Petite fleur sauvage |
dimanche 30 juin 2013
Accepter la fragilité de l'autre…
Il n'y a rien de plus important en amour que d'accepter la fragilité de l'autre : c'est ce que j'appelle la douceur. Et rien de plus important dans la sagesse, que d'accepter sa propre fragilité. (André Comte Sponville)
vendredi 28 juin 2013
Votre manque de grandeur ne sert pas le Monde
« Nous ne craignons pas tant notre incompétence que notre incommensurable puissance.
C'est la luminosité de notre âme, et non ses ténèbres, qui nous effraie le plus.
Nous nous demandons : "Pourquoi serais-je, moi, un être brillant, magnifique, talentueux, formidable ?" En réalité, pourquoi ne le seriez-vous PAS ?
Votre manque de grandeur ne sert pas le Monde.
Il n'y a aucune noblesse à rester médiocre pour rassurer les autres.
La grandeur n'est pas l'apanage de quelques élus; elle se trouve en chacun de nous.
Lorsque nous laissons notre âme répandre sa lumière, nous permettons inconsciemment aux autres de révéler la leur.
Lorsque nous nous affranchissons de notre propre peur, notre présence libère automatiquement les autres. »
Nelson Mandela
jeudi 27 juin 2013
Sauvage…
Dans ma pelouse, devant la maison, il y a quelques massifs de fleurs, des fleurs que j'ai envie d'appeler des fleurs domestiques, achetées dans un magasin et repiquées directement dans la terre. Des roses, des lys, des iris, des pétunias, … C'est joli, c'est coloré, c'est agréable à regarder, c'est entretenu, j'aime bien.
Et puis, un peu derrière la maison, un peu moins en vue, il y a un autre massif, celui que je préfère. C'est un massif "sauvage". J'ai eu envie cette année d'avoir un massif sauvage. Sauvage parce qu'en fait y poussent toutes les fleurs des prés qui le désirent : des boutons d'or, des fleurs de trèfle, des oeillets sauvages, des fleurs d'églantiers, etc., et où se mêlent également de la menthe. Ce massif-là, je ne le désherbe pas, je laisse tout ce qui veut bien pousser. Mais en fait, de la mauvaise herbe, il n'y en a pas beaucoup, les fleurs sauvages sont trop contentes d'avoir leur massif à elles, et elles prennent toute la place. J'aime ce massif.
Je suis une ancienne fille de la ville, mais j'ai pourtant toujours préféré les lieux un peu sauvages : les coins perdus et un peu reculés de campagne où l'on ne rencontre personne si ce n'est quelques biches ou chevrettes ; les côtes sauvages de l'Océan contre lesquelles viennent se jeter les vagues avec force. Mais ne me disait-on pas, lorsque j'étais gamine, que j'étais une petite "sauvage" ? En effet, je me cachais, je fuyais les gens, je m'enfermais dans ma chambre. Même si je suis devenue plus sociable, et heureusement, la petite sauvage est toujours tapie au fond de moi. On ne change pas ainsi et, quelque part, tant mieux, car j'ai appris à l'aimer cette petite sauvage… et aussi à l'apprivoiser… (sourire)
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Et puis, un peu derrière la maison, un peu moins en vue, il y a un autre massif, celui que je préfère. C'est un massif "sauvage". J'ai eu envie cette année d'avoir un massif sauvage. Sauvage parce qu'en fait y poussent toutes les fleurs des prés qui le désirent : des boutons d'or, des fleurs de trèfle, des oeillets sauvages, des fleurs d'églantiers, etc., et où se mêlent également de la menthe. Ce massif-là, je ne le désherbe pas, je laisse tout ce qui veut bien pousser. Mais en fait, de la mauvaise herbe, il n'y en a pas beaucoup, les fleurs sauvages sont trop contentes d'avoir leur massif à elles, et elles prennent toute la place. J'aime ce massif.
