A cause d'une surcharge de travail, j'ai très peu de temps ces jours pour écrire de nouveaux billets, et pour venir vous voir. En attendant des jours plus calmes, je vous offre quelques petites violettes qui ont poussé dans mon pré, un tout petit massif qui change de place chaque année, à son gré et selon son bon vouloir... :-)
Belle semaine à vous ! A bientôt.
mardi 27 mars 2012
mercredi 21 mars 2012
mardi 20 mars 2012
vendredi 16 mars 2012
J'aime l'avant printemps
J'aime cette saison, j'aime le printemps. Mais ce que je préfère avant tout, c'est l'avant printemps, lorsque la nature se prépare, lorsque les premières petites fleurs viennent colorer de jaune, de blanc, de bleu, le vert uni du pré, lorsque les bourgeons des arbres se forment et enflent tout doucement, lorsque l'on voit sur les branches des arbres encore dénudés, les petits oiseaux qui viennent cueillir des brins de mousse ou de lichen pour construire le nid qui abritera bientôt leurs futurs petits. J'aime l'avant printemps, parce que l'on sort tout juste de l'hiver, et que ce bon soleil vous réchauffe, vous donne le sourire, vous met du baume au coeur. J'aime l'avant printemps parce qu'il est annonciateur du printemps, cette saison que l'on attend tous après le froid et le gris de l'hiver. J'aime l'avant printemps, parce que, ne l'avez-vous pas remarqué, en règle générale, l'"avant" est toujours plus riche en promesses !... :-)
Bonne fin de semaine et bon week-end à vous ! :-)
dimanche 11 mars 2012
Nouvelles du petit bonhomme courageux / 16
Voici trois mois que je ne vous ai pas donné de nouvelles du petit bonhomme courageux ! Et pourtant, il continue de progresser.
Une bonne nouvelle : depuis quinze jours, il a commencé à aller à l'école deux matinées par semaine, et bientôt ce sera quatre matinées. Il est bien évidemment aidé par une AVS, son petit bras et sa main gauches n'ayant pas encore retrouvé leur mobilité, et il a besoin d'aide. Cette rentrée s'est apparemment bien passée, même s'il était dur de laisser partir ses parents et de se mélanger aux autres petits enfants. C'est vrai qu'au centre, des petits de son âge, il n'y en a pas beaucoup.
Le petit bonhomme a passé une période où il tournait en rond, il ne progressait pas, il rabâchait. Ses parents étaient un peu démoralisés, il faut le dire, et il faut les comprendre. Ce n'est pas toujours évident pour eux. Mais depuis quelques jours, et nous avons pu nous en rendre compte ce week-end puisqu'il était à la maison avec ses parents et son petit frère, il s'intéresse à nouveau à ce qui se passe et se dit autour de lui, et il pose des questions bien appropriées. Il est en train d'enrichir son vocabulaire, d'apprendre de nouveaux mots, et il arrive à se concentrer plus facilement. C'est vrai que depuis sa rupture d'anévrisme, il a beaucoup récupéré au point de vue physique (à part son petit bras et main gauches). Et maintenant, c'est sur le plan intellect qu'il est en train de progresser. En effet, il ne pouvait pas tout récupérer à la fois, et je pense qu'au centre, les soignants privilégiaient surtout le physique, pour qu'il retrouve le plus rapidement possible son autonomie, même si ce n'est pas encore parfait.
Le petit bonhomme courageux est toujours autant heureux de vivre, et aime rire, tout en gardant son petit caractère bien à lui, ce petit caractère qui l'a aidé jusqu'à maintenant à lutter, et à progresser. Avoir du caractère a des bons côtés, aussi. :-)
Il a appris à connaître et aimer son petit frère, et celui-ci lui rend bien, en lui faisant de grands sourires et en lui "baragouinant" des mots que seul lui connaît :-)
Ce n'était pas évident aussi cette relation, car il ne faut pas oublier que Noé est reparti de zéro, et quand il est rentré chez lui, le petit frère était un peu un intrus. Mais tout s'est arrangé de ce côté-là.
Voilà donc les dernières nouvelles du petit bonhomme courageux. Il va, son bonhomme de chemin, progressant à son rythme, aussi bien qu'il le peut, mais sûrement ! :-)
Dans ce même billet, j'ai envie de parler d'une petite-fille, Marie-Clotilde, qui était avec moi en classes de Cm1 et Cm2. Cela remonte donc à... pas mal de temps. Cette petite-fille avait eu la poliomyélite et le virus lui avait paralysé la jambe gauche. Sa petite jambe était appareillée, et elle marchait avec deux béquilles. Cette petite-fille était jolie comme un coeur. Elle travaillait bien à l'école et elle ne se plaignait jamais. Je me rappelle que nous nous disputions la place à côté d'elle, nous voulions être son amie. Nous l'aidions à porter son cartable ou lorsqu'elle avait besoin. Malgré son handicap, Marie-Clotilde rayonnait. J'aimerais savoir ce qu'elle est devenue.
L'histoire de mon petit-fils m'a fait remémoré ce souvenir. Et je me dis que ces enfants-là n'ont pas quelque chose en moins, non, je dirais au contraire qu'ils ont quelque chose en plus !!!
Une bonne nouvelle : depuis quinze jours, il a commencé à aller à l'école deux matinées par semaine, et bientôt ce sera quatre matinées. Il est bien évidemment aidé par une AVS, son petit bras et sa main gauches n'ayant pas encore retrouvé leur mobilité, et il a besoin d'aide. Cette rentrée s'est apparemment bien passée, même s'il était dur de laisser partir ses parents et de se mélanger aux autres petits enfants. C'est vrai qu'au centre, des petits de son âge, il n'y en a pas beaucoup.
Le petit bonhomme a passé une période où il tournait en rond, il ne progressait pas, il rabâchait. Ses parents étaient un peu démoralisés, il faut le dire, et il faut les comprendre. Ce n'est pas toujours évident pour eux. Mais depuis quelques jours, et nous avons pu nous en rendre compte ce week-end puisqu'il était à la maison avec ses parents et son petit frère, il s'intéresse à nouveau à ce qui se passe et se dit autour de lui, et il pose des questions bien appropriées. Il est en train d'enrichir son vocabulaire, d'apprendre de nouveaux mots, et il arrive à se concentrer plus facilement. C'est vrai que depuis sa rupture d'anévrisme, il a beaucoup récupéré au point de vue physique (à part son petit bras et main gauches). Et maintenant, c'est sur le plan intellect qu'il est en train de progresser. En effet, il ne pouvait pas tout récupérer à la fois, et je pense qu'au centre, les soignants privilégiaient surtout le physique, pour qu'il retrouve le plus rapidement possible son autonomie, même si ce n'est pas encore parfait.
Le petit bonhomme courageux est toujours autant heureux de vivre, et aime rire, tout en gardant son petit caractère bien à lui, ce petit caractère qui l'a aidé jusqu'à maintenant à lutter, et à progresser. Avoir du caractère a des bons côtés, aussi. :-)
Il a appris à connaître et aimer son petit frère, et celui-ci lui rend bien, en lui faisant de grands sourires et en lui "baragouinant" des mots que seul lui connaît :-)
Ce n'était pas évident aussi cette relation, car il ne faut pas oublier que Noé est reparti de zéro, et quand il est rentré chez lui, le petit frère était un peu un intrus. Mais tout s'est arrangé de ce côté-là.
