulement dans le domaine de la danse, mais dans beaucoup d'autres. L'important avant tout est de se faire plaisir, même si on marche un peu sur les pieds de son cavalier... Non ? (sourire)
Quelques citations sur la perfection :
« C'est une perfection de n'aspirer point à être parfait. » (Fénelon)
« Le bonheur n'est pas dans la recherche de la perfection, mais dans la tolérance de l'imperfection. » (Yacine Bellik)
« Je ne sens pas en moi l'étoffe d'un dieu si petit qu'il soit. Ma faiblesse m'est chère. Je tiens à mon imperfection comme à ma raison d'être. » (Anatole France)
« La nature a des perfections pour montrer qu'elle est l'image de dieu et des défauts pour montrer qu'elle n'en est que l'image. » (Blaise Pascal)
Je réfléchis ce soir suite à un commentaire laissé chez un blog ami qui disait : "On apprend trop et après on ne sait plus".
Et je repense à une époque, il y a quelques années, où mon mari et moi allions à des cours de danse. Nous y sommes allés trois ans, je crois, ou quatre, peu importe. Nous savions alors danser à la perfection (enfin presque... :-)) le tango, la valse, le rock, le paso doble, etc. Mais il y avait un hic, et de taille, à mon avis. Lorsque nous allions à une fête entre amis, nous ne savions plus danser avec les autres. Nous étions tellement dans nos pas, 1, 2, 1, 2, 3... que nous ne savions plus nous accorder avec les pas de ceux qui n'avaient pas suivi les cours. Nous ne savions plus danser naturellement, on peut dire. C'était assez frustrant. Bon, depuis, nous avons un peu oublié nos pas de danse, et c'est aussi bien, nous pouvons à nouveau danser avec les autres avec plaisir et naturel.
La perfection n'est pas très amusante, je trouve, et cela pas seulement dans le domaine de la danse, mais dans beaucoup d'autres. L'important avant tout est de se faire plaisir, même si on marche un peu sur les pieds de son cavalier... Non ? (sourire)
Quelques citations sur la perfection :
« C'est une perfection de n'aspirer point à être parfait. » (Fénelon)
« Le bonheur n'est pas dans la recherche de la perfection, mais dans la tolérance de l'imperfection. » (Yacine Bellik)
« Je ne sens pas en moi l'étoffe d'un dieu si petit qu'il soit. Ma faiblesse m'est chère. Je tiens à mon imperfection comme à ma raison d'être. » (Anatole France)
« La nature a des perfections pour montrer qu'elle est l'image de dieu et des défauts pour montrer qu'elle n'en est que l'image. » (Blaise Pascal)
mardi 17 juin 2014
Il n'y a jamais de pourquoi à un souvenir
« Il n'y a jamais de pourquoi à un souvenir. Il arrive comme ça, à l'improviste, sans demander la permission. Et tu ne sais jamais quand il repartira. La seule chose dont tu peux être sûr, c'est que de toute façon il reviendra. »
-> Federico Moccia
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-> Federico Moccia
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lundi 16 juin 2014
dimanche 15 juin 2014
Ces personnes qui nous déstabilisent
Ma box n'arrêtait pas de tomber en panne ces derniers jours, et aujourd'hui elle ne voulait plus rien savoir. J'ai donc téléphoné à l'assistance en ligne. Ce n'est pas la première fois que je le fais, mais par contre voilà deux fois que je tombe sur la même personne, en l'occurrence un homme, qui a la particularité de me faire perdre mes moyens. Cet homme parle avec suffisance, agacement, et j'ai vraiment l'impression d'être la reine des "connes". La première fois que je l'avais eu pour un problème similaire, j'avais préféré le passer à mon mari car je paniquais complètement. Ce soir, je n'ai pas aimé non plus sa façon de parler, de dire les choses, toujours avec ce même ton mais il n'est pas arrivé à me déstabiliser. Par contre, mon mari, qui était lui aussi présent et qui participait aux manipulations qui nous étaient demandées de faire, a failli perdre patience et s'énerver. J'ai préféré écourter la communication en lui disant que c'était OK, qu'on avait compris ce qu'il fallait faire. Et ouf ! la box s'est remise à marcher, très compréhensive la box... :-)
Je sais bien que l'on dit que lorsqu'une personne nous agresse, il faut chercher à comprendre pourquoi, que ce n'est pas forcément de sa faute, que c'est lié à quelque chose qui nous est personnel, que ce n'est pas dirigé contre nous. Il faudrait que je réfléchisse à quoi cela me renvoie. N'empêche, c'est fort désagréable !...
