mercredi 31 octobre 2012

Quand la cloche tinte...

Depuis que je vais au groupe de méditation et de pleine conscience du jeudi soir, j'ai aménagé, chez moi, dans mon bureau, un petit coin pour méditer. Un coussin, un banc, deux bougies, une petite sculpture de Bouddha (merci G.) (je ne suis pas bouddhiste mais j'aime la philosophie de cette religion), une carte postale représentant la vierge Marie (merci M., mais de quoi avais-tu donc peur ?... (sourire)). Et puis, A., ma belle-soeur, m'a offert une petite cloche (voir la photo) qui a vraiment un très joli son. Ce billet, juste pour vous raconter que chaque fois que mes petits-fils viennent à la maison, ils sont attirés par ce petit coin de mon bureau et ils adorent faire tinter la cloche. Et moi, j'adore les voir faire. D'ailleurs rien que d'en parler, j'ai un immense sourire... Et puis, j'ai l'impression que les dieux leur sourient, eux aussi, à ce moment-là, et qu'ils les protègent... :-)

dimanche 28 octobre 2012

une personne qui croit en vous...

Je ne disposerai que de peu de temps pour écrire cette semaine, aussi je vous propose ces quelques lignes de Laurent Gounelle, tirées de son livre : « L'homme qui voulait être heureux ».

« Vous vous souvenez qu’hier nous avons parlé du bébé qui apprend à marcher et ne se décourage jamais, malgré ses échecs à répétitions ?
- Oui
- S’il persévère et finit par réussir, c’est notamment parce qu’aucun parent au monde ne doute de la capacité de son enfant à marcher, et aucune personne au monde ne va le décourager dans ses tentatives. Alors qu’une fois adulte, nombreux seront les gens qui vont le dissuader de réaliser ses rêves. »

« S'il y a dans votre entourage une personne qui croit en vous, qui croit en votre capacité de réussir votre projet et vous le fait sentir quand vous la voyez, cela balayera vos doutes, et vos peurs s'effaceront comme par magie. La confiance en vous que cette personne vous témoignera sera contagieuse. Elle vous insufflera la force de réussir et vous donnera l'energie de déplacer des montagnes. »

Il suffit de quelques mots, cela suffit parfois... Merci à ces personnes-là ! :-)
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jeudi 25 octobre 2012

Juste quelques flocons qui tombent

Dans ma région (j'habite en Haute-Loire), il paraît qu'il va neiger à basse altitude cette fin de semaine. Juste quelques flocons...
Cela m'a remémoré une chanson, une "vieille" chanson, interprétée par Antoine. Cette chanson s'appelle : "Juste quelques flocons qui tombent".  Je n'ai jamais été fan d'Antoine, mais j'aimais pourtant cette chanson. Avec Simone, une amie d'enfance, nous adorions l'écouter. Elle fait partie d'une certaine époque de ma vie, une époque légère et insouciante, mais aussi profondément marquante.
J'ai découvert ce soir cette chanson sur Youtube et je l'ai écoutée avec beaucoup de plaisir, avec bien sûr une pointe de nostalgie et quelque peu d'émotion.
Simone, mon amie d'enfance, si tu passes par là, je te la dédie...
Et vous, mes ami(e)s du net ou d'ailleurs, écoutez-la... :-)

 

mardi 23 octobre 2012

Taire ses sentiments

Comme je le disais dans mon précédent billet, le film que je suis allée voir hier soir m'a pas mal secouée. C'est entre autre l'histoire d'une mère et de son fils qui ne savent pas se parler, qui ne savent pas exprimer leurs sentiments et qui vivent l'un à côté de l'autre dans, ce qu'on pourrait croire, l'indifférence, le silence ou parfois même dans la violence. Il faudra attendre le moment ultime pour que les mots tant attendus sortent enfin.
Mon histoire est toute autre, bien sûr, mais si ce film m'a secouée, c'est peut-être parce que je ne sais pas, ou plutôt je ne sais pas aussi bien que je le voudrais, dire mes sentiments, exprimer mes émotions. Dire ces mots : "je t'aime, je vous aime" n'est pas chose facile pour moi. Il m'arrive toutefois de les dire lorsque j'ai bu un petit verre de trop. Mais il faut le petit verre de trop. Les gens concernés savent que je les aime, bien sûr, mais j'aimerais pouvoir leur dire plus spontanément, plus souvent... Il est vrai que je suis issue d'une famille où l'on ne s'épanchait guère sur ses sentiments, où l'on ne disait pas les mots, où les tensions et les silences régnaient bien trop souvent, alors que des mots auraient suffi à alléger l'atmosphère parfois.
Taire ses sentiments. Ne pas montrer ses émotions. Lorsque je suis heureuse, je ne saute pas de joie, non ! je souris, c'est tout. Lorsque je suis triste, les larmes ne coulent pas, ou si peu, on pourrait croire que je suis peu atteinte par le chagrin, alors qu'à l'intérieur, tout chavire, tout bascule...
Que j'envie les personnes qui laissent libre cours à leurs émotions ! qui arrivent à sortir de leur réserve ! Cela doit faire tellement de bien. Pourtant, j'ai fait des progrès depuis que je suis jeune. Avant, c'était pire... alors, j'ai de l'espoir... et comme j'aime le dire parfois : mais je me soigne !... (sourire)

lundi 22 octobre 2012

Quelques heures de printemps

Au cinéma, ce soir : "Quelques heures de printemps", un film de Stéphane Brizé avec, dans les rôles principaux, Vincent Lindon et Hélène Vincent (magistrale !).
Un très beau film, dur, très dur. Il m'a profondément émue et touchée. On ne ressort pas indemne d'un tel film...