Voilà donc les dernières nouvelles du petit bonhomme courageux. Il va, son bonhomme de chemin, progressant à son rythme, aussi bien qu'il le peut, mais sûrement ! :-)
Dans ce même billet, j'ai envie de parler d'une petite-fille, Marie-Clotilde, qui était avec moi en classes de Cm1 et Cm2. Cela remonte donc à... pas mal de temps. Cette petite-fille avait eu la poliomyélite et le virus lui avait paralysé la jambe gauche. Sa petite jambe était appareillée, et elle marchait avec deux béquilles. Cette petite-fille était jolie comme un coeur. Elle travaillait bien à l'école et elle ne se plaignait jamais. Je me rappelle que nous nous disputions la place à côté d'elle, nous voulions être son amie. Nous l'aidions à porter son cartable ou lorsqu'elle avait besoin. Malgré son handicap, Marie-Clotilde rayonnait. J'aimerais savoir ce qu'elle est devenue.
L'histoire de mon petit-fils m'a fait remémoré ce souvenir. Et je me dis que ces enfants-là n'ont pas quelque chose en moins, non, je dirais au contraire qu'ils ont quelque chose en plus !!!
vendredi 9 mars 2012
Ce matin, cadeau du ciel...
Photos faites ce matin de la fenêtre
de mon bureau.
Instant éphémère,
le vent soufflait fort
Instant magique
Petit bonheur
si simple
à saisir...
Passez un bon week-end ! :-)
de mon bureau.
Instant éphémère,
le vent soufflait fort
Instant magique
Petit bonheur
si simple
à saisir...
Passez un bon week-end ! :-)
mercredi 7 mars 2012
mardi 6 mars 2012
Des nouvelles et une petite annonce
J'ai toujours énormément de travail ces jours (d'un côté, tant mieux) et un emploi du temps chargé. Chargé mais pas uniquement à cause du travail, puisque ce week-end dernier, je suis allée à une journée d'échange de soins Reiki (un groupe déjà formé m'a fort bien accueillie), et à une journée de Pleine conscience, méditation, yoga, chez Isabelle, deux journées qui m'ont fait beaucoup de bien, enlevant une bonne partie du stress dû à ces semaines chargées en travail.
Tout cela aussi pour vous dire que je n'ai pas bien le temps de poster de nouveaux billets en ce moment, et aussi, et surtout de passer chez vous. Mais je ne vous oublie pas, je passerai dès que possible.
Je profite de ce billet pour déposer une petite annonce concernant l'une de mes amies. Elle est traductrice interprète et travaille chez elle, tout comme moi. Peut-être que cela peut vous intéresser, ou bien intéresser l'une de vos relations.
Voici ses coordonnées :
Danielle LEBRAT MALET
Traductrice interprète
Allemand Russe (anglais)
Diplômée E.S.I.T - Membre de la S.F.T
Expert près la Cour d'Appel de Riom
maletdanielle@hotmail.fr
ALTITRAD
http://www.altitrad.com
http://traducteurs.auvergne. free.fr
www.aaeesit.com
www.sft.fr
Tout cela aussi pour vous dire que je n'ai pas bien le temps de poster de nouveaux billets en ce moment, et aussi, et surtout de passer chez vous. Mais je ne vous oublie pas, je passerai dès que possible.
Je profite de ce billet pour déposer une petite annonce concernant l'une de mes amies. Elle est traductrice interprète et travaille chez elle, tout comme moi. Peut-être que cela peut vous intéresser, ou bien intéresser l'une de vos relations.
Voici ses coordonnées :
Danielle LEBRAT MALET
Traductrice interprète
Allemand Russe (anglais)
Diplômée E.S.I.T - Membre de la S.F.T
Expert près la Cour d'Appel de Riom
maletdanielle@hotmail.fr
ALTITRAD
http://www.altitrad.com
http://traducteurs.auvergne.
www.aaeesit.com
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vendredi 2 mars 2012
mardi 28 février 2012
La soirée des "pourquoi" ?
Certains jours -comme aujourd'hui-, je me demande pourquoi je livre parfois des choses aussi personnelles sur mon blog, quelle en est la raison ? Et qui cela peut-il vraiment intéresser et pourquoi ? Pourquoi ce besoin de raconter ainsi certains événements de ma vie, de livrer certaines émotions et ressentis ? Pour le partager, certes, mais n'y aurait-il pas une autre raison ?...
Sur un autre de mes blogs ("Des mots pour le dire"), je raconte entre autres des périodes de ma vie, de mon enfance, de mon adolescence, sous forme de petits textes ou poèmes. J'ai remarqué que je suis arrivée à faire la paix avec certaines personnes en écrivant sur elles, en m'adressant à elles. Le fait d'écrire ce que j'avais ressenti m'a permis de les comprendre et de comprendre tout court pourquoi j'avais souffert de telle situation.
On m'a dit: "mais pourquoi ne l'écris-tu pas juste pour toi, sur un cahier secret ?" J'avais essayé de le faire, mais cela n'avait pas eu le même effet. Pourquoi ? Je n'en sais rien. Pourquoi faut-il un public qui me lise pour arriver à ce résultat ?
Vous qui écrivez sur vous, sur votre vie, comment expliquez-vous ce besoin : écrire et livrer nos mots à la toile, à nos ami(e)s, certes, mais aussi à des inconnu(e)s qui passent?...
vendredi 24 février 2012
Avez-vous peur du noir ?
Lorsque j'étais enfant, mes parents devaient mettre une petite veilleuse dans la pièce où je dormais car j'angoissais profondément si je me trouvais dans le noir complet. Je dis la pièce, car jusqu'à l'âge de 13 ans environ, je n'avais pas de chambre, je dormais dans un coin de la salle-à-manger dans un lit placard. Vous savez, ces lits que l'on ouvre le soir et que l'on referme le matin, ces lits qui se transforment en meubles pour la journée. Ce meuble, à lui seul, représentait ma chambre. Les moyens financiers de mes parents ne leur permettaient pas de louer plus de pièces dans cette grande maison où nous habitions. Et quand cela fut possible, il fut normal que ce soit tout d'abord ma soeur, puis ensuite mon frère (mes aînés) qui disposent en premier d'une chambre à eux. Puis, alors que cela aurait pu être mon tour, mon père est mort, subitement, et nous avons déménagé. J'ai ensuite partagé une chambre avec ma soeur. Je n'ai jamais eu une chambre pour moi toute seule. J'aurais aimé pourtant avoir ma pièce à moi, rien qu'à moi. Surtout à l'adolescence.
Donc, j'en reviens à la peur du noir, j'avais besoin d'une veilleuse pour pouvoir m'endormir, pour surveiller si personne ne rentrait dans la pièce et ne m'attaque, et surtout, surtout, pour m'assurer que je ne devenais pas aveugle. Devenir aveugle... C'était l'une de mes angoisses de petite fille: devenir aveugle. Je ne sais pas pourquoi j'avais cette peur. Et d'ailleurs, tout en écrivant, je repense à un livre, à un conte, qui a peut-être bien contribué à cette peur... Je ne me rappelle plus du titre de ce livre, c'est dommage, car je le revois dans mes mains, en train de le lire. Il s'agissait d'un conte qui racontait l'histoire d'une petite fille qui était méchante, très méchante, surtout avec sa maman. Je ne sais plus comment cela arrivait, mais celle-ci, sa maman, perdait subitement la vue. La petite fille méchante, peu à peu, apprenait ce qu'était la gentillesse, et à la fin du conte, elle offrait ses yeux pour que sa maman puisse retrouver la vue, mais elle, devenait aveugle. C'était en quelque sorte un sacrifice. Quelle drôle d'histoire à faire lire à une petite fille ! Il y a des histoires que l'on ne devrait jamais faire lire à des enfants, ceux-ci sont facilement impressionnables et encore plus s'ils ne vivent pas dans un climat suffisamment rassurant. Cette peur m'a poursuivie durant de nombreuses années.
