Antony Hegarty... Un chanteur que j'ai découvert sur un blog ami il y a un an. A l'époque, j'avais mis l'une de ses chansons sur mon blog "Un coeur qui bat" : "You are my sister", chanson qui m'avait tant émue (et qui me touche encore tellement). J'ai envie de la remettre ici ce soir pour la partager avec vous à nouveau, ou peut-être vous la faire découvrir.
Les paroles --> ici
lundi 28 février 2011
mercredi 23 février 2011
Empruntons les chemins fleuris
Il est indispensable de lâcher prise sur certaines choses, ceci afin de donner la possibilité à d'autres de voir le jour. Si l'on reste focalisé sur quelque chose de précis, ou en attente d'un événement précis, on risque de passer carrément à côté de situations, de personnes, qu'il serait dommage de négliger.
On ne veut pas lâcher prise, parfois, par peur de perdre ce que l'on possède, ou croit posséder, car bien souvent tout n'est qu'illusoire.
Il faut lâcher prise et ouvrir grands les bras à ce qui s'offre à nous, même si ce n'est pas ce que l'on pensait, au départ.
Il ne faut pas s'obstiner à vouloir emprunter certains chemins. A un moment donné, il faut cesser. Si leur accès est si difficile, c'est qu'il y a une raison, c'est qu'ils ne sont pas faits pour nous. Il faut s'en persuader. Empruntons plutôt ceux qui sont accessibles, empruntons les chemins fleuris et non les chemins sombres. Je suis sûre qu'ils nous conduiront vers de plus beaux paysages. La vie nous réserve de jolies surprises, parfois. Faisons lui confiance.
On ne veut pas lâcher prise, parfois, par peur de perdre ce que l'on possède, ou croit posséder, car bien souvent tout n'est qu'illusoire.
Il faut lâcher prise et ouvrir grands les bras à ce qui s'offre à nous, même si ce n'est pas ce que l'on pensait, au départ.
Il ne faut pas s'obstiner à vouloir emprunter certains chemins. A un moment donné, il faut cesser. Si leur accès est si difficile, c'est qu'il y a une raison, c'est qu'ils ne sont pas faits pour nous. Il faut s'en persuader. Empruntons plutôt ceux qui sont accessibles, empruntons les chemins fleuris et non les chemins sombres. Je suis sûre qu'ils nous conduiront vers de plus beaux paysages. La vie nous réserve de jolies surprises, parfois. Faisons lui confiance.
Photo trouvée sur le net.
jeudi 17 février 2011
Grand-mère d'un quatrième petit gars !
Et voilà une bonne occasion de retrouver le chemin des mots !
Me voilà à nouveau grand-mère pour la quatrième fois depuis cet après-midi.
Mon quatrième petit-fils est né, un peu en avance, il est vrai (deux semaines).
Après Estévann, né le 31 décembre 2010, c'est au tour de Ruben de voir le jour.
Samedi, j'irai me présenter à lui et nous ferons connaissance. Je ferai des bisous tout doux sur ses petites menottes et ses petites joues... J'en suis déjà toute émue... (sourire)
Me voilà à nouveau grand-mère pour la quatrième fois depuis cet après-midi.
Mon quatrième petit-fils est né, un peu en avance, il est vrai (deux semaines).
Après Estévann, né le 31 décembre 2010, c'est au tour de Ruben de voir le jour.
Samedi, j'irai me présenter à lui et nous ferons connaissance. Je ferai des bisous tout doux sur ses petites menottes et ses petites joues... J'en suis déjà toute émue... (sourire)
Petite menotte de Ruben...
mardi 15 février 2011
Musicamor - Daphné
Toujours pas de mots. Envie de musique en ce moment.
Alors une autre découverte ce soir, via Télérama : Daphné qui chante Musicamor
J'aime beaucoup ! Et vous ?... :-)
Alors une autre découverte ce soir, via Télérama : Daphné qui chante Musicamor
J'aime beaucoup ! Et vous ?... :-)
jeudi 10 février 2011
Panne de mots
Déposer sur ses blogs, des citations, des textes, des mots, des chansons, empruntés à des auteurs, des chanteurs, est une façon de dire, de chanter, d'avouer, de crier, de pleurer, tout ce que l'on n'est pas capable de dire, tout ce dont on ne s'autorise pas à dire, tout ce que l'on voudrait pourtant dire...
Sur ce blog-ci, j'essaie le plus possible de déposer mes mots à moi, mais parfois, ils me manquent, ils me fuient, ils n'ont aucun intérêt, ou bien ils ne veulent pas s'exposer, se livrer. C'est le cas ces jours. Je ne peux pas les forcer, je ne peux que les attendre... Ou bien, c'est le contraire, ce sont eux qui ne peuvent que m'attendre...
Sur ce blog-ci, j'essaie le plus possible de déposer mes mots à moi, mais parfois, ils me manquent, ils me fuient, ils n'ont aucun intérêt, ou bien ils ne veulent pas s'exposer, se livrer. C'est le cas ces jours. Je ne peux pas les forcer, je ne peux que les attendre... Ou bien, c'est le contraire, ce sont eux qui ne peuvent que m'attendre...
lundi 7 février 2011
Andrée Chedid
Andrée Chedid nous a quittés dimanche soir.
J'aimais ses mots...
Nous avons beau - comme l'arbre qui est né sage - soupçonner les grimaces du destin, nous n'avons pas encore appris à sourire des simples blessures du coeur.
L'orage nous terrasse, entame la chair même du bonheur.
Mais, l'eau nouvelle est l'invention des matins.
Andrée Chedid (Terre et Poésie)
J'aimais ses mots...
Nous avons beau - comme l'arbre qui est né sage - soupçonner les grimaces du destin, nous n'avons pas encore appris à sourire des simples blessures du coeur.
L'orage nous terrasse, entame la chair même du bonheur.
Mais, l'eau nouvelle est l'invention des matins.
Andrée Chedid (Terre et Poésie)
mardi 1 février 2011
Nous ne pouvons pas forcer...
Nous ne pouvons pas forcer les autres à nous écouter,
même si nous avons plein de choses à leur dire.
Nous ne pouvons pas forcer les autres à nous parler,
même si nous avons très envie de les entendre.
Nous ne pouvons pas forcer les autres à nous écrire,
même si nous avons très envie de les lire.
Nous ne pouvons pas forcer les autres à nous aimer,
même si nous, nous les aimons.
Nous ne pouvons pas forcer...
même si nous avons plein de choses à leur dire.
Nous ne pouvons pas forcer les autres à nous parler,
même si nous avons très envie de les entendre.
Nous ne pouvons pas forcer les autres à nous écrire,
même si nous avons très envie de les lire.
Nous ne pouvons pas forcer les autres à nous aimer,
même si nous, nous les aimons.
Nous ne pouvons pas forcer...
vendredi 28 janvier 2011
L'intuition et les ressentis
J'ai très peu écrit cette semaine, par manque de temps, et peut-être aussi par manque d'inspiration...
Alors juste cette réflexion que j'ai en tête à l'instant :
Pourquoi vouloir absolument donner une explication à tout ?
Pourquoi se poser des questions sur des choses que l'on ressent si naturellement et si fortement ? Il faut au contraire accepter ce que l'on ressent, plutôt que de lutter contre.
Oui, je pense qu'il est important d'écouter et de se laisser guider par son intuition, par ses ressentis, plutôt que de vouloir toujours chercher une raison à tout et se demander si ce que l'on fait ou entreprend sera bien perçu et bien compris. L'intuition et le ressenti sont naturels et spontanés, on ne les contrôle pas. Le plus important est avant tout d'être en accord avec ce que l'on ressent. Faisons confiance à nos ressentis, ils nous guideront sûrement, car ce sont les nôtres.
Quant à l'intuition, elle fait appel à nos ressentis, alors il est rare qu'elle se trompe, ou bien si peu...
Alors juste cette réflexion que j'ai en tête à l'instant :
Pourquoi vouloir absolument donner une explication à tout ?
Pourquoi se poser des questions sur des choses que l'on ressent si naturellement et si fortement ? Il faut au contraire accepter ce que l'on ressent, plutôt que de lutter contre.
Oui, je pense qu'il est important d'écouter et de se laisser guider par son intuition, par ses ressentis, plutôt que de vouloir toujours chercher une raison à tout et se demander si ce que l'on fait ou entreprend sera bien perçu et bien compris. L'intuition et le ressenti sont naturels et spontanés, on ne les contrôle pas. Le plus important est avant tout d'être en accord avec ce que l'on ressent. Faisons confiance à nos ressentis, ils nous guideront sûrement, car ce sont les nôtres.
Quant à l'intuition, elle fait appel à nos ressentis, alors il est rare qu'elle se trompe, ou bien si peu...
dimanche 23 janvier 2011
A propos du film : "Irina Palm"
IRINA PALM :
J'ai découvert ce film vendredi soir : c'est un petit bijou !
Ne soyez pas choqué(e)s surtout, il n'y a rien de choquant. C'est avant tout un film tendre et émouvant. Et à voir, absolument ! :-)
J'ai découvert ce film vendredi soir : c'est un petit bijou !