Le résumé (Télérama) :
A 48 ans, Alain Evrard est obligé de retourner habiter chez sa mère. Cohabitation forcée qui fait ressurgir toute la violence de leur relation passée. Il découvre alors que sa mère est condamnée par la maladie. Dans ces derniers mois qu'il reste à vivre, seront-ils enfin capables de faire un pas l'un vers l'autre ?

Critiques -> ici


vendredi 19 octobre 2012

au moins, ils vous aiment...

L'avantage des gens qui vous aiment, c'est qu'ils vous comprennent mieux que vous. Et s'ils ne vous comprennent pas vraiment, au moins ils vous aiment.
(Jean-Michel Guenassia)

mercredi 17 octobre 2012

La Pointe du Passage - Une île

J'ai pris cette photo à la Pointe du Passage de Saint Armel (Bretagne). Tout en regardant cette île, j'ai repensé à cette chanson de Serge Lama : "Une île," que j'ai toujours beaucoup aimé écouter et qui m'émeut à chaque fois. Je dépose donc aussi cette si belle version où Lama chante avec Anggun.


Un monde parallèle (Rêve)

Cette nuit, j'ai rêvé à mon frère. Chaque année, lorsque la date anniversaire de sa mort approche (cela fera trois ans fin novembre), il vient me rendre visite presque chaque nuit. J'étais en compagnie d'une amie, chez moi, et mon frère était là. Dans mes rêves, mon frère est toujours souriant et serein, il est vrai que ma relation avec lui était sereine et souriante. Il s'installait sur le canapé, et feuilletait une revue. Avec mon amie, nous nous demandions si nous étions bien dans la réalité, ou bien si nous rêvions. Je me suis approchée de mon frère, et je lui ai demandé de me pincer le bras, pour voir si j'allais ressentir de la douleur et savoir ce qu'il en était. J'ai ressenti de la douleur (c'est étrange d'ailleurs de pouvoir ainsi ressentir de la douleur dans un rêve), et je me suis donc dit que nous étions bien dans la réalité. Mais pourtant, il y avait quelque chose qui n'allait pas, puisque mon frère était là, alors qu'il était mort. Alors avec mon amie, nous en avons conclu que nous devions être dans la réalité d'un monde parallèle...

Ce matin, en me levant, j'ai tout de suite regardé si je n'avais pas un bleu sur le bras. Il n'y en avait pas. J'aurais aimé pourtant...

lundi 15 octobre 2012

Texte inspiré du tableau "Automate" de Edward Hopper

Suite à une idée de The Bluebird qui est : « Choisir une toile d'Edward Hopper, inventer et raconter sur votre blog l'histoire qui, selon vous, s'y rapporte », je me lance !!! et j'accepte évidemment les critiques !... :-)

Edward Hopper - « Automate »

Elle entre dans la salle, souriante, gracieuse, s'installe à une table et commande un café. C'est une femme amoureuse, à n'en point douter, elle rayonne. Comme elle a de la chance de l'avoir rencontré, son "prince charmant", comme elle aime le dire. Cela fait tout juste un mois qu'ils se connaissent, mais il lui semble qu'ils se connaissent depuis toujours. Le hasard les a fait se rencontrer, heureux hasard, et cela a été le coup de foudre. Ils se sont vite aperçus qu'ils avaient plein de choses en commun, plein de choses à partager, plein de choses à se dire. Enfin, c'est surtout lui qui parle. Elle aime l'écouter, elle boit ses paroles. Elle l'admire tellement, il connaît tellement de choses. Elle est comme une enfant, émerveillée par ce qui lui arrive, c'est un cadeau du ciel.

Elle regarde sa montre. 20h10. Il est légèrement en retard, ce n'est pas très grave, pense-t-elle. Et elle continue à rêvasser.

"Viens vivre avec moi, ma belle. Tu verras, comme je t'aimerai", lui a-t-il dit la dernière fois. Elle a ri alors, et lui a dit qu'elle trouvait qu'il était peut-être un peu tôt pour envisager de vivre ensemble. Elle avait trouvé qu'il était alors bien pressé. Mais elle avait réfléchi, depuis, et puis, oui ! elle avait décidé de dire oui ! La prochaine fois qu'il lui poserait la question, sûrement ce soir, elle dirait "Oui ! je viens vivre avec toi, mon amour". Elle le suivrait n'importe où, elle l'aimait tant ! Elle ne pourrait dorénavant plus se passer de lui, elle le savait, elle l'attendait depuis tellement longtemps. 