Je suis une ancienne fille de la ville, mais j'ai pourtant toujours préféré les lieux un peu sauvages : les coins perdus et un peu reculés de campagne où l'on ne rencontre personne si ce n'est quelques biches ou chevrettes ; les côtes sauvages de l'Océan contre lesquelles viennent se jeter les vagues avec force. Mais ne me disait-on pas, lorsque j'étais gamine, que j'étais une petite "sauvage" ? En effet, je me cachais, je fuyais les gens, je m'enfermais dans ma chambre. Même si je suis devenue plus sociable, et heureusement, la petite sauvage est toujours tapie au fond de moi. On ne change pas ainsi et, quelque part, tant mieux, car j'ai appris à l'aimer cette petite sauvage… et aussi à l'apprivoiser… (sourire)
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mercredi 26 juin 2013
lundi 24 juin 2013
Chaque rencontre nous réinvente illico…
![]() |
Christiane Singer |
-> Christiane Singer
jeudi 20 juin 2013
mercredi 19 juin 2013
Aider et Aimer
C'est étrange les coïncidences. Hier soir, je cherchais une citation sur le verbe "aider". Et ce matin, la citation du jour (que je reçois quotidiennement du site : http://www.dicocitations.com/) est celle-ci :
« M'aider ou m'aimer, c'est presque pareil ces deux mots, il y a qu'une lettre à remplacer, un d à la place d'un m, mais à mon avis ça veut dire la même chose: quand on aide quelqu'un, on l'aime, et quand on l'aime, ben forcément on l'aide. »
-> Philippe Labro
Je me demandais comment je pourrais aider encore davantage les jeunes parents du petit bonhomme courageux, mon fils et ma belle-fille. Ils passent actuellement une période décourageante et décevante par rapport à un entretien qu'ils ont eu avec l'instituteur-éducateur de leur fils. Le petit bonhomme a du mal à suivre, même dans une CLIS, ils espéraient, nous espérions pourtant… Quel sera son avenir à ce petit bonhomme ? Et je me demandais ce que je pourrais faire pour les aider, eux et leurs deux petits garçons. La réponse, je la savais mais elle m'a été confirmée ce matin par cette citation. Eh bien, oui, les aimer encore et encore, toujours plus. Et puis, prendre soin de moi, de ma santé, pour être présente et en forme lorsqu'ils ont besoin d'aide, de soutien. Aider, Aimer… Oui, cela veut dire la même chose…
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« M'aider ou m'aimer, c'est presque pareil ces deux mots, il y a qu'une lettre à remplacer, un d à la place d'un m, mais à mon avis ça veut dire la même chose: quand on aide quelqu'un, on l'aime, et quand on l'aime, ben forcément on l'aide. »
-> Philippe Labro
Je me demandais comment je pourrais aider encore davantage les jeunes parents du petit bonhomme courageux, mon fils et ma belle-fille. Ils passent actuellement une période décourageante et décevante par rapport à un entretien qu'ils ont eu avec l'instituteur-éducateur de leur fils. Le petit bonhomme a du mal à suivre, même dans une CLIS, ils espéraient, nous espérions pourtant… Quel sera son avenir à ce petit bonhomme ? Et je me demandais ce que je pourrais faire pour les aider, eux et leurs deux petits garçons. La réponse, je la savais mais elle m'a été confirmée ce matin par cette citation. Eh bien, oui, les aimer encore et encore, toujours plus. Et puis, prendre soin de moi, de ma santé, pour être présente et en forme lorsqu'ils ont besoin d'aide, de soutien. Aider, Aimer… Oui, cela veut dire la même chose…
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samedi 15 juin 2013
L'amour est présent… partout ! il suffit juste de le voir !… :-)
Hier soir, sur le chemin, lors d'une balade avec ma belle-soeur :
Ce matin, dans mon bol :
Ce soir, ce couple de pies tellement romantique… :-)
jeudi 13 juin 2013
Il n'y a que deux façons de vivre sa vie…
mardi 11 juin 2013
La compassion
Avant, il y a quelques années, je n'aimais pas employer le mot "compassion". Pour moi, il n'était synonyme que de "pitié" (dans son sens péjoratif) et la pitié je n'en voulais pas. Depuis que je vais à la méditation et à la pleine conscience, depuis que je lis des livres de Pema Chödrön et autres auteurs, j'ai appris et compris le véritable sens de ce mot. Pour moi, maintenant, le mot "compassion" est synonyme du mot "Amour". Et quoi de plus beau que l'Amour ?
Je vous mets le lien d'un site qui parle très bien de : La compassion. N'oubliez pas de regarder sur la colonne de droite de cette page où je vous envoie, il y a plein, plein de choses intéressantes à lire et à découvrir ! :-)
Je vous mets le lien d'un site qui parle très bien de : La compassion. N'oubliez pas de regarder sur la colonne de droite de cette page où je vous envoie, il y a plein, plein de choses intéressantes à lire et à découvrir ! :-)
samedi 8 juin 2013
David Gilmour - Red Sky At Night
Magnifiquement beau…
« La musique est un art qui dit ce qu'aucune langue ne peut dire ; il y a dans l'âme humaine des profondeurs qui se taisent, elle prête une voix à leur silence, et nous connaissons par elle ce je ne sais quoi qui est en nous et qui ne parle pas. » (Victor Cherbuliez)
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vendredi 7 juin 2013
Un an de plus !…
La femme, à partir d'un âge, n'aime pas voir arriver le jour de son anniversaire.
