samedi 20 mai 2017

Mais l'ancolie fleurit...

 Pause printanière.

 Je vous laisse en compagnie de ces fleurs d'Ancolie, elles sont belles, n'est-ce pas ?.
 De plus, j'adore leur nom....

 A bientôt !.



mardi 16 mai 2017

« L'Inaperçu »

Il y a quelques semaines, à la médiathèque, j'avais pris trois livres de Sylvie Germain : 
- « Le monde sans vous » (je n'ai pas fini de le lire, je n'arrivais pas à me mettre dedans).
- « Petites scènes capitales » (je l'ai aimé mais sans plus).
Un peu déçue donc par la lecture de ces deux premiers ouvrages, je m'étais dit que je ne reprendrais pas la prochaine fois de livres de cette auteure. Et puis cet après-midi, j'ai commencé à lire le troisième : - « L'inaperçu », et celui-ci je l'ai lu d'une traite. Il m'a beaucoup plu. Comme quoi, parfois, il faut persévérer...

Résumé
« Les Bérynx : une famille ordinaire, avec son patriarche autoritaire, ses mères affairées, ses enfants fragiles, ses secrets non partagés et son lot de drames. Et il y a Pierre, qui vient de se greffer sur cette famille comme une sorte d'ange gardien dont on ignore presque tout, homme à tout faire, mais aussi à tout défaire. Jusqu'au jour où il disparaît sans laisser d'autres traces que les brèches qu'il a ouvertes en chacun.
Roman des origines autant que de la construction de soi, L'Inaperçu, comme Magnus, fait coexister le plus sombre de l'Histoire et des tragédies individuelles avec l'imprévisible, la puissance de l'imaginaire, les rêves les plus fous, tout ce qui échappe à l'emprise du temps et permet d'inventer son destin.»

Extrait
« Pierre se tient debout devant ce ciel en radieuse incandescence ; il en respire l'éclat, le souffle, l'espace. Il est dedans. Etre dedans, "ce n'est pas quelque chose qu'on décide", disait Rothko. C'est quelque chose qui se décide au profond de soi, une volonté qui s'affirme avec la force de l'évidence, de l'amour, une résolution qui s'impose abruptement pour avoir longtemps mûri dans l'ombre. Pierre est dans cette crue de lumière qui va bientôt basculer, refluer, il est dans le cours du temps, au coeur du temps. Il se dresse dans l'embrasure d'un tableau prodigieux, en expansion et variations illimitées, dans la splendeur du visible. Il est dans l'éblouissante nudité du désir, au vif de la vie même. »

 Peinture de Mark Rothko

mercredi 10 mai 2017

Je le pense aussi...

« Je crois en une contamination de l’amour, de la bienveillance, de la douceur et de l’intelligence. Chaque fois qu’on pose un acte de tendresse, d’affection, d’amour, chaque fois qu’on éclaire quelqu’un en lui donnant un conseil, on modifie un tout petit peu l’avenir de l’humanité dans le bon sens. Et chaque fois qu’on dit une vacherie, qu’on commet une méchanceté, et qu’on les répète, on fait perdre du temps aux progrès humains. Que chacun cultive le plus grand nombre possible de ressentis et d’actes positifs est donc vital pour tout le monde. »
-> Christophe André - « Trois amis en quête de sagesse »