A l'heure actuelle, je peux dire qu'elle a pratiquement disparu, mais je dois avouer que je n'aime toujours pas dormir dans une salle complètement obscure. Le cadran lumineux de mon réveil, un rai de lumière venant de la fenêtre me suffisent, juste un petit point lumineux, en fait, cela me suffit, cela me rassure...
Et vous, avez-vous peur du noir ?... Avez-vous des souvenirs liés à cette peur ? Si vous voulez raconter, allez-y, j'en serai ravie... :-)
Donc, j'en reviens à la peur du noir, j'avais besoin d'une veilleuse pour pouvoir m'endormir, pour surveiller si personne ne rentrait dans la pièce et ne m'attaque, et surtout, surtout, pour m'assurer que je ne devenais pas aveugle. Devenir aveugle... C'était l'une de mes angoisses de petite fille: devenir aveugle. Je ne sais pas pourquoi j'avais cette peur. Et d'ailleurs, tout en écrivant, je repense à un livre, à un conte, qui a peut-être bien contribué à cette peur... Je ne me rappelle plus du titre de ce livre, c'est dommage, car je le revois dans mes mains, en train de le lire. Il s'agissait d'un conte qui racontait l'histoire d'une petite fille qui était méchante, très méchante, surtout avec sa maman. Je ne sais plus comment cela arrivait, mais celle-ci, sa maman, perdait subitement la vue. La petite fille méchante, peu à peu, apprenait ce qu'était la gentillesse, et à la fin du conte, elle offrait ses yeux pour que sa maman puisse retrouver la vue, mais elle, devenait aveugle. C'était en quelque sorte un sacrifice. Quelle drôle d'histoire à faire lire à une petite fille ! Il y a des histoires que l'on ne devrait jamais faire lire à des enfants, ceux-ci sont facilement impressionnables et encore plus s'ils ne vivent pas dans un climat suffisamment rassurant. Cette peur m'a poursuivie durant de nombreuses années.
A l'heure actuelle, je peux dire qu'elle a pratiquement disparu, mais je dois avouer que je n'aime toujours pas dormir dans une salle complètement obscure. Le cadran lumineux de mon réveil, un rai de lumière venant de la fenêtre me suffisent, juste un petit point lumineux, en fait, cela me suffit, cela me rassure...
Et vous, avez-vous peur du noir ?... Avez-vous des souvenirs liés à cette peur ? Si vous voulez raconter, allez-y, j'en serai ravie... :-)
mardi 21 février 2012
vendredi 17 février 2012
Conte : Le pêcheur mexicain
Perdre sa vie pour gagner plus ? ou gagner sa vie sans la perdre ?
J'ai trouvé ce conte dans un livre* que je suis en train de lire, et il m'a bien plu :-)
Au bord de l’eau, dans un petit village mexicain, un bateau rentre au port. Un américain qui est là, complimente le pêcheur mexicain sur la qualité de ses prises et lui demande combien de temps il lui a fallu pour les capturer.
- Pas très longtemps, répond le Mexicain.
- Mais alors, pourquoi n’êtes-vous pas resté en mer plus longtemps pour en attraper plus? demande l’Américain.
Le Mexicain répond que ces quelques poissons suffisent à assurer la subsistance de sa famille.
L’Américain demande alors :
- Mais que faites-vous le reste du temps?
- Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme. Le soir, je vais au village voir mes amis, nous buvons du vin et jouons de la guitare. J’ai une vie bien remplie.
L’Américain l’interrompt :
- J’ai un MBA de l’université de Harvard et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps. Avec les bénéfices dégagés, vous pourriez acheter un plus gros bateau. Avec l’argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un deuxième et ainsi de suite jusqu’à ce que vous possédiez une flotte de chalutiers. Au lieu de vendre votre poisson à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l’usine et même ouvrir votre propre usine. Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico, Los Angeles, puis peut-être New-York d’où vous dirigeriez toutes vos affaires.
Le mexicain demande alors :
- Et combien de temps cela prendrait-il ?
- 10 ou 20 ans, répond l’Américain.
- Et après?
- Après? C’est là que ça devient intéressant, répond l’Américain en riant, quand le moment sera venu, vous pourrez introduire votre société en bourse et vous gagnerez des millions.
- Des millions? Mais après?
- Après?
- ... Vous pourrez prendre votre retraite, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos enfants, pêcher un peu, faire la sieste avec votre femme et passer vos soirées à boire et à jouer de la guitare avec vos amis…
(Auteur inconnu)
*Petit manifeste du rebelle engagé, Fabien Rodhain
mardi 14 février 2012
mercredi 8 février 2012
Quelques mots sur mon père
Cette nuit, j'ai rêvé de mon père. Il revenait d'un long voyage. J'étais heureuse de le revoir. Mais il me disait aussitôt qu'il n'allait pas rester, qu'il allait devoir repartir, qu'il ne fallait pas lui en vouloir, mais qu'il avait besoin de voyager. Mon père était un grand voyageur... dans sa tête. Il était très souvent dans un ailleurs que nous ne connaissions pas, et dont nous ne faisions pas partie.
Mon père est mort à l'âge de 59 ans, alors que j'allais avoir 14 ans. Je n'ai de lui qu'un souvenir d'enfant, d'adolescente. Je ne sais pas ce que notre relation d'adulte à adulte aurait donné. Il m'aurait sûrement aidée à prendre confiance en moi, à grandir plus sereinement, à m'aider dans certains choix, sûrement... ou peut-être pas. Je n'en sais rien.
Mais il m'a inculqué de belles valeurs telles que le respect et la tolérance. Il m'a légué son amour de l'art, de la musique et de la nature, son goût pour la lecture, l'écriture, la rêverie, et il m'a fait don aussi de sa grande sensibilité. Pour tout cela, je lui dis: merci !
Mon père est mort à l'âge de 59 ans, alors que j'allais avoir 14 ans. Je n'ai de lui qu'un souvenir d'enfant, d'adolescente. Je ne sais pas ce que notre relation d'adulte à adulte aurait donné. Il m'aurait sûrement aidée à prendre confiance en moi, à grandir plus sereinement, à m'aider dans certains choix, sûrement... ou peut-être pas. Je n'en sais rien.
Mais il m'a inculqué de belles valeurs telles que le respect et la tolérance. Il m'a légué son amour de l'art, de la musique et de la nature, son goût pour la lecture, l'écriture, la rêverie, et il m'a fait don aussi de sa grande sensibilité. Pour tout cela, je lui dis: merci !
Photo trouvée sur le net
mardi 7 février 2012
Poème et pensée pour un ami
Quelqu'un meurt,
Et c'est comme des pas
Qui s'arrêtent.
Mais si c'était un départ
Pour un nouveau voyage...
Quelqu'un meurt,
Et c'est comme une porte
Qui claque.
Mais si c'était un passage
S'ouvrant sur d'autres paysages...
Quelqu'un meurt,
Et c'est comme un arbre
Qui tombe,
Mais si c'était une graine
Germant dans une terre nouvelle...
Quelqu'un meurt,
Et c'est comme un silence
Qui hurle.