Ne soyez pas choqué(e)s surtout, il n'y a rien de choquant. C'est avant tout un film tendre et émouvant. Et à voir, absolument ! :-)
Lire la suite ici --> Télérama
jeudi 20 janvier 2011
Deux mots : définitif et rupture
Un cheminement de pensées qui m'a emmenée jusqu'aux mots : "définitif" et "rupture"
Des jours, on se sent fort, en forme, et tout va bien. On est prêt à tout affronter. On est prêt à aider les autres, à les écouter, à les épauler. Bref, on est présent et disponible.
Mais il y a des jours où l'on se sent plus fragile, plus vulnérable, où l'on se sent fatigué. Il faut savoir l'accepter et ne pas vouloir passer outre. Dans ce cas-là, il faut se poser, se reposer, et penser à soi, rien qu'à soi. Oublier un peu les autres et leurs soucis. S'ils ne comprennent pas, leur expliquer. Je ne pense pas que ce soit de l'égoïsme, mais si on n'a plus d'énergie, comment pourrait-on en donner aux autres. Il faut d'abord recharger ses batteries à soi, pour pouvoir être présent et disponible pour les autres.
Et ce discours vaut aussi bien pour nos amis. Il nous semble parfois qu'ils nous oublient, qu'ils nous délaissent, alors que peut-être, eux aussi, ont besoin de souffler, de faire un break. Tout le monde n'est pas à l'abri d'un coup de fatigue, d'un coup de blues. Tout le monde n'a pas envie d'en parler. Tout le monde a le droit de pouvoir s'isoler un peu, s'éloigner pendant quelques temps. Ce n'est pas forcément définitif. Ce n'est pas forcément une rupture.
J'ai toujours détesté ces deux mots: "définitif" et "rupture". Il est vrai, et ceci explique peut-être cela, qu'avec la mort de mon père, lorsque j'avais 13 ans, et celle de mon frère, en fin d'année 2009, le mots "définitif" et "rupture" (d'anévrisme en l'occurrence) ont pris tout leur VRAi sens. C'est sans doute pour cela que j'ai du mal parfois avec certains éloignements, car non seulement les deux mots "définitif" et "rupture" me viennent à l'esprit, mais en plus, ceux-ci ont vite fait de prendre aussi le sens de "vide" et de créer un vide en moi, en souvenir de... Il est intéressant d'approfondir et de chercher à comprendre certains ressentis que nous avons, certains comportements, certaines réactions, d'en chercher la cause, pour arriver peut-être un jour à s'en débarrasser et vivre ainsi plus légèrement et plus sereinement.
Des jours, on se sent fort, en forme, et tout va bien. On est prêt à tout affronter. On est prêt à aider les autres, à les écouter, à les épauler. Bref, on est présent et disponible.
Mais il y a des jours où l'on se sent plus fragile, plus vulnérable, où l'on se sent fatigué. Il faut savoir l'accepter et ne pas vouloir passer outre. Dans ce cas-là, il faut se poser, se reposer, et penser à soi, rien qu'à soi. Oublier un peu les autres et leurs soucis. S'ils ne comprennent pas, leur expliquer. Je ne pense pas que ce soit de l'égoïsme, mais si on n'a plus d'énergie, comment pourrait-on en donner aux autres. Il faut d'abord recharger ses batteries à soi, pour pouvoir être présent et disponible pour les autres.
Et ce discours vaut aussi bien pour nos amis. Il nous semble parfois qu'ils nous oublient, qu'ils nous délaissent, alors que peut-être, eux aussi, ont besoin de souffler, de faire un break. Tout le monde n'est pas à l'abri d'un coup de fatigue, d'un coup de blues. Tout le monde n'a pas envie d'en parler. Tout le monde a le droit de pouvoir s'isoler un peu, s'éloigner pendant quelques temps. Ce n'est pas forcément définitif. Ce n'est pas forcément une rupture.
J'ai toujours détesté ces deux mots: "définitif" et "rupture". Il est vrai, et ceci explique peut-être cela, qu'avec la mort de mon père, lorsque j'avais 13 ans, et celle de mon frère, en fin d'année 2009, le mots "définitif" et "rupture" (d'anévrisme en l'occurrence) ont pris tout leur VRAi sens. C'est sans doute pour cela que j'ai du mal parfois avec certains éloignements, car non seulement les deux mots "définitif" et "rupture" me viennent à l'esprit, mais en plus, ceux-ci ont vite fait de prendre aussi le sens de "vide" et de créer un vide en moi, en souvenir de... Il est intéressant d'approfondir et de chercher à comprendre certains ressentis que nous avons, certains comportements, certaines réactions, d'en chercher la cause, pour arriver peut-être un jour à s'en débarrasser et vivre ainsi plus légèrement et plus sereinement.
mardi 18 janvier 2011
Le miracle de la naissance de la vie
Je suis toujours émerveillée par le miracle de la naissance de la vie, et encore plus, depuis que je suis grand-mère. J'ai la chance d'avoir déjà trois petits-fils. Le dernier est encore tout petit, il est né le 31 décembre dernier. Et un autre petit gars est prévu pour début mars. Je suis donc aux anges, c'est le cas de le dire... (sourire)
Jeune, je crois que je ne réalisais pas autant que maintenant le côté merveilleux d'une grossesse: un petit être qui grandit à l'intérieur du ventre de sa maman, un petit être qui grandit dans son ventre, à soi. Une vie, un corps à l'intérieur d'un autre corps, d'une autre vie. C'est fabuleux, non, quand on y pense? Il y a des choses qui semblent si naturelles (elles le sont bien évidemment) qu'on en oublie aussi le côté merveilleux et magique. Oui, je le ressens ainsi ces jours: merveilleux et magique.
Le plus beau moment de ma vie: la naissance de mes deux fils.
La plus belle chose que j'ai faite: mes deux fils...
Photos trouvées sur le net :
Jeune, je crois que je ne réalisais pas autant que maintenant le côté merveilleux d'une grossesse: un petit être qui grandit à l'intérieur du ventre de sa maman, un petit être qui grandit dans son ventre, à soi. Une vie, un corps à l'intérieur d'un autre corps, d'une autre vie. C'est fabuleux, non, quand on y pense? Il y a des choses qui semblent si naturelles (elles le sont bien évidemment) qu'on en oublie aussi le côté merveilleux et magique. Oui, je le ressens ainsi ces jours: merveilleux et magique.
Le plus beau moment de ma vie: la naissance de mes deux fils.
La plus belle chose que j'ai faite: mes deux fils...
Photos trouvées sur le net :
lundi 17 janvier 2011
Attente
Pensée du jour :
Pour ne pas être en attente, il ne faut rien demander.
Pour ne rien demander, il ne faut pas être en attente.
:-)
Pour ne pas être en attente, il ne faut rien demander.
Pour ne rien demander, il ne faut pas être en attente.
:-)
vendredi 14 janvier 2011
La face cachée (2)
Je parlais récemment de la face cachée que nous avons en chacun de nous.
Il n'est pas toujours facile d'accepter que nos proches ou ami(e)s aient leur jardin secret, aient une part d'ombre que nous ne connaissons pas et qu'ils ne veulent pas nous dévoiler. Et pourtant, contradiction, nous avons bien, nous aussi, notre part d'ombre et de mystère.
Lorsqu'on aime ou apprécie une personne, on voudrait tout savoir sur elle. On voudrait tout connaître pour pouvoir, pensons-nous, tout partager. Mais ce n'est pas possible, et ce n'est pas souhaitable non plus d'ailleurs. La curiosité n'est pas toujours une bonne chose, elle peut agacer l'autre. Elle peut faire fuir, même. Cette personne peut le ressentir comme une intrusion, une atteinte à son moi. Il faut apprendre à accepter de ne pas pouvoir tout comprendre et de laisser à l'autre son jardin secret. Cela s'appelle aussi le respect.
Au fil des années, je l'ai appris, et je continue encore à l'apprendre, car, comme tout le monde je pense, je dis des choses mais je ne suis pas toujours cohérente dans ce que je dis et ce que je fais... :-)
Il n'est pas toujours facile d'accepter que nos proches ou ami(e)s aient leur jardin secret, aient une part d'ombre que nous ne connaissons pas et qu'ils ne veulent pas nous dévoiler. Et pourtant, contradiction, nous avons bien, nous aussi, notre part d'ombre et de mystère.
Lorsqu'on aime ou apprécie une personne, on voudrait tout savoir sur elle. On voudrait tout connaître pour pouvoir, pensons-nous, tout partager. Mais ce n'est pas possible, et ce n'est pas souhaitable non plus d'ailleurs. La curiosité n'est pas toujours une bonne chose, elle peut agacer l'autre. Elle peut faire fuir, même. Cette personne peut le ressentir comme une intrusion, une atteinte à son moi. Il faut apprendre à accepter de ne pas pouvoir tout comprendre et de laisser à l'autre son jardin secret. Cela s'appelle aussi le respect.
Au fil des années, je l'ai appris, et je continue encore à l'apprendre, car, comme tout le monde je pense, je dis des choses mais je ne suis pas toujours cohérente dans ce que je dis et ce que je fais... :-)
mardi 11 janvier 2011
Un instant avec Gainsbourg
Enfin cette très belle chanson interprétée par la voix de son maître...
