Saint-Michel l'Observatoire

Petite escapade à Rome

La 8e Biennale des Arts Singuliers et Innovants 2022 / St Étienne*

Après quelques temps (texte)

Huit espèces d'oiseaux

Le Puy-en-Velay

Les fleurs de mon pré

La jument et son poulain

LA NORVEGE

Des perles de rosée

Petit tour dans le CANTAL

Le Lac de Serre-Ponçon

Au pays de la maison bleue

Papillons, papillonnage

La récolte a été bonne

Suivez-moi...

Une fleur à découvrir :

Viens, je t'emmène...

Souvenir de deux belles journées

Normandie, Bretagne...

Une petite escapade en Ardèche

Jument et poulain

Séjour à MALTE

Narcisse dans tous ses états ! et sittelle...

Notre Dame de l'Hermitage (Loire)

Petit tour dans le Sud de la France

Promesse tenue !

Eté 2015 : Andalousie et Portugal

En Italie

Bretagne

Notre Dame de la Salette

Paysages de Haute-Loire

Merveilleux nuages

Une histoire de coeurs

Mes amis les oiseaux

mercredi 9 décembre 2015

Rue des voleurs

« Rue des voleurs » est un roman de Mathias Énard (2012). J'ai entendu parler de ce livre chez ​ Noëlle, elle en disait du bien. Je l'ai donc pris à la médiathèque, et je l'ai lu. Je confirme : il est TRÈS bien.

La page de couverture :
« C’est un jeune Marocain de Tanger, un garçon sans histoire, un musulman passable, juste trop avide de liberté et d’épanouissement, dans une société peu libertaire. Au lycée, il a appris quelques bribes d’espagnol, assez de français pour se gaver de Série Noire. Il attend l’âge adulte en lorgnant les seins de sa cousine Meryem. C’est avec elle qu’il va “fauter”, une fois et une seule. On les surprend : les coups pleuvent, le voici à la rue, sans foi ni loi.
Commence alors une dérive qui l’amènera à servir les textes – et les morts – de manières inattendues, à confronter ses cauchemars au réel, à tutoyer l’amour et les projets d’exil.
Dans Rue des Voleurs, roman à vif et sur le vif, l’auteur de Zone retrouve son territoire hypersensible à l’heure du Printemps arabe et des révoltes indignées. Tandis que la Méditerranée s’embrase, l’Europe vacille. Il faut toute la jeunesse, toute la naïveté, toute l’énergie du jeune Tangérois pour traverser sans rebrousser chemin le champ de bataille. Parcours d’un combattant sans cause, Rue des Voleurs est porté par le rêve d’improbables apaisements, dans un avenir d’avance confisqué, qu’éclairent pourtant la compagnie des livres, l’amour de l’écrit et l’affirmation d’un humanisme arabe. »
.

6 commentaires:

  1. A inscrire sur la liste des vœux et cadeaux à offrir. Merci pour cette découverte.

    RépondreSupprimer
  2. Je lirais bien ce roman, "Rue des voleurs". Merci pour le résumé.
    Bonne journée Françoise.

    RépondreSupprimer
  3. Bonjour Françoise, un joli résumé qui donne envie d'aller plus loin. Bonne journée. Bisous.

    RépondreSupprimer

Merci pour vos petits mots que j'apprécie infiniment.

PS : Si vous avez des difficultés à poster un commentaire ou si celui-ci n'apparaît pas, vous pouvez me l'adresser par mail (voir mon profil) et je le publierai en votre nom. Merci.