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Je sais bien que l'on dit que lorsqu'une personne nous agresse, il faut chercher à comprendre pourquoi, que ce n'est pas forcément de sa faute, que c'est lié à quelque chose qui nous est personnel, que ce n'est pas dirigé contre nous. Il faudrait que je réfléchisse à quoi cela me renvoie. N'empêche, c'est fort désagréable !...
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jeudi 12 juin 2014
Jipé Dalpé - « Par où commencer ? »
Jipé Dalpé est le fils de Jackss, un ami blogueur. Je l'ai découvert il y a peu, et j'aime beaucoup. Commencez par écouter cette chanson...
« Par où commencer
pour tout recoller ?
Par où commencer
quand les pistes s'effacent
qu'on ne se comprend plus
la colère et le silence
prennent toute la place
on ne se voit plus
Par où commencer
pour tout recoller
Par où commencer
Comment recoller
Tout recommencer ? »
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mardi 10 juin 2014
Peur du changement, peur de l'immobilisme...
« Je suis aujourd'hui une femme partagée entre la terreur que tout change et la terreur que tout reste pareil jusqu'à la fin de mes jours. »
-> Paulo Coelho
Je suis sûre que beaucoup d'entre vous se reconnaîtront, moi la première. Je n'emploierais toutefois pas le mot "terreur" mais le mot "peur" ce qui n'est déjà pas rien...
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-> Paulo Coelho
Je suis sûre que beaucoup d'entre vous se reconnaîtront, moi la première. Je n'emploierais toutefois pas le mot "terreur" mais le mot "peur" ce qui n'est déjà pas rien...
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mardi 3 juin 2014
Il ne faut pas ignorer ces rencontres
« Quand on rencontre quelqu'un, c'est signe qu'on devait croiser son chemin, c'est signe que l'on va recevoir de lui quelque chose qui nous manquait. Il ne faut pas ignorer ces rencontres. Dans chacune d'elles est contenue la promesse d'une découverte. »
-> Aharon Appelfeld
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-> Aharon Appelfeld
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vendredi 30 mai 2014
Six jours à Rome
Et voilà, j'ai trié quelques photos pour vous raconter ces six jours passés à Rome. Vous êtes prêts ? Alors suivez-moi ! (petit clic sur ce lien)
Piazza del popolo (Place du peuple) |
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jeudi 22 mai 2014
Un petit tour, et je reviens...
vendredi 9 mai 2014
Pause bloguesque
Je n'arrive plus à trouver le temps de vous visiter, amis blogueurs, et cela m'ennuie car vous laissez toujours de si jolis et gentils commentaires chez moi. Je vais donc ralentir mon activité bloguesque pendant un certain temps. Il est vrai que je suis assez occupée en ce moment : il y a eu pendant les vacances la présence de mes petits enfants à la maison ainsi que de celle de leurs parents ; je me rends régulièrement à Lyon pour garder mes deux petits-fils lorsqu'il y a une panne de nounou ou un instit malade ; il y a actuellement des travaux de rénovation dans ma cuisine, travaux auxquels je participe puisque j'ai aidé à poser du carrelage, à lisser les joints, et je passe aussi beaucoup de temps à enlever la poussière blanche qui se dépose de partout ! ça, j'aime moins, mais bon, c'est pour la bonne cause. Et puis, en plus de tout cela, je prépare une petite escapade romaine. D'ici quelques jours, je vais m'envoler pour Rome... un rêve qui va se réaliser car cela fait longtemps que j'ai envie de m'y rendre.