Les paroles --> ici
Et celle-ci, parce qu'au départ, c'est elle que je voulais mettre. Je lui trouvais une relation avec mon billet précédent. Et puis, j'ai écouté "Comme un Boomerang", alors... vous aurez droit aux deux ! :-)
Les paroles --> ici
Et celle-ci, parce qu'au départ, c'est elle que je voulais mettre. Je lui trouvais une relation avec mon billet précédent. Et puis, j'ai écouté "Comme un Boomerang", alors... vous aurez droit aux deux ! :-)
jeudi 6 janvier 2011
La face cachée
La nature humaine est une grande forêt impénétrable que personne ne peut connaître à fond. Même une mère ignore les secrets les plus profonds de son enfant.
(Jo Nesbø)
Ne vous est-il jamais arrivé de penser bien connaître telle personne et, à l'occasion d'un événement, d'une discussion, d'une indiscrétion, la découvrir toute autre ?
Et de même, pensez-vous que l'on vous connaisse si bien que cela ?
Vous montrez une face de votre personnalité, mais en vous, il y en a une autre que vous seul(e) connaissez. N'y a-t-il pas en nous, en vous, une face cachée que nous ne réservons qu'à nous, que nous sommes seul(e)s à connaître jusqu'à ce qu'elle se manifeste, volontairement ou involontairement, lors d'une situation imprévue ou inattendue ?
Pourquoi avons-nous si souvent tant de mal à montrer cette face cachée, qui pourtant est bien en nous, qui fait bien partie de nous ? Que risquons-nous ? De quoi avons-nous peur ? Que les autres n'aiment pas cette autre partie de nous ? Par peur de choquer ? Par peur de ne plus être aimé(e) ?
Plein de questions... question (on peut le dire) de se "remuer un peu les méninges"... :-)
(Jo Nesbø)
Ne vous est-il jamais arrivé de penser bien connaître telle personne et, à l'occasion d'un événement, d'une discussion, d'une indiscrétion, la découvrir toute autre ?
Et de même, pensez-vous que l'on vous connaisse si bien que cela ?
Vous montrez une face de votre personnalité, mais en vous, il y en a une autre que vous seul(e) connaissez. N'y a-t-il pas en nous, en vous, une face cachée que nous ne réservons qu'à nous, que nous sommes seul(e)s à connaître jusqu'à ce qu'elle se manifeste, volontairement ou involontairement, lors d'une situation imprévue ou inattendue ?
Pourquoi avons-nous si souvent tant de mal à montrer cette face cachée, qui pourtant est bien en nous, qui fait bien partie de nous ? Que risquons-nous ? De quoi avons-nous peur ? Que les autres n'aiment pas cette autre partie de nous ? Par peur de choquer ? Par peur de ne plus être aimé(e) ?
Plein de questions... question (on peut le dire) de se "remuer un peu les méninges"... :-)
dimanche 2 janvier 2011
Nouvelle année et cadeau de fin d'année
Bonsoir à vous ! Me voici enfin de retour sur la toile parmi vous.
J'espère que vous avez passé de bonnes fêtes et que vous êtes en forme pour cette nouvelle année qui commence. Je vous adresse d'ailleurs tous mes meilleurs voeux pour celle-ci. Qu'elle vous apporte: Bonheur, Santé, Amour, Amitié, Douceur et Tendresse. C'est si important. Que vos rêves les plus chers, mais aussi les plus fous, se réalisent! Prenez soin de vous, c'est important aussi.
Pour moi, la fin de l'année 2010 s'est très bien terminée, puisque j'ai eu un très beau cadeau le 31 décembre: mon troisième petit-fils est né! Eh oui! Je suis grand-mère de trois petits gars! Et j'en suis fière! Vous ne voyez pas mon grand sourire? :-)
Je vous embrasse toutes et tous très fort.
J'espère que vous avez passé de bonnes fêtes et que vous êtes en forme pour cette nouvelle année qui commence. Je vous adresse d'ailleurs tous mes meilleurs voeux pour celle-ci. Qu'elle vous apporte: Bonheur, Santé, Amour, Amitié, Douceur et Tendresse. C'est si important. Que vos rêves les plus chers, mais aussi les plus fous, se réalisent! Prenez soin de vous, c'est important aussi.
Pour moi, la fin de l'année 2010 s'est très bien terminée, puisque j'ai eu un très beau cadeau le 31 décembre: mon troisième petit-fils est né! Eh oui! Je suis grand-mère de trois petits gars! Et j'en suis fière! Vous ne voyez pas mon grand sourire? :-)
Je vous embrasse toutes et tous très fort.
mercredi 22 décembre 2010
Joyeuses fêtes
Noël et la fin de l'année approchent. Je vais m'absenter de la toile pendant quelques jours, et profiter de vacances bien méritées.
Je vous souhaite un joyeux Noël et une belle fin d'année 2010. Profitez des gens que vous aimez, le plus possible. Profitez de ces fêtes où ils seront près de vous, pour leur dire combien ils vous sont chers.
J'ai une pensée pour ceux qui ne sont plus là et pour ceux qui sont ou qui se retrouvent seul(e)s pour ces fêtes. Je ne les oublie pas.
A début janvier. Je vous embrasse fort.
Je vous souhaite un joyeux Noël et une belle fin d'année 2010. Profitez des gens que vous aimez, le plus possible. Profitez de ces fêtes où ils seront près de vous, pour leur dire combien ils vous sont chers.
J'ai une pensée pour ceux qui ne sont plus là et pour ceux qui sont ou qui se retrouvent seul(e)s pour ces fêtes. Je ne les oublie pas.
A début janvier. Je vous embrasse fort.
dimanche 19 décembre 2010
La juste place
J'ai parfois l'esprit un peu éparpillé ou encombré de pensées parasitantes, et je ne donne pas toujours la priorité à ce qui devrait l'avoir... Ou bien je me focalise sur un fait, un événement, et du coup j'oublie le reste qui est tout aussi important, sinon plus.
Il est parfois nécessaire que l'on me le dise, qu'on me le fasse remarquer, pour que tout reprenne alors sa juste place... (Merci M... :-))
Et vous, avez-vous besoin parfois que l'on vous donne de gentils rappels ?
Les fêtes arrivent, j'ai toujours autant de travail, et je n'ai pas fini de faire les courses de Noël...
Je ne serai donc pas encore bien présente ces jours à venir... mais je repasserai vous faire un petit coucou avant samedi :-)
Passez une bonne semaine ! Bisous à vous.
Il est parfois nécessaire que l'on me le dise, qu'on me le fasse remarquer, pour que tout reprenne alors sa juste place... (Merci M... :-))
Et vous, avez-vous besoin parfois que l'on vous donne de gentils rappels ?
Les fêtes arrivent, j'ai toujours autant de travail, et je n'ai pas fini de faire les courses de Noël...
Je ne serai donc pas encore bien présente ces jours à venir... mais je repasserai vous faire un petit coucou avant samedi :-)
Passez une bonne semaine ! Bisous à vous.
vendredi 17 décembre 2010
Mauvais rêve
Il y a de cela deux ou trois nuits, j'ai fait un rêve très désagréable, un cauchemar, on peut dire.
Je ne me rappelle plus du début de ce rêve, mais je sais qu'un homme menaçant m'immobilisait et m'enfonçait son poing dans l'estomac tellement fort que je ressentais une douleur terrible et que je n'arrivais plus à respirer, ni même à crier. Mon seul échappatoire était de me réveiller. Ce que je fis.
Je pus enfin respirer librement et la douleur cessa.
Morale de cette histoire
Rêver n'est pas toujours bon...
il est parfois préférable de revenir à la réalité... :-)
Je ne me rappelle plus du début de ce rêve, mais je sais qu'un homme menaçant m'immobilisait et m'enfonçait son poing dans l'estomac tellement fort que je ressentais une douleur terrible et que je n'arrivais plus à respirer, ni même à crier. Mon seul échappatoire était de me réveiller. Ce que je fis.
Je pus enfin respirer librement et la douleur cessa.
Morale de cette histoire
Rêver n'est pas toujours bon...
il est parfois préférable de revenir à la réalité... :-)
lundi 13 décembre 2010
La relation avec les autres et la confiance
Ce soir, j'ai mis une citation sur mon blog Un coeur qui bat concernant Nos relations avec les autres. Sans vouloir l'expliquer ici, j'ai envie de dire juste quelques mots sur ce thème si complexe qu'est la relation avec les autres ainsi que la confiance en les autres.
Je pense, tout d'abord, que dans toute relation, il y a un effet miroir. Mais tout le monde le sait, je pense. Si nous entretenons une relation sincère et spontanée avec une personne, nous aurons en face de nous une réponse sincère et spontanée. Si nous faisons confiance en cette personne, elle nous fera confiance de la même manière. Et une relation saine pourra s'établir.
Par contre, si nous commençons à douter, si nous devenons méfiants à l'égard de cette personne, celle-ci deviendra méfiante à notre égard également, et la relation en sera ternie.