Mais s'il nous aidait à entendre
La fragile musique de la vie...
Benoît Marchon
lundi 6 février 2012
Réflexions matinales
Après une nuit assez agitée, je me suis réveillée ce matin avec ces deux mots en tête: SAGESSE et LUCIDITE.
Ainsi que ces pensées : "On ne peut s'occuper des autres qu'en s'occupant d'abord de soi-même". Et aussi, ce qui revient au même : "Avant de pouvoir aimer les autres, il faut d'abord apprendre à s'aimer soi-même."
Cette nuit, j'ai rêvé que je vivais dans une maison qui n'était pas finie : il n'y avait pas de tapisserie, pas de peinture, les murs étaient bruts, tout bosselés. Mon projet était de déménager, d'aller vivre dans une autre maison. Mais à ce moment-là de mon rêve, je me disais qu'avant de penser à déménager, il serait peut-être bon de finir les travaux de cette maison-ci et alors je pourrais ainsi décider si je désirais toujours déménager ou pas.
Tout un programme !...
Je pense que mon week-end de Reiki n'est pas pour rien dans ces réflexions et rêve...
Belle semaine à vous, et si vous sortez, habillez-vous bien. Chez moi, ce matin, le baromètre affichait - 16° !... brrr... :-)
.
Ainsi que ces pensées : "On ne peut s'occuper des autres qu'en s'occupant d'abord de soi-même". Et aussi, ce qui revient au même : "Avant de pouvoir aimer les autres, il faut d'abord apprendre à s'aimer soi-même."
Cette nuit, j'ai rêvé que je vivais dans une maison qui n'était pas finie : il n'y avait pas de tapisserie, pas de peinture, les murs étaient bruts, tout bosselés. Mon projet était de déménager, d'aller vivre dans une autre maison. Mais à ce moment-là de mon rêve, je me disais qu'avant de penser à déménager, il serait peut-être bon de finir les travaux de cette maison-ci et alors je pourrais ainsi décider si je désirais toujours déménager ou pas.
Tout un programme !...
Je pense que mon week-end de Reiki n'est pas pour rien dans ces réflexions et rêve...
Belle semaine à vous, et si vous sortez, habillez-vous bien. Chez moi, ce matin, le baromètre affichait - 16° !... brrr... :-)
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dimanche 5 février 2012
Second degré de Reiki
Ce week-end, je suis allée passer mon second degré de Reiki. Deux jours très riches, très denses et très forts, émotionnellement parlant, et qui m'ont permis de me recentrer (un peu trop dispersée en ce moment...). Il est vrai que lorsque je reviens d'un tel week-end, je suis rechargée à bloc et j'ai du Reiki plein les mains et la tête. Puis, les jours passant, avec le travail, le quotidien, et tout le reste, cela s'atténue. Mais je suis bien décidée cette fois à ne pas me laisser disperser et à utiliser le plus possible et le mieux possible cet outil précieux qu'est le Reiki, et ceci autant pour moi que pour les personnes qui en auront besoin.
Pour résumer très succinctement, le second degré de Reiki permet, à l'aide de trois symboles de donner des soins à distance, et agit aussi bien sur le plan physique que sur le plan mental.
Le Reiki, la méditation, la pleine conscience, que d'outils et d'atouts pour un bien-être intérieur, à condition de bien les utiliser. C'est ce que je vais essayer de faire...
Pour résumer très succinctement, le second degré de Reiki permet, à l'aide de trois symboles de donner des soins à distance, et agit aussi bien sur le plan physique que sur le plan mental.
Le Reiki, la méditation, la pleine conscience, que d'outils et d'atouts pour un bien-être intérieur, à condition de bien les utiliser. C'est ce que je vais essayer de faire...
mercredi 1 février 2012
Bégé et son monde intérieur
Il y a quelques jours, sur le billet vous parlant de ma rencontre avec mon amie Kat, je vous avais également parlé d'une exposition de peintures que nous étions allées voir sur Lyon. Un certain Bégé exposait ses oeuvres. J'ai envie de vous en parler, car j'ai beaucoup aimé ses tableaux, des tableaux qui ne m'ont pas laissée indifférente, qui m'ont touchée quelque part, et qui reflètent, c'est évident, un monde intérieur très riche. C'est d'ailleurs le nom de son blog : "Le monde intérieur de Bégé". Nous n'avons pas vu l'artiste, c'est dommage, il aurait été intéressant de discuter avec lui. Une autre fois peut-être. En attendant, j'ai noté le lien de son blog. Si vous avez envie de découvrir son monde et ses peintures, c'est ici --> Bégé
Voici l'un de ses tableaux, cela vous donnera déjà une petite idée de ce qu'il fait :
Voici l'un de ses tableaux, cela vous donnera déjà une petite idée de ce qu'il fait :
Peinture de Bégé prise sur son blog avec son autorisation.
Les hasards nécessaires (lecture en cours)
Extraits :
- Les rencontres déterminantes qui jalonnent notre roman personnel ne se font pas qu'avec des gens de chair. Elles se font aussi avec des idées, des symboles qui sont contenus dans la culture. Nous avons tous découvert un livre, une musique ou un film qui a bouleversé notre existence. Ces rencontres surviennent à des moments charnières et leur arrivée peut entrer en résonance avec des problématiques personnelles. Les motifs synchronistiques contenus dans la culture seront examinés selon le sens et les circonstances qui entourent l'arrivée d'oeuvres qui nous bouleversent et qui font écho, parfois mystérieusement, à notre propre vie.
- Le roman de notre vie. Dans un monde qui tente de s'unifier par des réseaux de toutes sortes, notre vie quotidienne est influencée dans ses moindres détails par une foule d'inconnus. De savoir que mon quotidien ne dépend parfois que de l'effet d'un petit papillon dans un ordinateur à Pékin n'est pas sans susciter une certaine crainte dans mon rapport à l'autre et dans mes illusions d'omnipotence. De savoir que les rencontres déterminantes de la vie ne sont parfois qu'une question de détails qui échappent au contrôle de la raison et qu'ainsi, certaines personnes peuvent bouleverser totalement mon existence est tout aussi déstabilisant.
Mais accepter le chaos, accepter d'être déstabilisé, est peut-être la voie à suivre pour atteindre de nouveaux horizons. Le petit papillon insaisissable de Psyché, ce souffle que les Grecs associaient si justement à l'âme, transporte peut-être ce vent de changement qui pourra se répercuter jusqu'aux contrées lointaines et mystérieuses de ce pays si fascinant qu'est la rencontre avec l'autre.
Jean-François Vézina
dimanche 29 janvier 2012
Causerie sur le théâtre
Ces trois derniers week-end, j'ai revêtu le rôle de guichetière. Je vous explique : Dans le petit village où je vis, toutes les années, à la même époque (en janvier), se produit une troupe de théâtre. Cette troupe existe depuis plusieurs décennies. Elle a toujours eu beaucoup de succès, si bien qu'il y a maintenant six représentations, trois week-end de suite: le samedi soir et le dimanche après-midi. Et de plus, depuis quelques années, elle joue à guichet fermé. Fait exceptionnel tout de même quand on sait que ce petit village ne compte que 3400 habitants environ, et que la salle peut contenir 250 personnes. 250 x 6 = 1500 spectateurs. C'est pas mal, non ? Il faut dire que les spectateurs ne sont pas tous du coin et viennent parfois de loin. Il y a les fidèles aussi, qui viennent chaque année.