Donc je fais une pause et je reviendrai lorsque j'aurai plus de temps.
Je vous dis à bientôt, ici ou chez vous. Amitiés à tous.
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Donc je fais une pause et je reviendrai lorsque j'aurai plus de temps.
Je vous dis à bientôt, ici ou chez vous. Amitiés à tous.
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mercredi 7 mai 2014
Il y a nous... et il y a nos pensées
Il y a nous et il y a nos pensées. Il y a le réel et il y a l'imaginaire. N'avez-vous pas remarqué que nos pensées nous font imaginer des choses qui n'existent même pas ? Nous croyons que c'est vrai alors que c'est faux. C'est notre esprit qui l'imagine. N'avez-vous pas remarqué également que nous prêtons aux gens des pensées qui ne leur appartiennent pas mais que nous créons, nous ? Un exemple : nous sommes invités chez un couple d'amis, nous arrivons chez eux, et nous trouvons qu'ils font la "gueule", qu'ils sont tendus, etc. Nous nous imaginons alors que nous ne sommes pas les bienvenus et qu'ils n'ont pas vraiment envie de nous recevoir, alors que c'est faux. En fait, ils viennent juste de se disputer, et cette tension est due à cette dispute et non pas à cause de notre présence. Nous sommes persuadés parfois que telle personne ne nous apprécie plus, on se pose des questions, on se demande ce qu'on a bien pu faire qui ait pu lui déplaire, alors qu'elle a tout simplement des soucis ou des tracasseries en cette période et qu'elle n'a pas forcément envie de nous en parler. Nous prêtons bien souvent des émotions, des sentiments aux autres qui sont complètement faux. Nous pensons à leur place. Nous nous faisons notre cinéma.
Les pensées à elles seules peuvent nous rendre malades. Nous nous créons bien souvent nos propres angoisses. Et le corps réagit aux pensées. Il suffit de se mettre à penser que l'on va se trouver mal pour qu'en effet l'on commence à avoir chaud, à avoir le coeur qui s'accélère, alors que la seconde d'avant, tout allait bien. Si quelqu'un nous dit : "Ça va ? Tu ne te sens pas bien, tu es tout pâle ?" pour qu'aussitôt, nous nous sentions très fatigués alors que tout allait si bien avant. Il suffit de penser que l'être aimé ne nous aime plus pour être infiniment malheureux alors qu'il s'agit juste d'une fatigue de sa part ou d'une contrariété due à un événement extérieur.
Que de soucis et de malentendus créés par nos seules pensées.
Marc Aurèle le dit très bien : "Notre vie est ce qu'en font nos pensées."
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Les pensées à elles seules peuvent nous rendre malades. Nous nous créons bien souvent nos propres angoisses. Et le corps réagit aux pensées. Il suffit de se mettre à penser que l'on va se trouver mal pour qu'en effet l'on commence à avoir chaud, à avoir le coeur qui s'accélère, alors que la seconde d'avant, tout allait bien. Si quelqu'un nous dit : "Ça va ? Tu ne te sens pas bien, tu es tout pâle ?" pour qu'aussitôt, nous nous sentions très fatigués alors que tout allait si bien avant. Il suffit de penser que l'être aimé ne nous aime plus pour être infiniment malheureux alors qu'il s'agit juste d'une fatigue de sa part ou d'une contrariété due à un événement extérieur.
Que de soucis et de malentendus créés par nos seules pensées.
Marc Aurèle le dit très bien : "Notre vie est ce qu'en font nos pensées."
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mardi 6 mai 2014
Nous sommes tous UN
« Nous sommes tous UN ». Voici une phrase de la chanson que je chantais dans mon rêve lorsque je me suis réveillée l'autre matin : « Nous sommes tous UN ». Je me suis réveillée avec ces mots dans la bouche. Un rêve léger et plein de vie.