Encore un an de plus !… Que le temps passe vite !… Mieux vaut ne pas y penser…
Pourtant, elle adore que les gens y pensent, eux, et se manifestent… :-)
Contradictoire, non ?… :-)
Encore un an de plus !… Que le temps passe vite !… Mieux vaut ne pas y penser…
Pourtant, elle adore que les gens y pensent, eux, et se manifestent… :-)
Contradictoire, non ?… :-)
Aujourd'hui, nous sommes le 7 juin !… :-)
jeudi 6 juin 2013
La télépathie
La télépathie* est un phénomène étrange. J'ai remarqué que cela fonctionnait bien avec certaines personnes, entre autres certaines amies. Il suffisait parfois que je pense à l'une d'elles en me disant qu'il fallait que je l'appelle pour qu'aussitôt cette amie me téléphone.
Cela marche aussi avec mon chat ! Je me dis: «Tiens, je ne l'ai pas vu aujourd'hui…» pour qu'aussitôt je le vois bondir sur le rebord de ma fenêtre! :-)
Par contre, certaines personnes restent sourdes à mes pensées! Nous ne devons pas être branchées sur la même fréquence, sans doute! Je plaisante, mais je crois fermement à la télépathie.
Et vous, qu'en pensez-vous ?
*Transmission de pensée entre deux personnes éloignées l'une de l'autre.
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Cela marche aussi avec mon chat ! Je me dis: «Tiens, je ne l'ai pas vu aujourd'hui…» pour qu'aussitôt je le vois bondir sur le rebord de ma fenêtre! :-)
Par contre, certaines personnes restent sourdes à mes pensées! Nous ne devons pas être branchées sur la même fréquence, sans doute! Je plaisante, mais je crois fermement à la télépathie.
Et vous, qu'en pensez-vous ?
*Transmission de pensée entre deux personnes éloignées l'une de l'autre.
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lundi 3 juin 2013
Que devient le petit bonhomme courageux ?
Voici très longtemps que je ne vous ai pas parlé du petit bonhomme courageux, mon petit-fils Noé. Je rappelle aux personnes qui ne sont pas au courant que mon petit-fils a été victime, il y a eu deux ans le 29 mai, d'une rupture d'anévrisme à l'âge de deux ans et demi (lire les précédents billets libellés "le petit bonhomme courageux").
Le petit bonhomme marche maintenant pratiquement normalement, il court, il saute, mais il a tout de même toujours besoin de son attelle à la jambe gauche. Il peut à nouveau tirer dans un ballon, son jeu favori. Avant son accident, il était gaucher, et avait donc un fameux coup de pied gauche. Sa jambe gauche étant maintenant plus faible que la droite, il tape dans le ballon avec le pied droit, et a maintenant un fameux coup de pied droit ! Son bras gauche a retrouvé un peu de mobilité, mais pas encore sa petite main gauche. Celle-ci n'est pas inerte, mais la commande n'est pas revenue, et les petits doigts ne bougent pas. Mais en fait, son handicap principal, actuellement, et le plus gênant, est son manque de concentration et son hyperactivité. Il a vraiment du mal à se poser et à rester immobile, à écouter, et dans une classe, cela pose problème. En septembre dernier, il avait fait sa rentrée dans une classe "normale" de maternelle, assisté d'une AVS. Une classe de trente enfants, à peu près. Trop d'enfants, sans doute, car il n'est pas arrivé à s'intégrer véritablement. Le bruit, les cris des autres enfants, l'excitaient, l'énervaient, le rendaient parfois agressif, et il perturbait la classe. Après plusieurs entretiens entre son instituteur, la directrice de l'école, l'AVS, la pédopsychiatre et ses parents, il a été décidé qu'après les vacances de Pâques, il se rendrait dans une CLIS (classe d'intégration scolaire) : «Les CLIS accueillent un petit groupe d'enfants (12 maximum), présentant le même type de handicap, dans certaines écoles élémentaires et exceptionnellement en maternelle. Elles permettent aux élèves de suivre totalement ou partiellement un cursus scolaire ordinaire.» (Source) Donc, après les vacances de Pâques, mon petit-fils a rejoint une CLIS. Ils sont six petits élèves, et sont encadrés par un instituteur-éducateur, et une autre personne. Les débuts sont plutôt prometteurs. Noé, un peu "perdu" au début, a apparemment maintenant trouvé ses repères. Croisons les doigts pour que cette classe un peu spéciale lui permette de pouvoir, par la suite, rejoindre le cursus normal. On l'aime tant ce petit bonhomme et il ne méritait pas ce qu'il lui est arrivé. Son petit frère a grandi, lui aussi, il a maintenant 28 mois. Ils s'adorent tous les deux. Si l'un des deux manque, l'autre le cherche ou le demande. Le petit frère va sûrement tirer le grand frère vers le haut, car il a, lui, un développement normal et il est plein de vie et d'énergie. Quant aux parents, s'ils ne se démenaient pas ainsi pour leur fils, celui-ci n'en serait sûrement pas encore là, car des coups de fils, il a fallu qu'ils en donnent pour faire avancer les choses, l'administration n'étant pas toujours très coopérante, et étant parfois même décourageante, il faut bien le dire. Il y en a eu des jours d'angoisse, d'incompréhension et de découragement, mais heureusement, l'amour est là, et lorsque l'amour est là, on arrive à faire des miracles… Croisons les doigts et envoyons plein de pensées positives afin que l'avenir de Noé se déroule le mieux possible…