Je ne suis pas de nature méfiante. Je ne pense pas que les personnes puissent "mentir", ou manipuler les autres. Pourtant, il y a un peu plus de deux ans, j'ai été abusée par une personne qui s'est fait passer pour quelqu'un d'autre. J'ai été déçue, très déçue, car je lui faisais vraiment confiance, et il s'était créé entre nous une vraie relation d'amitié. Enfin, je le croyais... Depuis, j'ai toujours un petit doute qui s'insinue en moi et je doute parfois de la véracité des propos que l'on me tient. Ma confiance a été ébranlée. Mais malgré tout, j'ai envie de faire confiance en les autres, j'ai envie de ne voir chez eux que leur bon côté et zaper sur le reste... Tant pis si l'on me prend parfois pour une femme un peu naïve ou crédule. Après tout, je le suis peut-être... et c'est tant mieux!... :-)
Rajouté ce mardi 14 décembre :
Je viens de trouver cette citation qui dit tout à fait bien ce que je pense:
Il ne faut à aucun prix qu'un être, par sa trahison, nous décourage d'avoir plus jamais confiance en d'autres êtres. Il aurait trop gagné, s'il avait tué en nous la confiance faite à notre prochain.
(Henry de Montherlant)
.
Je pense, tout d'abord, que dans toute relation, il y a un effet miroir. Mais tout le monde le sait, je pense. Si nous entretenons une relation sincère et spontanée avec une personne, nous aurons en face de nous une réponse sincère et spontanée. Si nous faisons confiance en cette personne, elle nous fera confiance de la même manière. Et une relation saine pourra s'établir.
Par contre, si nous commençons à douter, si nous devenons méfiants à l'égard de cette personne, celle-ci deviendra méfiante à notre égard également, et la relation en sera ternie.
Je ne suis pas de nature méfiante. Je ne pense pas que les personnes puissent "mentir", ou manipuler les autres. Pourtant, il y a un peu plus de deux ans, j'ai été abusée par une personne qui s'est fait passer pour quelqu'un d'autre. J'ai été déçue, très déçue, car je lui faisais vraiment confiance, et il s'était créé entre nous une vraie relation d'amitié. Enfin, je le croyais... Depuis, j'ai toujours un petit doute qui s'insinue en moi et je doute parfois de la véracité des propos que l'on me tient. Ma confiance a été ébranlée. Mais malgré tout, j'ai envie de faire confiance en les autres, j'ai envie de ne voir chez eux que leur bon côté et zaper sur le reste... Tant pis si l'on me prend parfois pour une femme un peu naïve ou crédule. Après tout, je le suis peut-être... et c'est tant mieux!... :-)
Rajouté ce mardi 14 décembre :
Je viens de trouver cette citation qui dit tout à fait bien ce que je pense:
Il ne faut à aucun prix qu'un être, par sa trahison, nous décourage d'avoir plus jamais confiance en d'autres êtres. Il aurait trop gagné, s'il avait tué en nous la confiance faite à notre prochain.
(Henry de Montherlant)
.
vendredi 10 décembre 2010
La complainte de la butte
Je n'ai pas eu le temps cette fin de semaine de remettre un nouveau billet (beaucoup de travail ces jours), ni d'aller vous visiter, et je repars cet après-midi jusqu'à dimanche soir (une petite virée entre amis dans le Jura, de quoi recharger les batteries ;-)). Je me rattraperai la semaine prochaine, promis :-)
Je vous laisse donc à nouveau avec Mouloudji et cette très belle chanson: "La complainte de la butte", que j'avais chantée au sein d'une chorale il y a déjà quelques années (de bons souvenirs...).
Bon week-end à vous toutes et tous.
Je vous embrasse.
Les paroles --> ici
Je vous laisse donc à nouveau avec Mouloudji et cette très belle chanson: "La complainte de la butte", que j'avais chantée au sein d'une chorale il y a déjà quelques années (de bons souvenirs...).
Bon week-end à vous toutes et tous.
Je vous embrasse.
Les paroles --> ici
mercredi 8 décembre 2010
Et la grisaille devient couleur
Il y a des jours où la vie est grise, terne, inquiétante, des jours où l'on se fait du souci, où l'on s'attend à une mauvaise nouvelle, où l'on est inquiet.
Et puis, il y a des jours où le soleil ré-apparaît, où d'un seul coup, juste par un coup de fil, ou par un mail, la vie reprend ses couleurs, et sa légèreté. Où l'on pousse un grand ouf ! de soulagement.
Et c'est bon !...
Je ne peux vous en dire plus, mais je viens d'avoir, à l'instant, une très bonne nouvelle (qui aurait pu être mauvaise), et je suis soulagée et heureuse !
Belle journée à vous toutes et tous !
Et puis, il y a des jours où le soleil ré-apparaît, où d'un seul coup, juste par un coup de fil, ou par un mail, la vie reprend ses couleurs, et sa légèreté. Où l'on pousse un grand ouf ! de soulagement.
Et c'est bon !...
Je ne peux vous en dire plus, mais je viens d'avoir, à l'instant, une très bonne nouvelle (qui aurait pu être mauvaise), et je suis soulagée et heureuse !
Belle journée à vous toutes et tous !
mardi 7 décembre 2010
C'est de ma faute
J'ai souvent tendance, lorsqu'il y a un souci, un problème avec une personne, à penser que c'est de ma faute, et à culpabiliser. "Je n'aurais pas dû dire cela, je n'aurais pas dû faire cela". Je réfléchis sur ce que j'ai pu dire ou faire. Mais est-ce que je suis toujours responsable? Je ne pense pas. Pourquoi alors ai-je si souvent tendance à le faire? Cela vient-il de mon éducation ? Peut-être. Lorsque j'étais gamine, il était fréquent de m'entendre dire: "Si tu fais ceci, je vais être triste... Si tu n'es pas sage, j'aurai de la peine...", etc. Le chantage affectif, quoi! Je passe du temps à réfléchir lorsqu'il y a un problème au sein d'une relation pour examiner ce que j'ai pu faire de mal, ce que j'ai pu dire de blessant, et à prendre les torts. Et le pire de tout, si quelqu'un me blesse, ou est désagréable avec moi, je culpabilise de lui faire remarquer, de peur de lui faire de la peine. Et je m'énerve d'être ainsi, vouloir toujours m'excuser, alors que parfois ce sont les autres qui devraient le faire. Ce n'est pas toujours facile de changer de comportement lorsqu'on le traîne depuis tant d'années. Mais enfin, je trouve qu'il y a tout de même une petite évolution, et que je commence à ne pas vouloir toujours porter tous les torts, et c'est tant mieux! ;-)
Et vous, comment êtes-vous ? Avez-vous tendance à culpabiliser facilement? à prendre toujours tous les torts?
Et vous, comment êtes-vous ? Avez-vous tendance à culpabiliser facilement? à prendre toujours tous les torts?
dimanche 5 décembre 2010
Faut vivre...
Au gré de mes balades sur le net, sur un blog, j'ai pu écouter une chanson de Mouloudji. J'avais oublié Mouloudji. Et pourtant, comme j'ai pu écouter et aimer ses chansons. Il y a des périodes où l'on oublie, tout simplement, et puis il suffit d'un hasard pour redécouvrir. C'est ce que j'ai fait avec Mouloudji.
Ecoutez cette chanson. Elle n'est pas très gaie, mais qu'est-ce qu'elle est belle !...
FAUT VIVRE - Mouloudji
Les paroles --> ici
Ecoutez cette chanson. Elle n'est pas très gaie, mais qu'est-ce qu'elle est belle !...
FAUT VIVRE - Mouloudji
Les paroles --> ici
dimanche 28 novembre 2010
Semaine sans billets
Cette semaine qui vient, je ne publierai pas de billets.
Je serai très peu présente, tout en étant jamais bien loin. Ma semaine sera entrecoupée de petits départs, et de petits retours.
Je passerai vous visiter si je le peux.
Juste cette citation de Victor Hugo :
Les mots manquent aux émotions.
A bientôt, je vous reviens très vite.
Je vous embrasse.
Je serai très peu présente, tout en étant jamais bien loin. Ma semaine sera entrecoupée de petits départs, et de petits retours.
Je passerai vous visiter si je le peux.
Juste cette citation de Victor Hugo :
Les mots manquent aux émotions.
A bientôt, je vous reviens très vite.
Je vous embrasse.
vendredi 26 novembre 2010
La musique et ses bienfaits
Ah la la ! la musique !...la musique et ses bienfaits!
Ce soir, j'avais un petit coup de blues, alors je suis allée écouter et chercher de la musique sur internet. J'ai trouvé cette vidéo de Leny Escudero qui m'a mise en joie et de bonne humeur! Elle est si belle et si émouvante! Je l'ai déjà mise sur mon autre blog, mais tant pis, je fais un doublon ce soir, je la remets sur celui-ci, pour vous qui venez ici : "Pour une petite amourette"...
Leny Escudero, en plus, c'est toute mon enfance. Mon père l'aimait et l'écoutait. D'ailleurs, c'est moi qui ai hérité de ses 45 tours de l'époque. Leny Escudero était alors un jeune homme. Les années ont passé, mais il a gardé sa voix intacte ET son allure de jeune homme.
