vendredi 23 juin 2017

Le coeur de Piana

Ma cousine Dany vient de m'envoyer cette photo, ce magnifique coeur qui se trouve aux calanques de Piana. Merci Dany, il est très beau ♥, je le dépose sur mon blog pour en faire profiter mes visiteurs.

vendredi 16 juin 2017

Souvenir de deux belles journées...

15 et 16 juin 2017

Souvenir de deux belles journées passées avec une Amie.
La qualité des photos est très moyenne car, ayant oublié mon appareil photos, je les ai faites avec mon téléphone portable, mais j'ai tout de même envie de les partager avec vous...


S'il vous plaît, suivez moi : ​La suite ici
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mercredi 14 juin 2017

mardi 13 juin 2017

Deux livres, deux coups de coeur

- La solitude des nombres premiers de Paolo Giordano 


Quatrième de couverture
« Les nombres premiers ne sont divisibles que par 1 et par eux-mêmes ; soupçonneux et solitaires, certains possèdent cependant un jumeau dont ils ne sont séparés que par un nombre pair. Mattia, jeune surdoué, passionné de mathématiques, en est persuadé : il compte parmi ces nombres, et Alice, dont il fait la connaissance au lycée, ne peut être que sa jumelle. Même passé douloureux, même solitude à la fois voulue et subie, même difficulté à réduire la distance qui les isole des autres. De l'adolescence à l'âge adulte, leurs existences ne cesseront de se croiser, de s'effleurer et de s'éloigner dans l'effort d'effacer les obstacles qui les séparent. Paolo Giordano scrute avec une troublante précision les sentiments de ses personnages qui peinent à grandir et à trouver leur place dans la vie. Ces adolescents à la fois violents et fragiles, durs et tendres, brillants et désespérés continueront longtemps à nous habiter. »

Extraits :
- « Car ils étaient unis par un fil qui ne pouvait exister qu'entre deux individus de leur espèce, deux individus qui avaient reconnu leur solitude dans celle de l'autre. »
- « Ils s'étaient construit une amitié bancale et asymétrique, composée de longues absences et de grands silences, un espace vide et propre où ils avaient tout loisir de reprendre haleine quand les murs du lycée se rétrécissaient au point de les étouffer. »
- « Les autres furent les premiers à remarquer ce qu'Alice et Mattia ne comprirent qu'au bout de nombreuses années. Ils pénétrèrent dans la pièce main dans la main. Ils ne souriaient pas, leurs regards suivaient des trajectoires différentes, mais on aurait dit que leurs corps coulaient l'un dans l'autre à travers leurs bras et leurs doigts joints. Le contraste prononcé que formaient les cheveux clairs d'Alice autour de son visage trop pale et les cheveux foncés de Mattia retombant sur ses yeux noirs s'anéantissant dans un arc subtil. Il y avait entre eux un espace commun dont les confins n'étaient pas bien tracés, ou rien ne semblait manquer et ou l'air paraissait inerte, tranquille. »

J'ai beaucoup aimé cette histoire. J'ai aimé ces deux jeunes gens qui peinent à trouver leur place. J'ai aimé ces deux jeunes gens blessés dans leur corps et leur coeur. J'ai aimé ces deux jeunes gens fragiles et si forts aussi. Un véritable coup de coeur pour ce livre.



- Pas d'inquiétude de Brigitte Giraud 


Quatrième de couverture
« Mehdi est tombé malade quand nous avons emménagé dans la nouvelle maison. C'est moi qui avais relevé la boîte aux lettres ce jour-là, c'était un samedi matin. J'avais entre les mains l'enveloppe blanche petit format qui contenait des résultats d'analyses que nous ne saurions pas interpréter et qui allaient changer notre vie. »

Extraits :
- « J'ignorais finalement ce que c'était d'être parent. Etait-ce cette chose monstrueuse qui consiste à faire croire qu'on sait alors qu'on est submergé, qui consiste à guider tous feux éteints. »
- « Nous étions assis face à face, chacun avec sa nouvelle tête, trop apprêté, exceptionnellement net. J'observais Mehdi qui regardait ailleurs et je l'aimais. C'est ce qui me traversait à ce moment, comme si cette sensation me submergeait. J'aurais voulu lui dire quelque chose là, assis face à lui devant ma glace au chocolat, mais ça n'aurait pas eu de sens. Je me contentais de regarder Mehdi et c'était troublant comme nos visages flottaient dans la musique de la galerie marchande, détachés du décor, parfaitement déplacés. Nous étions tels deux étrangers arrivés là par hasard, hors de leur trajectoire, pour ainsi dire perdus. »

J'ai aimé cette histoire également, elle m'a beaucoup touchée, peut-être parce que j'ai pensé à mon petit-fils et à ses parents, à leurs difficultés, à leur parcours pas toujours facile, à leur vie paisible d'avant qui, d'un seul coup, a basculé...  En lisant cette histoire, j'ai pensé à eux. Et cette histoire, racontée par Brigitte Giraud, est belle, très belle. Un coup de coeur aussi pour ce livre.

mercredi 7 juin 2017

Et encore un an de plus !...

Le temps passe, les années s'enchaînent de plus en plus vite, c'est mon impression, mais je suis toujours là, et c'est une chance, c'est ce que je me dis chaque matin, car chaque jour nouveau est un cadeau.

Photo faite vendredi dernier à Saint-Goustan (Morbihan).