Le petit bonhomme marche maintenant pratiquement normalement, il court, il saute, mais il a tout de même toujours besoin de son attelle à la jambe gauche. Il peut à nouveau tirer dans un ballon, son jeu favori. Avant son accident, il était gaucher, et avait donc un fameux coup de pied gauche. Sa jambe gauche étant maintenant plus faible que la droite, il tape dans le ballon avec le pied droit, et a maintenant un fameux coup de pied droit ! Son bras gauche a retrouvé un peu de mobilité, mais pas encore sa petite main gauche. Celle-ci n'est pas inerte, mais la commande n'est pas revenue, et les petits doigts ne bougent pas. Mais en fait, son handicap principal, actuellement, et le plus gênant, est son manque de concentration et son hyperactivité. Il a vraiment du mal à se poser et à rester immobile, à écouter, et dans une classe, cela pose problème. En septembre dernier, il avait fait sa rentrée dans une classe "normale" de maternelle, assisté d'une AVS. Une classe de trente enfants, à peu près. Trop d'enfants, sans doute, car il n'est pas arrivé à s'intégrer véritablement. Le bruit, les cris des autres enfants, l'excitaient, l'énervaient, le rendaient parfois agressif, et il perturbait la classe. Après plusieurs entretiens entre son instituteur, la directrice de l'école, l'AVS, la pédopsychiatre et ses parents, il a été décidé qu'après les vacances de Pâques, il se rendrait dans une CLIS (classe d'intégration scolaire) : «Les CLIS accueillent un petit groupe d'enfants (12 maximum), présentant le même type de handicap, dans certaines écoles élémentaires et exceptionnellement en maternelle. Elles permettent aux élèves de suivre totalement ou partiellement un cursus scolaire ordinaire.» (Source) Donc, après les vacances de Pâques, mon petit-fils a rejoint une CLIS. Ils sont six petits élèves, et sont encadrés par un instituteur-éducateur, et une autre personne. Les débuts sont plutôt prometteurs. Noé, un peu "perdu" au début, a apparemment maintenant trouvé ses repères. Croisons les doigts pour que cette classe un peu spéciale lui permette de pouvoir, par la suite, rejoindre le cursus normal. On l'aime tant ce petit bonhomme et il ne méritait pas ce qu'il lui est arrivé. Son petit frère a grandi, lui aussi, il a maintenant 28 mois. Ils s'adorent tous les deux. Si l'un des deux manque, l'autre le cherche ou le demande. Le petit frère va sûrement tirer le grand frère vers le haut, car il a, lui, un développement normal et il est plein de vie et d'énergie. Quant aux parents, s'ils ne se démenaient pas ainsi pour leur fils, celui-ci n'en serait sûrement pas encore là, car des coups de fils, il a fallu qu'ils en donnent pour faire avancer les choses, l'administration n'étant pas toujours très coopérante, et étant parfois même décourageante, il faut bien le dire. Il y en a eu des jours d'angoisse, d'incompréhension et de découragement, mais heureusement, l'amour est là, et lorsque l'amour est là, on arrive à faire des miracles… Croisons les doigts et envoyons plein de pensées positives afin que l'avenir de Noé se déroule le mieux possible…
vendredi 31 mai 2013
Terre de femme
Je l'ai découvert il y a peu, grâce à une amie, et j'ai envie à mon tour de vous le faire découvrir : "Un site par les femmes et pour les femmes d'aujourd'hui conscientes qu'elles créent la réalité dans tous les domaines de la vie." "Des infos simples et pratiques pour des choix conscients au quotidien."
Belle fin de semaine à vous ! et bonne lecture ! :-)
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mardi 28 mai 2013
Détache-moi !
« Casser la routine, c'est ouvrir une nouvelle parcelle de liberté. Cela comporte une part de risque : Que va-t-on trouver que l'on n'avait déjà ? Est-ce que ce sera mieux ou moins bien qu'avant ? Il faut surtout accepter l'idée que ce sera différent, et c'est le changement qui va nous faire progresser en nous obligeant à nous adapter, à trouver de nouveaux repères et une nouvelle place dans le monde. Il n'y a pas de vie sans désordre. »
-> « Détache-moi ! », Marcel Rufo, p. 166.
lundi 27 mai 2013
Fais comme l'oiseau…
![]() |
Michel Folon |
« L'oiseau n'a pas de rancune, il a des ailes. »
-> Anne Barratin
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Tout à l'heure, j'ai observé par la fenêtre de mon bureau une buse (dites moi si je me trompe…), et l'ai évidemment photographiée (petit clic sur la photo pour l'agrandir) :
J'ai mis d'autres clichés sur mon blog Photos.