Ecoutez et regardez ! Un pur moment de bonheur et d'émotion... Je n'arrête pas de la passer et de la repasser... La musique, c'est du baume pour le coeur. :-)
Ce soir, j'avais un petit coup de blues, alors je suis allée écouter et chercher de la musique sur internet. J'ai trouvé cette vidéo de Leny Escudero qui m'a mise en joie et de bonne humeur! Elle est si belle et si émouvante! Je l'ai déjà mise sur mon autre blog, mais tant pis, je fais un doublon ce soir, je la remets sur celui-ci, pour vous qui venez ici : "Pour une petite amourette"...
Leny Escudero, en plus, c'est toute mon enfance. Mon père l'aimait et l'écoutait. D'ailleurs, c'est moi qui ai hérité de ses 45 tours de l'époque. Leny Escudero était alors un jeune homme. Les années ont passé, mais il a gardé sa voix intacte ET son allure de jeune homme.
Ecoutez et regardez ! Un pur moment de bonheur et d'émotion... Je n'arrête pas de la passer et de la repasser... La musique, c'est du baume pour le coeur. :-)
mercredi 24 novembre 2010
Mais pourquoi donc ?
Sur ton blog "Un coeur qui bat", pourquoi mettre toutes ces citations puisque tu ne les appliques pas dans la réalité?
Un ami m'a demandé cela récemment. Alors, je me suis posé la question. En effet, oui, pourquoi?
Tout d'abord, et en principe, je mets des citations qui correspondent à mon état d'esprit du moment, ce qui est logique, me direz-vous. Par contre, je sais que certaines ne correspondent pas à ma vie, à ma façon d'être dans la vie, c'est pour cela d'ailleurs qu'elles me parlent tant. Il est permis de rêver, d'imaginer, même si je sais que la vie que j'ai ne correspond pas du tout à ce que ces citations disent. C'est sans doute aussi une partie cachée de ma personnalité qui ressort dans leurs mots, leurs idées. Mais c'est plus facile de le dire par les mots des autres, je me dévoile moins, je recopie juste.
Certains jours, les citations que je mets ne sont pas en accord avec mon humeur. Je peux par exemple parler du bonheur, alors qu'en fait, ce jour-là, je ne suis pas en forme, mais c'est une façon de combattre ce blues, mettre des mots positifs pour faire fuir ce mal être du moment.
Lorsque j'étais adolescente, je placardais déjà sur les murs de ma chambre des poèmes, des textes de chansons, des citations, ce n'est donc pas nouveau. Est-ce que j'ai appliqué tout ce que j'avais mis sur les murs, je ne le pense pas. Mais, puisque je ne pouvais pas les appliquer, ni ne pouvais les crier tout haut, je les affichais, cela me faisait du bien. C'était une façon un peu de les vivre.
Et vous, s'il vous arrive de mettre des citations sur vos blogs ou ailleurs, dans quel but les mettez-vous? Est-ce qu'elles sont le pur reflet de votre vie, ou bien reflètent-elles aussi un peu de vos rêves abandonnés ou au contraire espérés?
Un ami m'a demandé cela récemment. Alors, je me suis posé la question. En effet, oui, pourquoi?
Tout d'abord, et en principe, je mets des citations qui correspondent à mon état d'esprit du moment, ce qui est logique, me direz-vous. Par contre, je sais que certaines ne correspondent pas à ma vie, à ma façon d'être dans la vie, c'est pour cela d'ailleurs qu'elles me parlent tant. Il est permis de rêver, d'imaginer, même si je sais que la vie que j'ai ne correspond pas du tout à ce que ces citations disent. C'est sans doute aussi une partie cachée de ma personnalité qui ressort dans leurs mots, leurs idées. Mais c'est plus facile de le dire par les mots des autres, je me dévoile moins, je recopie juste.
Certains jours, les citations que je mets ne sont pas en accord avec mon humeur. Je peux par exemple parler du bonheur, alors qu'en fait, ce jour-là, je ne suis pas en forme, mais c'est une façon de combattre ce blues, mettre des mots positifs pour faire fuir ce mal être du moment.
Lorsque j'étais adolescente, je placardais déjà sur les murs de ma chambre des poèmes, des textes de chansons, des citations, ce n'est donc pas nouveau. Est-ce que j'ai appliqué tout ce que j'avais mis sur les murs, je ne le pense pas. Mais, puisque je ne pouvais pas les appliquer, ni ne pouvais les crier tout haut, je les affichais, cela me faisait du bien. C'était une façon un peu de les vivre.
Et vous, s'il vous arrive de mettre des citations sur vos blogs ou ailleurs, dans quel but les mettez-vous? Est-ce qu'elles sont le pur reflet de votre vie, ou bien reflètent-elles aussi un peu de vos rêves abandonnés ou au contraire espérés?
mardi 23 novembre 2010
Se plaindre... ou juste rire avec eux ?
Je me rappelle avoir entendu dire Alice Sapritch qu'elle ne se plaignait jamais auprès de ses amis, qu'elle ne leur parlait jamais de ses soucis, qu'elle ne leur réservait que sa bonne humeur et ses rires.
Je pense que c'était très louable et généreux de sa part.
Mais les amis ne sont-ils pas là aussi pour écouter nos peines, nos tracasseries, ne sont-ils pas là un peu pour nous réconforter, nous consoler s'il y a besoin? Tout comme nous avec eux? Nos amis et nous-mêmes ne devons-nous pas offrir des oreilles attentives à ceux que nous aimons. Si nous savons écouter leurs joies, ne pouvons-nous donc pas écouter aussi leurs peines?
D'un autre côté, je me dis qu'Alice Sapritch n'avait pas vraiment tort. Chacun a ses problèmes, ses soucis, s'il faut encore écouter ceux des autres!
Oui, mais, les amis tout de même...
Qu'en pensez-vous ?
dimanche 21 novembre 2010
Un tag amical : souvenirs, souvenirs...
Coumarine m'a gentiment taguée, en me passant aujourd'hui le relais de l'amitié. Je réponds sans hésiter (ou presque...) à ses questions.
2) Quels ont été vos BD et dessins animés préférés ? J'étais abonnée au journal de Mickey et chaque mardi (il me semble que je le recevais ce jour-là) était un jour de fête! J'aimais lire aussi les "Sylvain et Sylvette". Question "dessins animés", à "mon" époque, il n'y avait guère que "Le manège enchanté", et "Bonne nuit les petits" avec Primprenelle, Nicolas, Nounours et le marchand de sable...
3) Quels ont été vos jeux préférés ? J'aimais, bien sûr, jouer à la poupée, mais j'aimais aussi beaucoup jouer aux petites voitures avec mon frère. Mes parents faisaient rentrer un gros tas de sable, dans la cour, et nous faisions des routes, des tunnels, sur lesquels nous faisions rouler nos petites voitures. J'aimais aussi beaucoup jouer à la ferme. Il faut dire que je passais le mois d'août près de chez mon oncle et ma tante qui avaient une ferme, et plein, plein d'animaux! j'adorais y aller! L'un de mes immenses plaisirs était de descendre en ville avec ma mère, et de nous rendre dans un tout petit magasin, situé à Vaise, où il y avait des centaines et des centaines de petits animaux ou personnages. J'avais le droit d'en acheter un ou deux à la fois: un cheval avec son poulain, le fermier et la fermière. Qu'est-ce que j'étais heureuse, alors! Ce tag me remémore d'ailleurs ce soir ce si bon souvenir...
4) Quel a été votre meilleur anniversaire et pourquoi ? Curieusement, je n'ai pas de souvenirs de meilleur anniversaire. Je ne m'en rappelle pas. Pourtant, je suis sûre que nous les fêtions, et que nous avions un cadeau. Mais trou noir... je ne me rappelle pas.
5) Qu'est-ce que vous auriez absolument voulu faire que vous n'avez pas encore fait ? Ecrire des livres... Lorsque j'étais gamine, j'écrivais et je dessinais sur un cahier des petites bandes dessinées (je les ai encore d'ailleurs ; tiens! il faudra que je les ressorte :-)), j'écrivais essentiellement des histoires sur des chevaux (mon animal préféré à l'époque). Je me rappelle qu'il y avait un cheval sauvage qu'une jeune fille arrivait à apprivoiser et à dompter... :-)
6) Quel était votre premier sport préféré ? Je n'étais pas du tout, mais alors pas du tout sportive, mais curieusement, j'adorais, et j'étais douée pour grimper à la corde...
7) Quelle était votre première idole de musique ? Je crois me souvenir que le premier 45 tours que j'ai acheté, ou que l'on m'a acheté, était de Eddy Mitchell... Et puis, j'aimais bien aussi Joe Dassin. Bon, j'ai changé de goûts, depuis... ;-)
8) Quel est le plus beau cadeau de Noël (ou équivalent) que vous avez reçu ? Mes parents avaient acheté cette année-là un cadeau en commun pour tout le monde: un électrophone, et quelques 45 tours. C'était magique! Je me rappelle avoir écouté, sans me lasser, l'histoire de "La petite chèvre de monsieur Seguin", racontée magnifiquement bien par Fernandel.
