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vendredi 15 février 2019

Arthur H - « La Ballade des clandestins »

Encore un très BEAU MOMENT !

 


Tout près de rien, à côté de nulle part
Suivant de près quelques traces qui s'effacent
Les clandestins glissent vers la lumière
A mourir pour mourir autant mourir debout

Pars avec moi vers ce qui nous éclaire
On travaillera chez l'ami de ton frère
Les clandestins glissent vers la lumière
A mourir pour mourir autant mourir debout

Oh tu es fou malade mais je reste avec toi
Ne change pas c'est comme ça que je t'aime
Oh que je t'aime

Elle vient de loin et elle sait comment faire
Même tout en bas elle peut voir la lumière mais
Quand il l'embrasse elle se fout de tout
A mourir pour mourir autant mourir debout

Lui c'est obscur son cœur est un bunker
Il croit qu'il est toujours seul sur la terre mais
Quand elle l'embrasse il se fout de tout
A mourir pour mourir autant mourir debout

Oh tu es fou malade mais je reste avec toi
Ne change pas c'est comme ça que je t'aime
Oh tu es fou malade mais je reste avec toi
Ne change pas c'est comme ça que je t'aime
Oh que je t'aime

Je ne sais pas où tu vas
Je ne sais pas même pas où tu m'emmènes
Regarde devant, et marche droit
Mon amour est l'ombre qui ne te quitte pas

Regarde devant, et marche droit

6 commentaires:

  1. Superbe encore une fois ;-)
    •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  2. Merci pour ce partage...
    "Tout près de rien, à côté de nulle part
    Suivant de près quelques traces qui s'effacent
    Les clandestins glissent vers la lumière
    A mourir pour mourir autant mourir debout"

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    Réponses
    1. J'ai rajouté les paroles dans leur intégralité, Marie. :-)
      Beau week-end à toi.

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  3. Merci Françoise.
    Chanson de circonstance dans ces temps un peu mouvementés.

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Merci pour vos petits mots que j'apprécie infiniment.

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