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vendredi 24 mai 2013
« Rêver, c'est… » si joliment dit, par Anne Barratin…
« Rêver, c'est jeter la bride sur le cou de son désir ; c'est le voir s'agiter en tous sens, l'entendre rire autour de soi ; c'est le surprendre dans tous les coins de son coeur, dans tous les replis de sa pensée ; c'est oublier pour une heure les rancunes d'hier, les injustices du jour, les luttes du lendemain ; c'est rapprocher le possible de l'impossible, le fini de l'infini ; c'est visiter toutes les fantaisies et c'est n'aborder nulle part. »
-> Anne Barratin - (Chemin faisant)
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jeudi 23 mai 2013
Georges Moustaki : « Et pourtant dans le monde »
Parce que j'aimais bien cet homme, cet artiste, voici une chanson de Georges Moustaki qui vient de s'éteindre à l'âge de 79 ans. Il est ici accompagné de Marta Contreras, un joli duo. Cette chanson ne fait pas partie de ses plus connues, mais… pourtant dans le monde…
Ici -> un superbe blog consacré à Georges Moustaki avec plein de vidéos.
Ici -> un superbe blog consacré à Georges Moustaki avec plein de vidéos.
mercredi 22 mai 2013
mardi 21 mai 2013
Alors, émerveillez-vous !
« Le monde ne mourra jamais par manque de merveilles mais uniquement par manque d’émerveillement. » -> Gilbert Keith Chesterto
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lundi 20 mai 2013
et pas avec n'importe quel gaufrier !...


vendredi 17 mai 2013
J'ai regardé le ciel et j'ai dit : Merci
Me voici de retour sur la toile. Ces derniers jours, mes enfants et petits-enfants étaient tous à la maison, aussi je voulais en profiter pleinement. Ils habitent un peu loin les uns des autres et certains loin de chez nous aussi, et c'est le Bonheur lorsque nous sommes tous réunis, ce qui n'est pas si fréquent.
Samedi dernier, alors que la maison était pleine de tout ce joli monde et que je revenais du jardin, je pensais à eux, au bonheur que m'apportait leur présence, j'ai souri, j'ai regardé le ciel et j'ai dit : "Merci !" Il est si important de savoir dire "Merci" à ce qui nous donne le sourire et ce qui nous rend heureux...
Envie de partager ce moment avec vous (sourire).
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Samedi dernier, alors que la maison était pleine de tout ce joli monde et que je revenais du jardin, je pensais à eux, au bonheur que m'apportait leur présence, j'ai souri, j'ai regardé le ciel et j'ai dit : "Merci !" Il est si important de savoir dire "Merci" à ce qui nous donne le sourire et ce qui nous rend heureux...
Envie de partager ce moment avec vous (sourire).
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dimanche 5 mai 2013
Un besoin de reconnaissance ? une flatterie de l'ego ?
Je suis passée l'autre jour chez Suzame, qui elle, était passée chez Yog, et j'ai lu à mon tour cet article : "Les réseaux sociaux étaient ma drogue dure" de Cyrille de Lasteyrie.
Et du coup, je me questionne : Pourquoi ce besoin de m'exposer ou d'exposer ma vie, ce qui est pareil, à travers mes blogs ? N'est-ce vraiment, comme le dit Cyrille de Lasteyrie, qu'un besoin de reconnaissance, qu'une façon de me sentir exister, qu'une flatterie de l'ego ?
C'est certain qu'il y a du vrai dans ce qu'il dit, mais il y a tout de même aussi cette envie de partager, cette envie d'échanger avec des personnes ayant une sensibilité commune à la mienne. Des amitiés se sont nouées, des rencontres ont eu lieu, ce n'est pas seulement du virtuel le net, ce n'est pas forcément se regarder le nombril. Enfin, je ne pense pas. A méditer, tout de même...
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Et du coup, je me questionne : Pourquoi ce besoin de m'exposer ou d'exposer ma vie, ce qui est pareil, à travers mes blogs ? N'est-ce vraiment, comme le dit Cyrille de Lasteyrie, qu'un besoin de reconnaissance, qu'une façon de me sentir exister, qu'une flatterie de l'ego ?
C'est certain qu'il y a du vrai dans ce qu'il dit, mais il y a tout de même aussi cette envie de partager, cette envie d'échanger avec des personnes ayant une sensibilité commune à la mienne. Des amitiés se sont nouées, des rencontres ont eu lieu, ce n'est pas seulement du virtuel le net, ce n'est pas forcément se regarder le nombril. Enfin, je ne pense pas. A méditer, tout de même...
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samedi 4 mai 2013
mardi 30 avril 2013
Quel temps fait-il chez vous ?