Merci Coumarine, de m'avoir passé ce relais. Tu vois, il m'a remémoré de doux souvenirs que j'avais un peu oubliés... :-)
Je passe ce relais de l'amitié aux personnes suivantes, mais faites-le juste si vous en avez envie, répondez aux questions que vous voulez, il n'y a aucune obligation... : Marie, Katimini, Julie, Chantal, Pricille et Barbara.
vendredi 19 novembre 2010
Ne pas abuser
Comme j'en ai déjà parlé, je crois, je suis une femme assez timide, pas très hardie. Lorsque j'étais jeune, de ce fait, et parce que mon degré de timidité était bien pire encore que celui de maintenant, j'avais l'impression que certaines personnes en profitaient pour me dire des trucs pas toujours très agréables ni sympas, parce qu'ils savaient que je ne réagirais pas, que j'encaisserais. Ils avaient raison, je ne réagissais pas. Quand j'y repense maintenant, je me dis que, finalement, je me laissais "maltraiter", car agir ainsi avec une personne dont on sait qu'elle est trop timide pour réagir, c'est une sorte de maltraitance, je pense. C'est profiter de la timidité de cette personne. Combien de fois, aussi, par exemple, je me suis fait poser des lapins (par des amies ou amis), et je laissais faire sans rien dire. Je ne formulais jamais aucun reproche. Je ne disais rien. Je rentrais chez moi. Et cela n'était jamais réglé, puisque je disais rien. Lorsque j'y repense, maintenant, je me dis que j'étais vraiment "bête" de me laisser traiter de la sorte. Mais je n'osais rien dire, et je ne disais rien.
En prenant de l'âge, j'ai pris de l'assurance, mais parfois encore, il m'arrive de me laisser "traiter" ainsi. Et alors, j'essaie de réagir, car ces souvenirs du temps où j'étais jeune et si timide, me mettent mal à l'aise. Certain(e)s, maintenant, m'incitent et me poussent volontairement à me faire sortir de mes gonds, m'incitent à réagir, mais cela, pour mon bien. Cela les énerve de me voir si gentille et si complaisante. Et c'est vrai, lorsque j'y repense, qu'est-ce que j'ai pu être gentille et complaisante avec certain(e)s, alors que j'aurais dû pousser un bon coup de gueule! Et c'est ce que je vais essayer de faire, dorénavant, pousser de temps en temps un bon coup de gueule! Tiens, cela me fait déjà du bien de l'écrire (sourire).
En prenant de l'âge, j'ai pris de l'assurance, mais parfois encore, il m'arrive de me laisser "traiter" ainsi. Et alors, j'essaie de réagir, car ces souvenirs du temps où j'étais jeune et si timide, me mettent mal à l'aise. Certain(e)s, maintenant, m'incitent et me poussent volontairement à me faire sortir de mes gonds, m'incitent à réagir, mais cela, pour mon bien. Cela les énerve de me voir si gentille et si complaisante. Et c'est vrai, lorsque j'y repense, qu'est-ce que j'ai pu être gentille et complaisante avec certain(e)s, alors que j'aurais dû pousser un bon coup de gueule! Et c'est ce que je vais essayer de faire, dorénavant, pousser de temps en temps un bon coup de gueule! Tiens, cela me fait déjà du bien de l'écrire (sourire).
mardi 16 novembre 2010
Ne pas penser à la place de l'autre
Ne pas penser à la place de l'autre, ne pas penser à la place de l'autre, ne pas penser à la place de l'autre, ...
Il faudrait que j'en écrive des pages et des pages de cette phrase, tiens! comme à l'école, pour bien l'ancrer dans ma p'tite tête.
Eh oui, au cas où vous ne l'auriez pas compris, j'ai ce gros défaut, je pense à la place de l'autre.
De ce fait, je prête à l'autre des pensées qui ne sont pas forcément SES pensées, mais qui sont les miennes. Ses pensées deviennent alors le fruit de mes pensées à moi.
Parfois, je me fais tout un film sur ce que peut penser l'autre, alors que c'est moi qui ai imaginé ces (ou ses) pensées. Ce peut être un joli film, mais ce peut être aussi un film catastrophe! alors là, c'est beaucoup moins bien, et je m'inquiète!
Si j'arrêtais de penser à la place de l'autre, qu'est-ce que ce serait reposant! ;-)
Bon, je vous laisse, je vais aller faire mes pages d'écriture...
Ne pas penser à la place de l'autre, ne pas penser à la place de l'autre, ne pas penser à la place de l'autre, ...
:-)
Il faudrait que j'en écrive des pages et des pages de cette phrase, tiens! comme à l'école, pour bien l'ancrer dans ma p'tite tête.
Eh oui, au cas où vous ne l'auriez pas compris, j'ai ce gros défaut, je pense à la place de l'autre.
De ce fait, je prête à l'autre des pensées qui ne sont pas forcément SES pensées, mais qui sont les miennes. Ses pensées deviennent alors le fruit de mes pensées à moi.
Parfois, je me fais tout un film sur ce que peut penser l'autre, alors que c'est moi qui ai imaginé ces (ou ses) pensées. Ce peut être un joli film, mais ce peut être aussi un film catastrophe! alors là, c'est beaucoup moins bien, et je m'inquiète!
Si j'arrêtais de penser à la place de l'autre, qu'est-ce que ce serait reposant! ;-)
Bon, je vous laisse, je vais aller faire mes pages d'écriture...
Ne pas penser à la place de l'autre, ne pas penser à la place de l'autre, ne pas penser à la place de l'autre, ...
:-)
lundi 15 novembre 2010
Bob Dylan and Joan Baez : Blowin in the wind
Deux monstres sacrés de la musique américaine réunis lors de cette chanson mythique écrite par Bob Dylan : Blowin in the wind.
Pour elle, et pour lui.
Les paroles + la traduction --> ici
Pour elle, et pour lui.
Les paroles + la traduction --> ici
samedi 13 novembre 2010
Novembre et sa peine
Le mois de novembre s'écoule, et chaque jour me ramène un an en arrière, et m'emmène aussi à cette date si douloureuse: le 30 novembre, jour où mon frère est parti.
Bien sûr, la douleur est moins vive. Bien sûr, je m'habitue à son absence. C'est ce qui est terrible, d'ailleurs. Lorsque l'événement surgit, on croit que l'on ne va pas arriver à s'en relever. Et puis, les jours passent, les semaines, les mois, et l'on se rend compte que, malgré tout, ce que l'on pensait impensable, inconcevable, est en train de faire partie du domaine de l'acceptable... Et cela me fait repenser à cette citation de Hanif Kureishi: Les émotions insoutenables s'émoussent avec le temps, c'est entre autres ce qu'elles ont d'insoutenable.
Je pense à mon frère tous les jours, tous les soirs, sa présence me manque, mais j'ai accepté qu'il ne soit plus là, je ne suis plus en colère. Je regarde des photos de lui, des vidéos de lui, je ressens une grande tristesse, mais j'accepte sa disparition. La vie a repris le dessus. J'ai ma famille, je suis entourée, je ne suis pas seule.
Mais ce soir, je pense à elle. Je pense à elle qui n'arrive pas à combler ce vide. Je pense à elle qui n'a plus son épaule, ni ses mots pour la consoler. Qui donc, mieux que lui, pourrait la consoler, puisque c'est son absence à lui qu'elle pleure. Je pense à elle qui se retrouve bien seule, dans cette grande maison silencieuse. Je pense à elle que les amis délaissent, parfois, malgré leurs promesses.
Ce soir, je pense à elle et à sa peine...
Bien sûr, la douleur est moins vive. Bien sûr, je m'habitue à son absence. C'est ce qui est terrible, d'ailleurs. Lorsque l'événement surgit, on croit que l'on ne va pas arriver à s'en relever. Et puis, les jours passent, les semaines, les mois, et l'on se rend compte que, malgré tout, ce que l'on pensait impensable, inconcevable, est en train de faire partie du domaine de l'acceptable... Et cela me fait repenser à cette citation de Hanif Kureishi: Les émotions insoutenables s'émoussent avec le temps, c'est entre autres ce qu'elles ont d'insoutenable.
Je pense à mon frère tous les jours, tous les soirs, sa présence me manque, mais j'ai accepté qu'il ne soit plus là, je ne suis plus en colère. Je regarde des photos de lui, des vidéos de lui, je ressens une grande tristesse, mais j'accepte sa disparition. La vie a repris le dessus. J'ai ma famille, je suis entourée, je ne suis pas seule.
Mais ce soir, je pense à elle. Je pense à elle qui n'arrive pas à combler ce vide. Je pense à elle qui n'a plus son épaule, ni ses mots pour la consoler. Qui donc, mieux que lui, pourrait la consoler, puisque c'est son absence à lui qu'elle pleure. Je pense à elle qui se retrouve bien seule, dans cette grande maison silencieuse. Je pense à elle que les amis délaissent, parfois, malgré leurs promesses.
Ce soir, je pense à elle et à sa peine...
vendredi 12 novembre 2010
Vingt années s'étaient écoulées
Encore un rêve étrange cette nuit...