Certaines nuits sont joyeuses et légères. Par contre, d'autres sont beaucoup plus sombres et angoissantes. L'autre nuit, par exemple, j'ai fait un cauchemar. J'étais chez moi, avec les miens, je me tenais un peu à l'écart, et lorsque je me retournais vers eux, ils étaient tous figés comme des statues de pierre, et je ne pouvais plus distinguer leurs visages, ceux-ci étaient devenus blancs et lisses. Je me suis réveillée en criant...
Etranges sont les rêves. Depuis que je suis gamine, je rêve énormément. Mes rêves m'emmènent parfois dans des contrées magnifiques. Je peux y voir des paysages d'une beauté incroyable et que j'aimerais savoir peindre à mon réveil pour ne pas les oublier... Mais ils m'emmènent aussi en des lieux sombres et froids... Ceux-là, je ne tiens pas à m'en souvenir. Et pourtant... Je suis persuadée que chaque rêve est détenteur d'un message. Mais quel message ?
Et tous ces personnages que l'on croise dans nos rêves ? Certains disent que nous sommes tous ces personnages, que ces personnages sont nous. Mais alors, la phrase que je chantais l'autre matin dans mon rêve "Nous sommes tous UN" aurait toute sa signification ?... C'est peut-être une réponse... Allez savoir...
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Certaines nuits sont joyeuses et légères. Par contre, d'autres sont beaucoup plus sombres et angoissantes. L'autre nuit, par exemple, j'ai fait un cauchemar. J'étais chez moi, avec les miens, je me tenais un peu à l'écart, et lorsque je me retournais vers eux, ils étaient tous figés comme des statues de pierre, et je ne pouvais plus distinguer leurs visages, ceux-ci étaient devenus blancs et lisses. Je me suis réveillée en criant...
Etranges sont les rêves. Depuis que je suis gamine, je rêve énormément. Mes rêves m'emmènent parfois dans des contrées magnifiques. Je peux y voir des paysages d'une beauté incroyable et que j'aimerais savoir peindre à mon réveil pour ne pas les oublier... Mais ils m'emmènent aussi en des lieux sombres et froids... Ceux-là, je ne tiens pas à m'en souvenir. Et pourtant... Je suis persuadée que chaque rêve est détenteur d'un message. Mais quel message ?
Et tous ces personnages que l'on croise dans nos rêves ? Certains disent que nous sommes tous ces personnages, que ces personnages sont nous. Mais alors, la phrase que je chantais l'autre matin dans mon rêve "Nous sommes tous UN" aurait toute sa signification ?... C'est peut-être une réponse... Allez savoir...
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samedi 3 mai 2014
Et aussi...
« Chaque route que vous suivez n'est qu'une route, et si votre cœur vous dit d'en changer, ce n'est un affront ni pour les autres ni pour vous. »
-> Carlos Castaneda
-> Carlos Castaneda
Mes prisons - Alain Bashung
De lui non plus, je ne me lasserai jamais...
Oooh Bashung !... tu nous manques...
jeudi 1 mai 2014
vendredi 25 avril 2014
mercredi 23 avril 2014
J'avançais...
Cette nuit, j'avançais. J'avançais, déterminée, mais d'une marche légère et sereine. Ce n'était pas une marche forcée, ni une fuite. Je ne sais pas où j'allais, mais j'avançais. Je parcourais les chemins, les sentiers. Des maisons se trouvaient parfois sur ma route, je traversais les pièces, une à une, et je me retrouvais de l'autre côté. Et je reprenais ma marche. Rien ne m'arrêtait, j'avançais. Je devais emprunter parfois des passages périlleux, j'étais en équilibre, mais cela ne m'inquiétait pas, j'avais confiance. J'avançais. Mon pas était léger et sûr. Je ne sais pas où j'allais et pourtant j'y allais... J'avançais.
Au réveil, une sensation agréable, un sourire aux lèvres...