Quel temps fait-il chez vous ? Pluie ? Soleil ? C'est vrai que c'est l'un des sujets les plus abordés en ce moment. « Mais quand le beau temps va-t-il donc arriver ?!!! Il y en a marre de cette pluie ! de cette grisaille ! de ce froid !... »
Il ne fait pas beau, certes, mais ce n'est pas pour autant qu'il faut se laisser aller à la morosité. D'une part, cela ne fera pas arriver le beau temps plus tôt ; d'autre part, ce sera s'entourer d'ondes négatives et ce sera encore pire !
Dans ma région (Haute-Loire), depuis plusieurs jours, voire plusieurs semaines, c'est la pluie sans discontinuer. Le pré derrière la maison est gorgé d'eau.
Mais j'ai eu de la chance, car lors d'une petite escapade de quatre jours en fin de semaine dernière, ô miracle, j'ai eu le plaisir de trouver le soleil. Et je l'ai trouvé dans une région qui n'est pourtant pas renommée pour le beau temps, je l'ai trouvé dans le Nord ! chez les Ch'tis ! (qui sont d'ailleurs charmants). Le Nord, une région que je ne connaissais pas du tout et que j'ai eu beaucoup de plaisir à découvrir (Lille, Bruges, Calais, …) Du soleil, donc, du soleil ! Témoin cette photo faite sur la plage de Calais, samedi dernier. Alors je vous l'offre, et je vous dis : patience ! le printemps, le soleil, la chaleur vont bien finir par arriver, ne désespérons pas. D'ailleurs, tout en vous écrivant, un joli rayon de soleil vient de me faire un petit coucou. Il ne s'est pas attardé, certes, mais c'est un signe ! (sourire)
Pour ceux que cela intéresse, je mettrai prochainement sur mon blog Photos d'autres clichés faits lors de cette escapade dans le Nord.
Il ne fait pas beau, certes, mais ce n'est pas pour autant qu'il faut se laisser aller à la morosité. D'une part, cela ne fera pas arriver le beau temps plus tôt ; d'autre part, ce sera s'entourer d'ondes négatives et ce sera encore pire !
Dans ma région (Haute-Loire), depuis plusieurs jours, voire plusieurs semaines, c'est la pluie sans discontinuer. Le pré derrière la maison est gorgé d'eau.
Mais j'ai eu de la chance, car lors d'une petite escapade de quatre jours en fin de semaine dernière, ô miracle, j'ai eu le plaisir de trouver le soleil. Et je l'ai trouvé dans une région qui n'est pourtant pas renommée pour le beau temps, je l'ai trouvé dans le Nord ! chez les Ch'tis ! (qui sont d'ailleurs charmants). Le Nord, une région que je ne connaissais pas du tout et que j'ai eu beaucoup de plaisir à découvrir (Lille, Bruges, Calais, …) Du soleil, donc, du soleil ! Témoin cette photo faite sur la plage de Calais, samedi dernier. Alors je vous l'offre, et je vous dis : patience ! le printemps, le soleil, la chaleur vont bien finir par arriver, ne désespérons pas. D'ailleurs, tout en vous écrivant, un joli rayon de soleil vient de me faire un petit coucou. Il ne s'est pas attardé, certes, mais c'est un signe ! (sourire)
Plage de Calais- Samedi 27 avril 2013 |
Pour ceux que cela intéresse, je mettrai prochainement sur mon blog Photos d'autres clichés faits lors de cette escapade dans le Nord.
lundi 29 avril 2013
Eviter ou affronter
« Ce fut son tour d'avoir le livre entre les mains. Qu'allait-elle faire ? Comme d'habitude : se défiler, dire qu'elle n'avait pas ses lunettes, et donner le livre à son voisin ? Elle avait tellement la frousse de lire en public, de parler à voix haute, d'avoir tous ces yeux braqués sur elle. Ah la la ! cette sacrée timidité qui lui avait joué tant de tours dans sa vie et qui l'avait éloignée de certains rêves pourtant loin d'être inaccessibles ! Mais elle en avait assez d'être dépendante de cette timidité, elle en avait assez de fuir ses peurs, de ne pas affronter ce qui l'angoissait, elle avait envie de changement. Tout son être, toute son âme le réclamait. D'ailleurs, ces derniers temps, elle prenait de plus en plus d'assurance, elle avait de plus en plus confiance en elle. Et cela se ressentait même dans le regard que lui portaient les autres. Elle commençait à se sentir exister. Il était temps...