Je me trouvais dans un ascenseur avec une jeune femme. Nous devions monter au deuxième étage. L'ascenseur ressemblait d'ailleurs plutôt à un téléphérique car il était tout en longueur et montait dans les airs à l'oblique. Il prenait de la vitesse et se mettait à monter à très vive allure. Il ne s'arrêta pas au deuxième étage et poursuivit sa montée à une vitesse de plus en plus rapide. Je m'inquiétai alors de savoir s'il allait bien s'arrêter lorsqu'il serait arrivé en haut. La jeune femme me rassura. En effet, arrivé en haut (de je ne sais quel endroit), il s'arrêta enfin. Alors, nous appuyâmes sur le bouton pour le faire redescendre. Ce qu'il fît à allure modéré.
Je rentrai alors chez moi, et je me rendis compte que, durant ce laps de temps, durant cette montée dans l'ascenseur, vingt années avaient passé! Pour moi, juste quelques heures s'étaient écoulées, je n'avais donc pas avancé en âge, mais les autres, si! Je retrouvai alors l'un de mes petits-fils avec vingt ans de plus! Il était un jeune homme maintenant.
Je me réveillai à cet instant...
Je me trouvais dans un ascenseur avec une jeune femme. Nous devions monter au deuxième étage. L'ascenseur ressemblait d'ailleurs plutôt à un téléphérique car il était tout en longueur et montait dans les airs à l'oblique. Il prenait de la vitesse et se mettait à monter à très vive allure. Il ne s'arrêta pas au deuxième étage et poursuivit sa montée à une vitesse de plus en plus rapide. Je m'inquiétai alors de savoir s'il allait bien s'arrêter lorsqu'il serait arrivé en haut. La jeune femme me rassura. En effet, arrivé en haut (de je ne sais quel endroit), il s'arrêta enfin. Alors, nous appuyâmes sur le bouton pour le faire redescendre. Ce qu'il fît à allure modéré.
Je rentrai alors chez moi, et je me rendis compte que, durant ce laps de temps, durant cette montée dans l'ascenseur, vingt années avaient passé! Pour moi, juste quelques heures s'étaient écoulées, je n'avais donc pas avancé en âge, mais les autres, si! Je retrouvai alors l'un de mes petits-fils avec vingt ans de plus! Il était un jeune homme maintenant.
Je me réveillai à cet instant...
mercredi 10 novembre 2010
Collection de marque-pages
Faites-vous des collections? collections de timbres, de cartes, d'objets divers? Etes-vous collectionneurs, quoi!
Moi, sans en avoir des centaines, mais tout au plus une petite quarantaine, j'aime collectionner les marque-pages. Lorsque je me rends dans une librairie, systématiquement, je prends un nouveau marque-pages, il y en a toujours sur la banque. J'en ai de très différents et ainsi je le choisis en fonction du livre que je vais lire. Il y en a de très beaux.
Une amie m'en a envoyés encore récemment (merci Marie, regarde, ils sont là (sourire)).
Alors, et vous, êtes-vous collectionneurs?...
Moi, sans en avoir des centaines, mais tout au plus une petite quarantaine, j'aime collectionner les marque-pages. Lorsque je me rends dans une librairie, systématiquement, je prends un nouveau marque-pages, il y en a toujours sur la banque. J'en ai de très différents et ainsi je le choisis en fonction du livre que je vais lire. Il y en a de très beaux.
Une amie m'en a envoyés encore récemment (merci Marie, regarde, ils sont là (sourire)).
Alors, et vous, êtes-vous collectionneurs?...
mardi 2 novembre 2010
Garder ou jeter ?
Il y a des périodes où l'on a envie de tout garder: souvenirs, lettres, objets, habits (même si l'on ne rentre plus dedans ;-)), des périodes où tout cela nous emplit d'une douce nostalgie. Où l'on sourit en y pensant. Où l'on se nourrit de ces souvenirs. Où l'on a besoin d'en être entouré(e) et de savoir que c'est à portée de main.
Et puis, il y a des périodes où l'on a envie de tout jeter, de faire du tri, de faire du vide. Parce qu'on a besoin de respirer et tous ces souvenirs ou objets inutiles nous donnent l'impression d'étouffer. Les jours ou les moments de colère, sans doute. De déprime, aussi.
Je suis plutôt du genre "conservatrice", mais quand cela me prend, je suis capable aussi de faire un tri sévère, et de me sentir soulagée ensuite, de me sentir mieux, plus légère.
Et vous, êtes-vous du genre à tout conserver, ou bien faites-vous du tri régulièrement?
Et puis, il y a des périodes où l'on a envie de tout jeter, de faire du tri, de faire du vide. Parce qu'on a besoin de respirer et tous ces souvenirs ou objets inutiles nous donnent l'impression d'étouffer. Les jours ou les moments de colère, sans doute. De déprime, aussi.
Je suis plutôt du genre "conservatrice", mais quand cela me prend, je suis capable aussi de faire un tri sévère, et de me sentir soulagée ensuite, de me sentir mieux, plus légère.
Et vous, êtes-vous du genre à tout conserver, ou bien faites-vous du tri régulièrement?
jeudi 28 octobre 2010
Dédicace à mes ami(e)s
Il y a des jours où l'on est fatigué(e), où l'on est surchargé(e) de travail, où l'on n'a pas le moral, des jours où rien ne va. Il y a des jours où l'on se sent seul(e), triste, découragé(e), des jours où l'absence de certains nous fait cruellement mal, des jours où l'on a envie de pleurer.
Et puis, il y a des personnes qui sont là, visibles ou parfois dans l'ombre, des personnes qui ne font pas de bruit, mais qui sont pourtant bien présentes, des personnes qui vous aident (sans forcément toujours s'en rendre compte), des personnes qui vous aiment, qui sont attentives, et qui vous offrent des sourires, des attentions, des mots doux, et tout cela, par pure gentillesse, générosité, bonté, par amitié aussi, et qui n'attendent rien en retour. Ces personnes-là, je voudrais leur dire combien leur bienveillance m'est douce et combien je les aime...
Il y a ainsi des gens qui vous délivrent de vous-même - aussi naturellement que peut le faire la vue d'un cerisier en fleur ou d'un chaton jouant à attraper sa queue. Ces gens, leur vrai travail, c'est leur présence.
(Christian Bobin)
Et puis, il y a des personnes qui sont là, visibles ou parfois dans l'ombre, des personnes qui ne font pas de bruit, mais qui sont pourtant bien présentes, des personnes qui vous aident (sans forcément toujours s'en rendre compte), des personnes qui vous aiment, qui sont attentives, et qui vous offrent des sourires, des attentions, des mots doux, et tout cela, par pure gentillesse, générosité, bonté, par amitié aussi, et qui n'attendent rien en retour. Ces personnes-là, je voudrais leur dire combien leur bienveillance m'est douce et combien je les aime...
Il y a ainsi des gens qui vous délivrent de vous-même - aussi naturellement que peut le faire la vue d'un cerisier en fleur ou d'un chaton jouant à attraper sa queue. Ces gens, leur vrai travail, c'est leur présence.
(Christian Bobin)
jeudi 21 octobre 2010
Quand les objets reprennent vie...
Les objets ont leur vie propre. Le temps peut s'arrêter pour eux, et reprendre, pareillement, sans qu'on en connaisse toujours la raison.
Il y a déjà quatre ou cinq ans, ou peut-être même plus, l'horloge/minuterie de notre cuisinière s'était arrêtée de fonctionner. Impossible de la faire redémarrer. Elle était restée coincée à 9h. Elle demeurait donc depuis silencieuse. Quant à la minuterie, évidemment, impossible de s'en servir. Sans heure, pas de minuterie.
Hier matin, alors que nous sommes en train de déjeuner, mon mari me dit : "Tiens, regarde!!! l'horloge de la cuisinière s'est remise en route!" Et en effet, à nouveau, sans que l'on fasse quoi que ce soit, les aiguilles de l'horloge de notre cuisinière ont décidé de se remettre à tourner, et par conséquent, la minuterie est, elle aussi, prête à reprendre du service.
Etrange, non ?...
J'ai trouvé cette petite histoire amusante, et j'ai eu envie de vous la raconter... (sourire)
Bonne fin de semaine à vous, et bon week-end !
Il y a déjà quatre ou cinq ans, ou peut-être même plus, l'horloge/minuterie de notre cuisinière s'était arrêtée de fonctionner. Impossible de la faire redémarrer. Elle était restée coincée à 9h. Elle demeurait donc depuis silencieuse. Quant à la minuterie, évidemment, impossible de s'en servir. Sans heure, pas de minuterie.
Hier matin, alors que nous sommes en train de déjeuner, mon mari me dit : "Tiens, regarde!!! l'horloge de la cuisinière s'est remise en route!" Et en effet, à nouveau, sans que l'on fasse quoi que ce soit, les aiguilles de l'horloge de notre cuisinière ont décidé de se remettre à tourner, et par conséquent, la minuterie est, elle aussi, prête à reprendre du service.
Etrange, non ?...
J'ai trouvé cette petite histoire amusante, et j'ai eu envie de vous la raconter... (sourire)
Bonne fin de semaine à vous, et bon week-end !
vendredi 15 octobre 2010
Attention aux phrases assassines
Ne vous a-t-on jamais balancé des phrases "assassines" lorsque vous étiez enfant? des phrases qui vous ont poursuivi tout au long de votre vie? qui vous ont empoisonné l'existence?