En tant que conjointe d'un des membres de la troupe, je revêts le costume de guichetière deux fois dans le week-end (et ceci depuis plusieurs années). Mon travail consiste à donner les billets aux personnes qui les ont réservés par téléphone à l'OT, et d'en vendre sur place s'ils en restent, ou s'il y a eu des désistements. Je vois passer devant moi beaucoup de personnes, 1500 donc environ. Je me suis amusée à les observer, gentiment. Certains me regardent, répondent à mon bonjour et à mon sourire, plaisantent, rient. D'autres me répondent en souriant eux aussi. D'autres, plus timides, baissent les yeux et me répondent timidement, du bout des lèvres. D'autres encore, passent devant moi, comme si je n'existais pas, sans me regarder, sans dire un mot. Là, c'est très vexant, je trouve, pour moi qui pendant longtemps ai souffert d'avoir l'impression de ne pas exister, en plus ! :-)
Cet après-midi, c'était donc la dernière représentation. Ce soir, je rejoindrai la troupe au restaurant pour clore la saison et fêter encore cette année le succès de la pièce. Ce succès est une belle récompense, car les acteurs répètent assidûment de début octobre à mi décembre, et ceci, trois soirs par semaine. Ils sont dirigés par un metteur en scène qui ne leur laisse rien passer... Il s'agit de mon mari... (sourire).
Il m'est arrivé, il y a une quinzaine d'années environ, de jouer. En effet, il manquait une femme pour jouer un petit rôle, et on m'a demandé si je voulais bien le jouer. J'ai hésité, car j'étais très timide (je le suis encore, mais beaucoup moins), mais c'était pour moi, l'occasion de faire l'expérience de monter sur scène. Et puis, en fait, il s'agissait de jouer le rôle d'une petite bonne soeur (soeur Paula) sourde et muette. Mon rôle allait donc être vite appris, et même pas besoin de parler ! (sourire). Quoique je devais tout de même parler le langage des signes, et j'ai donc regardé plusieurs émissions à la télé pour apprendre quelques signes qui signifieraient quelque chose. Je restais dix minutes environ sur scène. Je dois dire que cela me suffisait, il fait une chaleur incroyable, sous les spots ! Et puis, je dois dire que je ne suis pas vraiment à l'aise sur une scène. Tous ces yeux braqués sur vous, qui vous regardent, qui vous étudient, qui vous dévisagent. Je suis trop timide pour cela. Pourtant on dit que le théâtre est très bon pour les personnes timides, j'aurais peut-être dû persévérer. Mais je fais tellement d'autres choses, je ne peux pas tout faire, chacun son truc après tout... Je le laisse pour les passionnés. Moi, j'ai d'autres passions.
Voilà, j'avais envie de causer un peu cet après-midi. C'est vous qui aurez eu droit à mon bavardage (sourire). Belle fin de dimanche à vous.
En tant que conjointe d'un des membres de la troupe, je revêts le costume de guichetière deux fois dans le week-end (et ceci depuis plusieurs années). Mon travail consiste à donner les billets aux personnes qui les ont réservés par téléphone à l'OT, et d'en vendre sur place s'ils en restent, ou s'il y a eu des désistements. Je vois passer devant moi beaucoup de personnes, 1500 donc environ. Je me suis amusée à les observer, gentiment. Certains me regardent, répondent à mon bonjour et à mon sourire, plaisantent, rient. D'autres me répondent en souriant eux aussi. D'autres, plus timides, baissent les yeux et me répondent timidement, du bout des lèvres. D'autres encore, passent devant moi, comme si je n'existais pas, sans me regarder, sans dire un mot. Là, c'est très vexant, je trouve, pour moi qui pendant longtemps ai souffert d'avoir l'impression de ne pas exister, en plus ! :-)
Cet après-midi, c'était donc la dernière représentation. Ce soir, je rejoindrai la troupe au restaurant pour clore la saison et fêter encore cette année le succès de la pièce. Ce succès est une belle récompense, car les acteurs répètent assidûment de début octobre à mi décembre, et ceci, trois soirs par semaine. Ils sont dirigés par un metteur en scène qui ne leur laisse rien passer... Il s'agit de mon mari... (sourire).
Il m'est arrivé, il y a une quinzaine d'années environ, de jouer. En effet, il manquait une femme pour jouer un petit rôle, et on m'a demandé si je voulais bien le jouer. J'ai hésité, car j'étais très timide (je le suis encore, mais beaucoup moins), mais c'était pour moi, l'occasion de faire l'expérience de monter sur scène. Et puis, en fait, il s'agissait de jouer le rôle d'une petite bonne soeur (soeur Paula) sourde et muette. Mon rôle allait donc être vite appris, et même pas besoin de parler ! (sourire). Quoique je devais tout de même parler le langage des signes, et j'ai donc regardé plusieurs émissions à la télé pour apprendre quelques signes qui signifieraient quelque chose. Je restais dix minutes environ sur scène. Je dois dire que cela me suffisait, il fait une chaleur incroyable, sous les spots ! Et puis, je dois dire que je ne suis pas vraiment à l'aise sur une scène. Tous ces yeux braqués sur vous, qui vous regardent, qui vous étudient, qui vous dévisagent. Je suis trop timide pour cela. Pourtant on dit que le théâtre est très bon pour les personnes timides, j'aurais peut-être dû persévérer. Mais je fais tellement d'autres choses, je ne peux pas tout faire, chacun son truc après tout... Je le laisse pour les passionnés. Moi, j'ai d'autres passions.
Voilà, j'avais envie de causer un peu cet après-midi. C'est vous qui aurez eu droit à mon bavardage (sourire). Belle fin de dimanche à vous.
samedi 28 janvier 2012
vendredi 27 janvier 2012
Ti-Gabriel a 1 an aujourd'hui !
Aujourd'hui, c'est l'anniversaire d'un petit bonhomme très fort.
Gabriel a 1 an ! Gabriel est le petit-fils de mon amie Marie.
Il est né prématurément le 27 janvier 2011 : 35 cm et 1 kg 400. Mais il s'est battu comme un chef, et maintenant, il va bien, il pousse sans problèmes et il est adorable.
Ce billet pour partager avec Marie ce jour de tendresse et de bonheur.
Gabriel a 1 an ! Gabriel est le petit-fils de mon amie Marie.
Il est né prématurément le 27 janvier 2011 : 35 cm et 1 kg 400. Mais il s'est battu comme un chef, et maintenant, il va bien, il pousse sans problèmes et il est adorable.
Ce billet pour partager avec Marie ce jour de tendresse et de bonheur.
Ti-Gabriel, je te souhaite un
jeudi 26 janvier 2012
Il y a de la place et surtout de l'amour pour tout le monde
Un billet pour deux sujets, mais deux sujets qui se rejoignent, à mon avis.
- Nous avons des amis ayant des personnalités, des caractères, des goûts très différents, et qui ne s'entendent pas entre eux. Pourtant, et malgré cela, nous entretenons avec eux de très bonnes relations, évidemment puisque ce sont nos amis. Ils ne se font pas d'ombre les uns aux autres, puisqu'ils sont différents, et avec chacun, nous avons une relation bien particulière, nous nous apportons quelque chose de bien différent. Nous n'avons pas les mêmes discussions, les mêmes envies, les mêmes sorties. Pourquoi alors parfois se crée un sentiment de jalousie entre eux ? Il y a de la place pour tout le monde ! L'amitié que nous avons pour les uns n'efface pas l'amitié que nous avons pour les autres. Cela me semble évident, non ?...