Elle se leva et alla chercher ses lunettes dans son sac, elle prit le livre, respira profondément et commença à lire. Sa voix fut tout d'abord mal assurée. Et puis, au fil de la lecture, celle-ci devint plus claire. Elle prononçait chaque mot lentement, elle s'imprégnait de leur sens et désirait que les autres personnes s'en imprègnent tout comme elle. Elle éprouvait maintenant du plaisir à lire. Oui, sa peur s'était transformée en plaisir. Elle aurait même volontiers continué, mais la partie qu'elle devait lire s'achevait et elle dut passer le livre à son voisin… mais elle souriait… Elle avait affronté et gagné... Pema Chödrön était passée par là... et puis d'autres aussi… (sourire) »
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Elle se leva et alla chercher ses lunettes dans son sac, elle prit le livre, respira profondément et commença à lire. Sa voix fut tout d'abord mal assurée. Et puis, au fil de la lecture, celle-ci devint plus claire. Elle prononçait chaque mot lentement, elle s'imprégnait de leur sens et désirait que les autres personnes s'en imprègnent tout comme elle. Elle éprouvait maintenant du plaisir à lire. Oui, sa peur s'était transformée en plaisir. Elle aurait même volontiers continué, mais la partie qu'elle devait lire s'achevait et elle dut passer le livre à son voisin… mais elle souriait… Elle avait affronté et gagné... Pema Chödrön était passée par là... et puis d'autres aussi… (sourire) »
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lundi 15 avril 2013
A bientôt nous deux
Petite pause. Je n'ai pas et n'aurai pas assez de temps ces jours pour m'occuper de mon blog.
Je vous laisse donc en compagnie de Hugues Aufray, avec une chanson qui date ! 1964 ! Lorsque mon frère était jeune adolescent, Hugues Aufray était l'un de ses chanteurs favoris ; donc je l'entendais souvent chanter à la maison.
Alors, « A bientôt nous deux ! » :-)
vendredi 12 avril 2013
Un nouveau petit piaf est venu se poser sur mon cognassier...
(petit clic sur la photo !) |
C'est la première année où je vois tant d'oiseaux d'espèces différentes venir se poser sur mon cognassier. Mais peut-être que les années précédentes, ils venaient déjà mais que je n'y prêtais pas attention. C'est possible. En tous cas, cela me ravit infiniment ! :-)
Je vous souhaite de passer un très bon week-end !
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jeudi 11 avril 2013
EDERLEZI
J'ai entendu ce chant pour la première fois dans le film : Le temps des gitans (un film magnifique sorti en 1989 qui m'avait marquée à l'époque). Dimanche dernier, lors d'un festival de chorales, l'une d'elles l'a chanté et me l'a remis en mémoire. Et je viens de trouver une vidéo d'une jeune femme (j'ignore son nom) l'interprétant d'une si belle façon que je n'ai pas pu faire autrement que de la déposer ici et de la partager avec vous :
mardi 9 avril 2013
Je ne comprends pas...
On a beau avoir de bonnes raisons pour détester ou haïr une personne, celle-ci ayant fait du mal ou ayant causé du tort à d'autres personnes, je ne comprends pas que l'on puisse se réjouir de sa mort. Se réjouir de la mort de quelqu'un me dépasse. Je pense notamment à Margaret Thatcher et à certaines réactions entendues à la télé ou à la radio.
Votre avis ?...
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Votre avis ?...
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dimanche 7 avril 2013
Lhasa de Sela. La confession
Elle chantait si bien...
Envie de l'écouter ce soir, et de partager avec vous cette chanson :
Envie de l'écouter ce soir, et de partager avec vous cette chanson :
vendredi 5 avril 2013
Et lui, savez-vous qui il est ?
C'est la première fois que j'en vois un vers chez moi. C'est un pic épeiche ! La photo n'est pas très nette, car l'oiseau était loin, et de plus il y avait deux épaisseurs de vitres (une baie vitrée) entre lui et moi. Un petit clic sur la photo et vous le verrez mieux.
Bon week-end à vous !
Encore un petit bonheur comme je les aime ! :-)
Bon week-end à vous !
jeudi 4 avril 2013
Nous vivons avec des idées…
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mercredi 3 avril 2013
Pour le plaisir...
Pour le plaisir, petite « pinsonne » photographiée hier après-midi :
Petit bonheur dont je ne me lasse pas... :-)
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mardi 2 avril 2013
Vivre sans entrave
Ces derniers temps, je bosse sur un travail important qui demande un gros effort de concentration. Mais certains moments, je fatigue et je n'arrive plus à me concentrer correctement. Je ne suis sûrement pas la seule dans ce cas. J'essaie alors d'appliquer ce dont parle Pema Chödrön dans son livre : "Vivez sans entrave". Je m'arrête quelques minutes, je me sors la tête du boulot, je vais faire un tour dehors si je le peux, je marche, je regarde le ciel, les nuages, je respire. Pema Chödrön dit qu'il est bien de faire des pauses régulières, même de deux ou trois minutes, des pauses en pleine conscience, sans s'encombrer de pensées parasitaires. Si vous ne travaillez pas chez vous, comme moi, et que vous êtes "coincé(e)" dans un bureau, vous pouvez juste prendre deux ou trois grandes respirations durant quelques minutes, l'important étant de faire de petites pauses et de lâcher prise avec toutes les pensées qui vous assaillent. Je parle du lieu de travail, mais il est bon aussi d'apprendre à faire ces petites pauses n'importe où, à n'importe quel moment de la journée, juste pour se retrouver et être avec soi. "Soyez simplement là où vous êtes."