Peu importe le sens de ce rêve, il m'emportait avec lui, il me transportait, et je n'avais aucune peur, j'avançais...
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Peu importe le sens de ce rêve, il m'emportait avec lui, il me transportait, et je n'avais aucune peur, j'avançais...
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mercredi 16 avril 2014
Juste un petit "coucou"
Juste un petit "coucou" car je suis très occupée ces jours et j'ai pensé que cette petite fleur était parfaite pour ce billet (sourire). Lorsque j'étais gamine, j'adorais faire de gros bouquets de coucous. Maintenant, je ne les coupe plus, je préfère les admirer dans les prés... et éventuellement les prendre en photo. :-)
![]() |
Coucous photographiés près de chez moi. |
lundi 14 avril 2014
C'est une vraie force
Une citation qui va dans la continuité de mon billet du 9 avril, je trouve.
« Il faut changer d'opinion. C'est dangereux d'être rigide dans la pensée. Mais c'est aussi dangereux d'être trop fluide. J'admire ceux qui ont le courage de changer d'avis de temps en temps, sur les choses, sur les personnes. C'est une vraie force. »
-> Paul Auster
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« Il faut changer d'opinion. C'est dangereux d'être rigide dans la pensée. Mais c'est aussi dangereux d'être trop fluide. J'admire ceux qui ont le courage de changer d'avis de temps en temps, sur les choses, sur les personnes. C'est une vraie force. »
-> Paul Auster
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samedi 12 avril 2014
mercredi 9 avril 2014
Trop conciliante ?
Une question me trotte dans la tête :
Lorsque nous avons un caractère trop conciliant, les autres n'en profitent-ils pas un tantinet et n'abusent-ils pas un peu de nous ?...
J'en connais la réponse, bien sûr, mais ce n'est pas toujours si facile.
C'est à nous de savoir poser les limites et de savoir dire non, ou de dire "bon, maintenant, ça suffit !". Et ce n'est pas la peine de se mettre en colère, le dire suffit. Alors, pourquoi, la plupart du temps, ne le faisons-nous pas ? Et tolérons-nous des choses que nous n'approuvons pas forcément ? Nous ne sommes pourtant plus des enfants qui ont en eux cette peur de déplaire, cette peur de ne pas être aimés par leurs parents s'ils ne sont pas conformes à leur attente... quoique... peut-être que nous traînons encore ces peurs en nous, finalement... ce serait fort possible...
Mais peut-être existe-t-il d'autres raisons au fait d'être trop conciliant(e) ?
Qu'en pensez-vous ? Vous en connaissez d'autres ? Eclairez ma lanterne... Il est toujours riche d'avoir d'autres avis, d'autres ressentis.
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Lorsque nous avons un caractère trop conciliant, les autres n'en profitent-ils pas un tantinet et n'abusent-ils pas un peu de nous ?...
J'en connais la réponse, bien sûr, mais ce n'est pas toujours si facile.
C'est à nous de savoir poser les limites et de savoir dire non, ou de dire "bon, maintenant, ça suffit !". Et ce n'est pas la peine de se mettre en colère, le dire suffit. Alors, pourquoi, la plupart du temps, ne le faisons-nous pas ? Et tolérons-nous des choses que nous n'approuvons pas forcément ? Nous ne sommes pourtant plus des enfants qui ont en eux cette peur de déplaire, cette peur de ne pas être aimés par leurs parents s'ils ne sont pas conformes à leur attente... quoique... peut-être que nous traînons encore ces peurs en nous, finalement... ce serait fort possible...
Mais peut-être existe-t-il d'autres raisons au fait d'être trop conciliant(e) ?
Qu'en pensez-vous ? Vous en connaissez d'autres ? Eclairez ma lanterne... Il est toujours riche d'avoir d'autres avis, d'autres ressentis.
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mardi 8 avril 2014
Comment puis-je te dire mon amour...