- Cela me fait penser à une émission que j'avais vue à la télé il y a déjà longtemps. Il s'agissait d'expliquer aux enfants que, malgré la venue du deuxième, le premier n'avait pas à craindre de ne plus être aimé, qu'il y avait suffisamment d'amour de la part des parents pour tous les deux. Et la personne expliquait alors à l'enfant ceci en prenant une feuille de papier sur laquelle était dessiné un coeur. Il lui disait : "Tu vois, l'amour que te portent tes parents ne sera pas divisé par deux, non ! Je ne déchire pas la feuille en deux, je ne partage pas le coeur en deux. Regarde (il prenait alors une autre feuille similaire à la première), en voici une deuxième avec un coeur. Toi et ton petit frère aurez chacun votre coeur, vous aurez la même quantité d'amour tous les deux, un amour unique à chacun, et cet amour ne sera jamais divisé par deux". J'avais trouvé cette façon d'expliquer et de rassurer l'enfant très judicieuse et intelligente.
- Nous avons des amis ayant des personnalités, des caractères, des goûts très différents, et qui ne s'entendent pas entre eux. Pourtant, et malgré cela, nous entretenons avec eux de très bonnes relations, évidemment puisque ce sont nos amis. Ils ne se font pas d'ombre les uns aux autres, puisqu'ils sont différents, et avec chacun, nous avons une relation bien particulière, nous nous apportons quelque chose de bien différent. Nous n'avons pas les mêmes discussions, les mêmes envies, les mêmes sorties. Pourquoi alors parfois se crée un sentiment de jalousie entre eux ? Il y a de la place pour tout le monde ! L'amitié que nous avons pour les uns n'efface pas l'amitié que nous avons pour les autres. Cela me semble évident, non ?...
- Cela me fait penser à une émission que j'avais vue à la télé il y a déjà longtemps. Il s'agissait d'expliquer aux enfants que, malgré la venue du deuxième, le premier n'avait pas à craindre de ne plus être aimé, qu'il y avait suffisamment d'amour de la part des parents pour tous les deux. Et la personne expliquait alors à l'enfant ceci en prenant une feuille de papier sur laquelle était dessiné un coeur. Il lui disait : "Tu vois, l'amour que te portent tes parents ne sera pas divisé par deux, non ! Je ne déchire pas la feuille en deux, je ne partage pas le coeur en deux. Regarde (il prenait alors une autre feuille similaire à la première), en voici une deuxième avec un coeur. Toi et ton petit frère aurez chacun votre coeur, vous aurez la même quantité d'amour tous les deux, un amour unique à chacun, et cet amour ne sera jamais divisé par deux". J'avais trouvé cette façon d'expliquer et de rassurer l'enfant très judicieuse et intelligente.
mardi 24 janvier 2012
Si on le désire vraiment, on trouve une solution !
Nous nous créons parfois des barrières tous seuls, et nous nous privons ainsi de choses qui pourtant nous plairaient de faire.
Un exemple :
Bon, vous saurez tout, je n'aime pas rouler sur les autoroutes, surtout les grandes autoroutes, à trois ou quatre voies, notamment celle du midi, où il y a un trafic intense. Toutes ces voitures me donnent le tournis, je ne suis pas tranquille et je stresse. Je les prends parfois bien sûr, mais je n'aime pas, surtout si je suis seule à conduire. Et à cause de cela, je préfère parfois me priver de certaines sorties. L'angoisse domine mon envie de sortir. C'est le comble !
Mais pourtant, il y a toujours une solution à chaque problème si l'on réfléchit bien, et c'est ce que j'ai fait dernièrement pour retrouver mon amie. J'ai tout simplement emprunté d'autres routes, des routes plus tranquilles, des nationales, des départementales. Evidemment, le trajet était plus long, mais au lieu d'attendre, de repousser, et surtout, de ne pas faire ! qu'est-ce que 30 mns de trajet en plus, par rapport au fait de ne pas réaliser cette envie ?... Ce n'est rien, absolument rien ! Surtout que, alors que je n'aime pas emprunter les autoroutes, je ferais des kms et des kms sur les autres routes, cela ne me dérange pas, au contraire, j'aime. :-)
Conclusion : Lorsqu'on désire vraiment faire quelque chose, en cherchant bien, on trouve toujours une solution, on se débrouille. Et on ne le regrette pas ! Si on ne trouve pas de solution, c'est que l'on n'est pas assez motivé, sans doute. C'est mon avis. :-)
Un exemple :
Bon, vous saurez tout, je n'aime pas rouler sur les autoroutes, surtout les grandes autoroutes, à trois ou quatre voies, notamment celle du midi, où il y a un trafic intense. Toutes ces voitures me donnent le tournis, je ne suis pas tranquille et je stresse. Je les prends parfois bien sûr, mais je n'aime pas, surtout si je suis seule à conduire. Et à cause de cela, je préfère parfois me priver de certaines sorties. L'angoisse domine mon envie de sortir. C'est le comble !
Mais pourtant, il y a toujours une solution à chaque problème si l'on réfléchit bien, et c'est ce que j'ai fait dernièrement pour retrouver mon amie. J'ai tout simplement emprunté d'autres routes, des routes plus tranquilles, des nationales, des départementales. Evidemment, le trajet était plus long, mais au lieu d'attendre, de repousser, et surtout, de ne pas faire ! qu'est-ce que 30 mns de trajet en plus, par rapport au fait de ne pas réaliser cette envie ?... Ce n'est rien, absolument rien ! Surtout que, alors que je n'aime pas emprunter les autoroutes, je ferais des kms et des kms sur les autres routes, cela ne me dérange pas, au contraire, j'aime. :-)
Conclusion : Lorsqu'on désire vraiment faire quelque chose, en cherchant bien, on trouve toujours une solution, on se débrouille. Et on ne le regrette pas ! Si on ne trouve pas de solution, c'est que l'on n'est pas assez motivé, sans doute. C'est mon avis. :-)
lundi 23 janvier 2012
Mes mots pour en parler
Grâce à un petit logiciel trouvé chez Psyblog, qui lui-même l'a trouvé chez Christophe André, voici les mots que j'utilise le plus sur ce blog.
Il me semble bien, à moins que j'ai une très mauvaise vue (sourire), qu'il s'agisse du mot "ELLES"... puis du mot : ECHANGES, mais aussi du mot ERREURS... + tous les autres que je vous laisse lire (cliquez dessus, vous verrez mieux...).
C'est amusant et simple à faire. Si cela vous intéresse, voici le lien : ici )
Il me semble bien, à moins que j'ai une très mauvaise vue (sourire), qu'il s'agisse du mot "ELLES"... puis du mot : ECHANGES, mais aussi du mot ERREURS... + tous les autres que je vous laisse lire (cliquez dessus, vous verrez mieux...).
C'est amusant et simple à faire. Si cela vous intéresse, voici le lien : ici )
samedi 21 janvier 2012
Aujourd'hui, une bien belle rencontre
Aujourd'hui, j'ai rencontré, pour de vrai, une amie blogueuse. Nous nous sommes croisées pour la première fois en septembre 2008, et peu à peu, de nombreux points communs et de nombreux liens nous ont rapprochées, la même sensibilité aussi. Depuis pas mal de temps, nous voulions nous rencontrer ! C'est tellement bien de mettre un peu de réalité dans les échanges virtuels. Eh bien voilà, c'est fait ! Nous avons passé la journée ensemble. Mon amie est exactement comme elle se montre à travers ses écrits et aussi nos échanges téléphoniques. Elle est... elle ! c'est-à-dire une bien belle personne, souriante, généreuse, aimant parler, sachant écouter, aimant rire. C'était comme si nous nous connaissions depuis toujours, la complicité créée par nos précédents échanges s'est retrouvée dès les premiers instants. Ce fut une belle journée, riche en paroles, en échanges et aussi... en fous-rire !... :-)
Nous sommes allées voir une exposition de peintures d'un certain Bégé, dont je vous parlerai plus tard, car j'ai vraiment beaucoup aimé ses oeuvres.