Elle dit aussi (je ne sais plus si c'est dans ce livre ou un autre qu'elle a écrit) que continuer à répéter certains actes, alors que l'on sait qu'il vaudrait mieux les arrêter -ceux-ci n'étant pas bons pour nous-, ce n'est pas être libre, c'est être dépendant, ce n'est pas vivre, c'est tourner en rond. Si l'on arrive à se détacher de ce qui nous entrave, si l'on parvient à s'en délivrer, on pourra se tourner vers autre chose, on pourra découvrir, avancer, évoluer, et non pas piétiner et avoir l'impression de ne rien faire de sa vie, et cela empêchera parfois la déprime. La vie n'est pas une salle d'attente, la vie est faite pour vivre une multitude de choses, sinon à quoi cela rimerait-il qu'on nous l'ait donnée ?...
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Elle dit aussi (je ne sais plus si c'est dans ce livre ou un autre qu'elle a écrit) que continuer à répéter certains actes, alors que l'on sait qu'il vaudrait mieux les arrêter -ceux-ci n'étant pas bons pour nous-, ce n'est pas être libre, c'est être dépendant, ce n'est pas vivre, c'est tourner en rond. Si l'on arrive à se détacher de ce qui nous entrave, si l'on parvient à s'en délivrer, on pourra se tourner vers autre chose, on pourra découvrir, avancer, évoluer, et non pas piétiner et avoir l'impression de ne rien faire de sa vie, et cela empêchera parfois la déprime. La vie n'est pas une salle d'attente, la vie est faite pour vivre une multitude de choses, sinon à quoi cela rimerait-il qu'on nous l'ait donnée ?...
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lundi 1 avril 2013
Perce-neige
Hier, il ne faisait pas très chaud là où je me trouvais, mais il y avait un beau soleil qui invitait à la balade et lors de celle-ci, je me suis arrêtée, admirative, devant un joli plant solitaire de perce-neige. Clic, une photo ! :-)
J'espère que vous avez passé un bon week-end de Pâques. Pour moi, il fut bon, car entourée de personnes qui me sont chères.
Une belle fin de journée à vous !
mercredi 27 mars 2013
Petite boule de plumes
Ce petit rouge-gorge a élu domicile dans le cognassier du Japon qui se trouve juste en face de la fenêtre de mon bureau (je précise, je travaille chez moi).
Un petit bonheur du jour sans cesse renouvelé. Chaque fois que je le vois, je souris et je suis heureuse. :-)
(Cliquer sur la photo pour l'agrandir.)
Si cela vous dit, d'autres photos de ce charmant petit oiseau se trouvent sur mon blog Photos -> Un instant, une photo.
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Ma voix...
Tout à l'heure, au téléphone, une démarcheuse s'adresse à moi :
- (elle) Allo ?...
- (moi) Oui. Allo...
- (elle) Tu me peux passer l'un de tes parents ?...
- (moi) Euh... Je suis l'un des parents...
- (elle) Vous êtes Mme A... ?
- (oui) Oui
- (elle) Ah ! excusez-moi, vous avez une voix tellement jeune !...
C'est drôle, et en même temps irritant. Malgré les années qui passent, je garde ma voix de jeune fille. Lorsque mes fils étaient encore à la maison, cela m'amusait lorsque leurs copains leur demandaient s'ils avaient une soeur. Mais maintenant, c'est un peu agaçant. Et moi qui suis d'un naturel plutôt timide, avoir une petite voix ne facilite pas la prise de parole en public, ou alors il faudrait que je crie, mais je ne sais pas faire... (sourire)
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- (elle) Allo ?...
- (moi) Oui. Allo...
- (elle) Tu me peux passer l'un de tes parents ?...
- (moi) Euh... Je suis l'un des parents...
- (elle) Vous êtes Mme A... ?
- (oui) Oui
- (elle) Ah ! excusez-moi, vous avez une voix tellement jeune !...
C'est drôle, et en même temps irritant. Malgré les années qui passent, je garde ma voix de jeune fille. Lorsque mes fils étaient encore à la maison, cela m'amusait lorsque leurs copains leur demandaient s'ils avaient une soeur. Mais maintenant, c'est un peu agaçant. Et moi qui suis d'un naturel plutôt timide, avoir une petite voix ne facilite pas la prise de parole en public, ou alors il faudrait que je crie, mais je ne sais pas faire... (sourire)
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