Magnifique texte de Julos Beaucarne, interprété ici par Barbara D'Alcantra.
lundi 7 avril 2014
... alors il y a création.
« Être créatif ce n'est pas simplement produire des poèmes, des statues ou des enfants ; c'est être dans un état où la vérité peut entrer en existence. La vérité naît lorsqu'il y a cessation complète de la pensée ; et la pensée ne disparaît que lorsque le moi est absent, lorsque l'esprit a cessé de créer, c'est-à-dire lorsqu'il n'est plus prisonnier de ses poursuites. Lorsque l'esprit est complètement arrêté sans avoir été forcé de s'immobiliser ou entraîné à la quiétude, lorsqu'il est silencieux parce que le moi est inactif, alors il y a création. »
-> Jiddu Krishnamurti
-> Jiddu Krishnamurti
vendredi 4 avril 2014
« Un arbre est une alliance entre le proche et le lointain parfait. »
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Tilleul de chez moi |
C'est beau, non ?...
L'arbre, cet ami si majestueux, si beau et si vivant...
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L'arbre, cet ami si majestueux, si beau et si vivant...
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jeudi 3 avril 2014
Je me dis que j'ai de la chance...
Je n'aime pas faire le ménage, ce n'est pas mon truc. J'aime pourtant avoir une maison propre, donc je le fais, mais je n'aime pas faire le ménage. Mais je me dis que j'ai de la chance d'avoir un toit à moi, une maison à moi, et que je dois donc en prendre soin et la rendre la plus agréable et belle possible. Donc, je fais le ménage en m'ôtant de la tête que c'est une corvée. Et finalement, j'y prends du plaisir.
Je ne suis pas une passionnée du jardinage, mais j'ai de la chance d'avoir un bout de terrain à moi, une terre qui m'appartient, je dois donc en prendre soin. Alors je pioche, je plante des fleurs, je repioche. Et je me dis que c'est finalement bien agréable ce contact avec la terre, et que ce n'est pas du tout une corvée, bien au contraire. Mon grand-père paternel était jardinier chez une famille bourgeoise d'Ecully, il aimait son métier, il aimait s'occuper des fleurs, des arbres, mélanger les couleurs, les variétés, les sentir, leur parler. Je pense à lui lorsque je jardine et à son amour pour son métier. Et ce que j'aurais pu considérer comme une corvée, devient un moment de plaisir.
Trouver ou donner un sens à ce que l'on fait enlève ce côté "corvée" de la chose. De plus, si l'on fait les choses avec envie, plutôt qu'en râlant ou en soupirant, on se fatigue beaucoup moins à les faire. Essayez donc, vous verrez... (sourire)
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Je ne suis pas une passionnée du jardinage, mais j'ai de la chance d'avoir un bout de terrain à moi, une terre qui m'appartient, je dois donc en prendre soin. Alors je pioche, je plante des fleurs, je repioche. Et je me dis que c'est finalement bien agréable ce contact avec la terre, et que ce n'est pas du tout une corvée, bien au contraire. Mon grand-père paternel était jardinier chez une famille bourgeoise d'Ecully, il aimait son métier, il aimait s'occuper des fleurs, des arbres, mélanger les couleurs, les variétés, les sentir, leur parler. Je pense à lui lorsque je jardine et à son amour pour son métier. Et ce que j'aurais pu considérer comme une corvée, devient un moment de plaisir.
Trouver ou donner un sens à ce que l'on fait enlève ce côté "corvée" de la chose. De plus, si l'on fait les choses avec envie, plutôt qu'en râlant ou en soupirant, on se fatigue beaucoup moins à les faire. Essayez donc, vous verrez... (sourire)
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mercredi 2 avril 2014
Curieusement, je me sentis observée...
Curieusement, alors que j'étais en train de lire, je me sentis observée... Je relevai la tête, et je le vis, lui, qui m'observait... Je vis l'oeil du citron fixé sur moi !... (sourire)
Le voyez-vous, vous aussi ? (petit clic sur les photos)
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