Merci à toi, ma belle et douce Amie Kat. A refaire, sans hésiter ! hein ?... :-)
Nous sommes allées voir une exposition de peintures d'un certain Bégé, dont je vous parlerai plus tard, car j'ai vraiment beaucoup aimé ses oeuvres.
Merci à toi, ma belle et douce Amie Kat. A refaire, sans hésiter ! hein ?... :-)
mercredi 18 janvier 2012
Chauve-souris en rêve
L'une de ces dernières nuits, j'ai rêvé de chauve-souris. En fait, elles étaient deux et très grosses, de la taille d'un chat, et recouvertes d'une douce fourrure marron. Au départ, c'est moi qui allais vers elles, qui allais les chercher, je ne sais plus pour quelle raison. Elles étaient tout d'abord un peu effrayées, puis je les apprivoisais, et finalement elles s'agrippaient et restaient sur mon épaule durant le trajet pour rentrer chez moi. Mais une fois arrivée, je ne voulais pas qu'elles rentrent dans la maison, et pourtant elles ne désiraient que cela. Il y avait un gros jour sous la porte d'entrée, et en grattant, elles arrivaient à se faufiler. J'étais obligée de tout calfeutrer pour qu'elles n'arrivent pas à rentrer. Il ne fallait surtout pas qu'elles rentrent !
Je sais vraiment ce que je veux, moi ! même dans mes rêves ! Je les attire et plus ensuite je les repousse ! Je suis toujours la reine dans le domaine de la contradiction !... :-)
Je sais vraiment ce que je veux, moi ! même dans mes rêves ! Je les attire et plus ensuite je les repousse ! Je suis toujours la reine dans le domaine de la contradiction !... :-)
mardi 17 janvier 2012
Je fais des erreurs
Moi qui fais de la pleine conscience (du moins, qui essaie, car ce n'est pas toujours évident...), je me rends compte (ou on me le fait remarquer gentiment :-)), qu'en ce moment, dans les billets que je dépose, je fais souvent des erreurs lorsque j'écris. Par exemple, j'écris un mot pour un autre, ou je rajoute un mot, une lettre, ou autre chose. Et je me rends compte que cela m'inquiète un peu. Bon, ce qui me rassure, d'un côté, c'est que dans mon travail, je ne fais pas d'erreurs (ouf !).
Ces erreurs peuvent provenir de la fatigue, peut-être. Mais d'autre part, ne dit-on pas que les mots expliquent les maux ? Ces mots, ou du moins ces erreurs que je fais dans les mots, ne seraient-elles pas un signal, une alerte ! Elles ont peut-être un sens ? Que signifient-elles ? Peut-être qu'il faut que je fasse une pause, que je me pose, et que j'arrête de vouloir tout faire, qu'il faut que je fasse des choix ? A moi en tous cas d'y trouver la signification, si je le peux... :-)
Ces erreurs peuvent provenir de la fatigue, peut-être. Mais d'autre part, ne dit-on pas que les mots expliquent les maux ? Ces mots, ou du moins ces erreurs que je fais dans les mots, ne seraient-elles pas un signal, une alerte ! Elles ont peut-être un sens ? Que signifient-elles ? Peut-être qu'il faut que je fasse une pause, que je me pose, et que j'arrête de vouloir tout faire, qu'il faut que je fasse des choix ? A moi en tous cas d'y trouver la signification, si je le peux... :-)
lundi 16 janvier 2012
Les blessures de l'enfance
Malgré les années qui passent, malgré un travail sur soi, malgré tout l'amour que l'on peut nous donner, pouvons-nous vraiment un jour arriver à nous débarrasser des blessures de notre enfance ?...
Ou bien alors sommes-nous condamnés à ce qu'elles nous accompagnent (je ne sais pas si le terme est vraiment adéquat) toute notre vie, à ce qu'elles conditionnent notre façon d'être, de vivre, de réagir, et à ce qu'elles empoisonnent même carrément parfois notre existence ?
Ou bien alors sommes-nous condamnés à ce qu'elles nous accompagnent (je ne sais pas si le terme est vraiment adéquat) toute notre vie, à ce qu'elles conditionnent notre façon d'être, de vivre, de réagir, et à ce qu'elles empoisonnent même carrément parfois notre existence ?
vendredi 13 janvier 2012
lundi 9 janvier 2012
Les signes, moi j'y crois !
Hier, nous étions le 8 janvier 2012. Mon frère aurait fêté ses 60 ans.
A cette occasion, nous avions décidé de prendre le repas du soir ensemble, ses deux soeurs, sa femme et ses deux beaux-frères, repas arrosé comme il se doit d'un bon vin sorti de la cave de mon frère (il était un fin connaisseur des meilleurs crus). J'avais allumé une petite bougie dont la flamme allait danser pour lui en cette soirée spéciale.
Je vais vous raconter juste un détail de cette soirée, un signe comme quoi Jean était avec nous hier soir. Vous savez que je crois en les signes, donc cela ne vous étonnera pas. :-)
Après le repas, nous avons joué tous les cinq au jeu de cartes "Le 6 qui prend". Mon frère aimait beaucoup jouer, et nous lui avions appris ce jeu juste quelques semaines avant qu'il ne nous quitte. Tout le long du jeu, ma soeur et son ami, mon mari et moi, étions à peu près tous regroupés au niveau points, alors que ma belle-soeur était toujours un peu en retrait par rapport à nous. Et finalement, c'est elle qui a gagné. Elle a alors annoncé son score : 60 points ! j'ai été la première à réagir : 60 !!! Eh bien, oui, 60 !!! Logique, puisque Jean aurait eu 60 ans hier ! Et de plus, en regardant la grille de points (sur 7 lignes), il y avait comme chiffres le 8 et le 1. Mon frère est né un 8/01 ! Etonnant, non ? Je pense que Jean n'était pas bien loin, hier soir, ce n'était pas que des coïncidences. En tous cas, moi j'y crois ! :-)
A cette occasion, nous avions décidé de prendre le repas du soir ensemble, ses deux soeurs, sa femme et ses deux beaux-frères, repas arrosé comme il se doit d'un bon vin sorti de la cave de mon frère (il était un fin connaisseur des meilleurs crus). J'avais allumé une petite bougie dont la flamme allait danser pour lui en cette soirée spéciale.