Au lieu de nous les balancer ces phrases, les personnes qui les proféraient, n'auraient-elles pas dû essayer de comprendre?
En voici quelques-unes dites, entre autres, par des professeurs:
-Françoise est toute blanche, n'est-elle pas malade? (quand j'étais jeune, j'habitais en ville, je ne voyais pas souvent le soleil, donc j'étais toujours très pâle, mais je n'étais pas malade, non, je vous assure!)
-Françoise n'est pas vivante (je parlais très peu, j'étais lente, et surtout très timide. Pas vivante, n'importe quoi! il y a de ces expressions vraiment débiles, je dirais...)
-Françoise ne parle pas (à force qu'on me le dise, en effet, je m'étais enfermée dans le mutisme le plus complet...)
-Françoise n'aime pas l'effort (je me pose toujours la question encore aujourd'hui...)
-Françoise n'en sera pas capable (ben oui, c'est sûr, on me le disait, donc j'en étais persuadée!... et maintenant, je me demande toujours si...)
etc, etc.
Les professeurs, et autres personnes d'ailleurs, ne se rendent pas compte combien ces phrases peuvent mettent le doute en vous, et vous ôter toute confiance. Combien ces phrases peuvent vous enfermer dans un personnage, dont on a, ensuite, bien du mal à sortir! Combien ces phrases peuvent vous donner de complexes! S'ils le disent, c'est que ce doit être vrai!
J'entends encore des parents ou des professeurs dire devant leur enfant: "Oh mais lui, c'est un fainéant!", ou bien : "il ne saura jamais faire", ou bien "il est moins intelligent que son frère", "elle est moins jolie que sa soeur", etc.
Que de dégâts ces phrases peuvent occasionner dans l'estime qu'a l'enfant de lui, le décourager à tout jamais d'entreprendre, bref lui pourrir la vie!...
Faites attention à ce que vous dites aux enfants, professeurs et jeunes parents! s'il vous plaît!...
Et vous, fidèles lecteurs et lectrices, qu'en pensez-vous? Des phrases assassines vous ont-elles poursuivi tout au long de votre vie, vous poursuivent-elles encore?...
Au lieu de nous les balancer ces phrases, les personnes qui les proféraient, n'auraient-elles pas dû essayer de comprendre?
En voici quelques-unes dites, entre autres, par des professeurs:
-Françoise est toute blanche, n'est-elle pas malade? (quand j'étais jeune, j'habitais en ville, je ne voyais pas souvent le soleil, donc j'étais toujours très pâle, mais je n'étais pas malade, non, je vous assure!)
-Françoise n'est pas vivante (je parlais très peu, j'étais lente, et surtout très timide. Pas vivante, n'importe quoi! il y a de ces expressions vraiment débiles, je dirais...)
-Françoise ne parle pas (à force qu'on me le dise, en effet, je m'étais enfermée dans le mutisme le plus complet...)
-Françoise n'aime pas l'effort (je me pose toujours la question encore aujourd'hui...)
-Françoise n'en sera pas capable (ben oui, c'est sûr, on me le disait, donc j'en étais persuadée!... et maintenant, je me demande toujours si...)
etc, etc.
Les professeurs, et autres personnes d'ailleurs, ne se rendent pas compte combien ces phrases peuvent mettent le doute en vous, et vous ôter toute confiance. Combien ces phrases peuvent vous enfermer dans un personnage, dont on a, ensuite, bien du mal à sortir! Combien ces phrases peuvent vous donner de complexes! S'ils le disent, c'est que ce doit être vrai!
J'entends encore des parents ou des professeurs dire devant leur enfant: "Oh mais lui, c'est un fainéant!", ou bien : "il ne saura jamais faire", ou bien "il est moins intelligent que son frère", "elle est moins jolie que sa soeur", etc.
Que de dégâts ces phrases peuvent occasionner dans l'estime qu'a l'enfant de lui, le décourager à tout jamais d'entreprendre, bref lui pourrir la vie!...
Faites attention à ce que vous dites aux enfants, professeurs et jeunes parents! s'il vous plaît!...
Et vous, fidèles lecteurs et lectrices, qu'en pensez-vous? Des phrases assassines vous ont-elles poursuivi tout au long de votre vie, vous poursuivent-elles encore?...
lundi 11 octobre 2010
La nanette et ses nonos
Je vais vous raconter une petite histoire. Une petite histoire rigolote. Un souvenir.
C'est l'histoire de nanette et de ses nonos...
Lorsque j'étais gamine, j'avais eu envie d'avoir des oiseaux, des oiseaux en cage. Oui, je sais, c'est pas terrible des oiseaux en cage, mais bon... J'étais arrivée à convaincre ma mère, qui m'avait donc acheté un couple de cordons bleus. C'était moi qui m'en occupais : je leur donnais à manger, à boire, je nettoyais leur cage. Je les avais appelés : nono et nanette. J'aimais les regarder, je les trouvais beaux. Mais ils ne chantaient pas beaucoup (les pauvres, je les comprends...).
Au bout de deux ou trois semaines, nous remarquâmes que nono, le mâle (celui qui a des tâches rouges sur les joues) avait de moins en moins de duvet sur la tête. Il devenait chauve, si je peux dire.. ;-). Et un matin, en nous levant, nous avons trouvé le pauvre petit nono, mort. Nous avons eu de la peine, et nous avons décidé alors de le remplacer par un autre nono pour que la petite nanette ne déprime pas. Nous sommes donc allées acheter un autre petit nono que nous avons installé avec la petite nanette. Ils avaient l'air de s'entendre. Mais ils ne chantaient toujours pas plus.
Quelques jours après, nous remarquâmes à nouveau que le nouveau petit nono perdait son duvet sur la tête. Nous avons donc pris le temps, régulièrement, de les observer, de loin. Et nous vîmes alors la nanette donner des coups de bec sur la tête du pauvre nono. Que faire ? Lorsque nous la voyions faire, nous intervenions, mais nous n'étions pas toujours là. Et au bout de quelques semaines, ce qui devait arriver, arriva : le deuxième nono subit le même sort que le premier...
Nous avons donc décidé de ne pas le remplacer. Tant pis pour la nanette, elle avait eu ce qu'elle voulait, elle allait se retrouver seule. Eh bien, figurez-vous qu'au bout de quelques jours, elle se mit à chanter à tue-tête, elle que l'on n'entendait jamais chanter, ou si peu !... Elle nous faisait des roucoulades à n'en plus finir ! Et elle sautait, toute heureuse, de perchoir en perchoir ! Comme quoi, c'était une nanette très indépendante, qui ne voulait pas, tout simplement, qu'on l'encombre d'un nono !... (sourire)
Voilà. C'était l'histoire de nanette et de ses nonos...
C'est l'histoire de nanette et de ses nonos...
Lorsque j'étais gamine, j'avais eu envie d'avoir des oiseaux, des oiseaux en cage. Oui, je sais, c'est pas terrible des oiseaux en cage, mais bon... J'étais arrivée à convaincre ma mère, qui m'avait donc acheté un couple de cordons bleus. C'était moi qui m'en occupais : je leur donnais à manger, à boire, je nettoyais leur cage. Je les avais appelés : nono et nanette. J'aimais les regarder, je les trouvais beaux. Mais ils ne chantaient pas beaucoup (les pauvres, je les comprends...).
Au bout de deux ou trois semaines, nous remarquâmes que nono, le mâle (celui qui a des tâches rouges sur les joues) avait de moins en moins de duvet sur la tête. Il devenait chauve, si je peux dire.. ;-). Et un matin, en nous levant, nous avons trouvé le pauvre petit nono, mort. Nous avons eu de la peine, et nous avons décidé alors de le remplacer par un autre nono pour que la petite nanette ne déprime pas. Nous sommes donc allées acheter un autre petit nono que nous avons installé avec la petite nanette. Ils avaient l'air de s'entendre. Mais ils ne chantaient toujours pas plus.
Quelques jours après, nous remarquâmes à nouveau que le nouveau petit nono perdait son duvet sur la tête. Nous avons donc pris le temps, régulièrement, de les observer, de loin. Et nous vîmes alors la nanette donner des coups de bec sur la tête du pauvre nono. Que faire ? Lorsque nous la voyions faire, nous intervenions, mais nous n'étions pas toujours là. Et au bout de quelques semaines, ce qui devait arriver, arriva : le deuxième nono subit le même sort que le premier...
Nous avons donc décidé de ne pas le remplacer. Tant pis pour la nanette, elle avait eu ce qu'elle voulait, elle allait se retrouver seule. Eh bien, figurez-vous qu'au bout de quelques jours, elle se mit à chanter à tue-tête, elle que l'on n'entendait jamais chanter, ou si peu !... Elle nous faisait des roucoulades à n'en plus finir ! Et elle sautait, toute heureuse, de perchoir en perchoir ! Comme quoi, c'était une nanette très indépendante, qui ne voulait pas, tout simplement, qu'on l'encombre d'un nono !... (sourire)
Voilà. C'était l'histoire de nanette et de ses nonos...
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