Je vais vous raconter juste un détail de cette soirée, un signe comme quoi Jean était avec nous hier soir. Vous savez que je crois en les signes, donc cela ne vous étonnera pas. :-)
Après le repas, nous avons joué tous les cinq au jeu de cartes "Le 6 qui prend". Mon frère aimait beaucoup jouer, et nous lui avions appris ce jeu juste quelques semaines avant qu'il ne nous quitte. Tout le long du jeu, ma soeur et son ami, mon mari et moi, étions à peu près tous regroupés au niveau points, alors que ma belle-soeur était toujours un peu en retrait par rapport à nous. Et finalement, c'est elle qui a gagné. Elle a alors annoncé son score : 60 points ! j'ai été la première à réagir : 60 !!! Eh bien, oui, 60 !!! Logique, puisque Jean aurait eu 60 ans hier ! Et de plus, en regardant la grille de points (sur 7 lignes), il y avait comme chiffres le 8 et le 1. Mon frère est né un 8/01 ! Etonnant, non ? Je pense que Jean n'était pas bien loin, hier soir, ce n'était pas que des coïncidences. En tous cas, moi j'y crois ! :-)
vendredi 6 janvier 2012
L'authenticité
Savoir rester soi, même si l'on est parfois tenté de vouloir endosser la peau d'un autre personnage, de vouloir jouer un rôle. L'authenticité est le plus beau des costumes.
mardi 3 janvier 2012
Entre les deux mon coeur balance
Lorsque j'étais gamine, à l'école, lors de la récréation, je me rappelle d'une ronde que la maîtresse nous faisait faire, une ronde que je n'aimais pas ! Au centre, se trouvait une fille (ou un garçon) qui choisissait dans la danse deux autres enfants. Elle (ou il) les prenait par la main et commençait à chanter :
Entre les deux mon coeur balance,
Je ne sais pas laquelle (lequel) aimer des deux.
Puis elle (ou il) embrassait l'un des deux enfants qui étaient au centre avec elle (ou il) et chantait :
C'est à Corinne (ou Léo) ma préférence
Et à Zoé (Mathieu) les cent coups de bâton.
Et puis elle (ou il) repoussait l'autre dédaigneusement, et tous les enfants chantaient :
Ah Zoé (Mathieu) ! Ah Zoé (Mathieu) !
Si tu crois que je t'aime,
Mon p'tit coeur n'est pas fait pour toi,
Il est fait pour celle (celui) que j'aime
Et pas pour celle (celui) que je n'aime pas
Je n'aimais pas cette ronde. Pourquoi ? parce que j'avais très peur de ne pas être la "préférée", j'avais très peur d'être celle qui allait être repoussée, bref j'avais très peur d'être celle qui allait ne pas être aimée ! et pour la petite fille timide que j'étais et doutant de sa capacité d'être aimée, c'était terrible !... Je redoutais cette ronde. Maintenant, j'en souris... :-)
La connaissez-vous ? Si oui, quels en sont vos souvenirs à vous ?... :-)
Entre les deux mon coeur balance,
Je ne sais pas laquelle (lequel) aimer des deux.
Puis elle (ou il) embrassait l'un des deux enfants qui étaient au centre avec elle (ou il) et chantait :
C'est à Corinne (ou Léo) ma préférence
Et à Zoé (Mathieu) les cent coups de bâton.
Et puis elle (ou il) repoussait l'autre dédaigneusement, et tous les enfants chantaient :
Ah Zoé (Mathieu) ! Ah Zoé (Mathieu) !
Si tu crois que je t'aime,
Mon p'tit coeur n'est pas fait pour toi,
Il est fait pour celle (celui) que j'aime
Et pas pour celle (celui) que je n'aime pas
Je n'aimais pas cette ronde. Pourquoi ? parce que j'avais très peur de ne pas être la "préférée", j'avais très peur d'être celle qui allait être repoussée, bref j'avais très peur d'être celle qui allait ne pas être aimée ! et pour la petite fille timide que j'étais et doutant de sa capacité d'être aimée, c'était terrible !... Je redoutais cette ronde. Maintenant, j'en souris... :-)
La connaissez-vous ? Si oui, quels en sont vos souvenirs à vous ?... :-)
dimanche 1 janvier 2012
Bonne année 2012
J'aurais voulu écrire quelque chose d'original pour vous souhaiter une bonne année 2012, mais je ne trouve pas... Alors je vous souhaite simplement, mais du plus profond de mon coeur, une année douce et bienveillante. Qu'elle prenne soin de vous et des personnes que vous aimez.
Photo faite par Alain M. à Montarcher. Je la trouve très belle. Merci Alain. :-)
mercredi 21 décembre 2011
Joyeux Noël et bonnes Fêtes de fin d'année
Mon blog se met en vacances pendant une dizaine de jours.
Je vous souhaite un très joyeux Noël, des bonnes fêtes de fin d'année, de doux et tendres moments avec les personnes que vous aimez et je vous dis à l'année prochaine ! Bises à vous toutes et tous.
- Je vous laisse en compagnie de Graeme Allwright qui interprète "Petit garçon", une jolie chanson de Noël.
Je vous souhaite un très joyeux Noël, des bonnes fêtes de fin d'année, de doux et tendres moments avec les personnes que vous aimez et je vous dis à l'année prochaine ! Bises à vous toutes et tous.
- Je vous laisse en compagnie de Graeme Allwright qui interprète "Petit garçon", une jolie chanson de Noël.
lundi 19 décembre 2011
La Diva aux pieds nus nous a quittés
Cesaria Evora nous a quittés samedi dernier, 17 décembre.
J'avais eu le plaisir d'aller à l'un de ses concerts il y a déjà quelques années. Je la découvrais alors. Une femme et une voix inoubliables.
Adieu Cesaria...
Si vous ne la connaissiez pas, vous pouvez cliquer sur ce lien pour la découvrir --> Cesaria Evora
J'avais eu le plaisir d'aller à l'un de ses concerts il y a déjà quelques années. Je la découvrais alors. Une femme et une voix inoubliables.
Adieu Cesaria...
Si vous ne la connaissiez pas, vous pouvez cliquer sur ce lien pour la découvrir --> Cesaria Evora
mardi 13 décembre 2011
Instant magique...
Il est 8 h. Je ne vais pas tarder à commencer ma journée de travail. J'ouvre les volets. Et alors !... des couleurs merveilleuses s'offrent à moi ! Le soleil n'est pas encore levé, mais il se prépare. Là-bas, au loin, le ciel est rouge écarlate. Plus en avant, il est bleu clair, avec des nuages légèrement cotonneux d'une couleur rose et parme. Sur la gauche, un énorme nuage s'étale, un nuage bleu sombre, bleu marine. C'est absolument magnifique ! Je suis émue tellement le spectacle est beau, je n'arrive pas à détacher mes yeux de ce cadeau que m'offre le ciel.
8h 15. Les couleurs ont changé. Le rouge a disparu. Restent le bleu ciel et ce gros nuage bleu marine qui s'éloigne et qui s'éclaircit petit à petit.
Instant bref mais que j'ai pu saisir et savourer. Merci la nature !
En temps ordinaire, je serais allée chercher mon appareil photo pour fixer ce lever de soleil. Mais ce matin, j'ai juste eu envie de le regarder et d'être présente uniquement à cet instant.
Je vous souhaite une bonne journée, aux couleurs aussi belles que le furent celles de ce lever de soleil.
8h 15. Les couleurs ont changé. Le rouge a disparu. Restent le bleu ciel et ce gros nuage bleu marine qui s'éloigne et qui s'éclaircit petit à petit.
Instant bref mais que j'ai pu saisir et savourer. Merci la nature !
En temps ordinaire, je serais allée chercher mon appareil photo pour fixer ce lever de soleil. Mais ce matin, j'ai juste eu envie de le regarder et d'être présente uniquement à cet instant.
Je vous souhaite une bonne journée, aux couleurs aussi belles que le furent celles de ce lever de soleil.
Photo prise sur internet.
vendredi 9 décembre 2011
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