L'heure tourne. Il est déjà presque 21h00. Bientôt une heure de retard... Cela ne lui est encore jamais arrivé d'avoir tant de retard. En principe, c'est lui qui arrive toujours le premier, et elle arrive juste quelques secondes après. Serait-ce un signe ? Non, elle se dit qu'il a dû avoir un imprévu, une urgence, il a beaucoup de travail en ce moment, lui a-t-il dit, il ne va sûrement pas tarder à arriver.

Elle commande un autre café. Mais son visage a changé. Son teint si rose est devenu blafard. Sa pâleur est accentuée par la lumière blanche du néon. Son regard, si joyeux tout à l'heure, est devenu inquiet. Elle tourne la cuiller dans sa tasse, régulièrement, comme un automate. Elle n'arrive plus à penser, l'angoisse l'a saisie. "Que se passe-t-il ? Que lui est-il arrivé ?" Et impossible de le joindre, elle ne sait même pas son nom ! Quelle idiote, elle ne sait même pas son nom ! S'il ne vient pas ce soir, comment pourront-ils se revoir ? Ils changent de lieu de rendez-vous chaque fois. Elle sent des gouttes de sueur couler sous ses aisselles, elle a subitement très froid, des frissons glacés parcourent son corps. Elle enfile son manteau qu'elle avait négligemment posé sur la chaise, en arrivant, ce joli manteau vert qu'elle avait acheté en pensant à lui, le vert étant sa couleur préférée. Elle met son chapeau, elle ne veut pas qu'on la regarde, qu'on la voit, elle se sent trop mal et elle a l'impression que tout le monde a les yeux braqués sur elle, et l'observe. 

Le temps passe. Il ne viendra pas... elle le sait, maintenant. Pourquoi n'est-il pas venu à ce rendez-vous ? L'a-t-elle blessé l'autre soir, lorsqu'elle a ri alors qu'il lui demandait de tout quitter pour partir avec lui ? Elle ne se moquait pas de lui, mais c'était sa façon à elle de réagir lorsqu'elle était émue et troublée. Elle est désemparée, elle a envie de pleurer, comme une petite fille. Il ne viendra pas, non, il ne viendra plus. Elle le sait, mais elle n'arrive pas à partir, elle est comme clouée sur sa chaise, inerte, sans vie, vidée de son âme...

dimanche 14 octobre 2012

Les femmes parlent, les hommes se taisent

Les femmes ont des mots et elles les disent,
les hommes ont des maux mais ils n'en parlent pas.

C'est vrai que nous les femmes, aimons et avons besoin de parler entre nous de nos problèmes, de nos soucis, de nos interrogations. Alors que les hommes n'éprouvent pas ce besoin, ils préfèrent au contraire et bien souvent (pas tous !) rester silencieux en ce qui concerne leur vie personnelle. Pourquoi les hommes n'aiment-ils pas parler, expliquer, dire ? (je répète pas tous !) Je trouve que cela fait tellement du bien de pouvoir se confier à une amie, de pouvoir partager un souci, un tracas. Le fait de le dire, d'avoir l'oreille attentive d'une amie, d'une soeur, allège tellement le coeur parfois.
En fait, et vous me direz si je me trompe, je pense que les hommes entre eux ne se parlent pas de choses intimes, trop personnelles, mais s'ils ont la possibilité de pouvoir se confier à une amie, ils apprécient alors de pouvoir parler. Ils ont peut-être moins de pudeur à se confier à une femme. Je ne sais pas, en fait, je suppose...

Dites moi ce que vous en pensez. Il est toujours intéressant et riche de connaître les raisons. Une fois que nous avons les raisons, nous arrivons mieux à comprendre, et même si nous ne comprenons pas, nous avons les raisons... :-)

lundi 8 octobre 2012

Me serais-je trompée ?

Les bonnes choses n'arrivent que lorsqu'on renonce à les espérer ; à l'inverse, trop espérer, les empêche de se produire.
(Paul Auster)

Pourtant, je croyais qu'il fallait penser fortement à ce que l'on désirait pour que cela se réalise enfin. Me serais-je trompée toutes ces années ?... C'est peut-être pour cela que je suis toujours à attendre en vain ?... (sourire)

vendredi 5 octobre 2012

Rompre avec nos rôles - Sarah Sérievic

Un livre que j'ai lu il y a quelques semaines, que j'ai beaucoup aimé, et qui va sûrement devenir mon livre de chevet pendant quelques temps... :
« Rompre avec nos rôles », de Sarah Sérievic, Editions Le Souffle d'Or.

- Présentation de l'éditeur
« Tu n'es qu'une comédienne », « Ce sera un battant comme son grand-oncle », « Je suppose que j'ai déçu mon père puisque je n'ai pas obtenu le résultat qu'il attendait. »

Comment sortir de ces rôles imposés, et être soi-même ?
Comment retrouver le chemin de ses propres besoins et désirs ?

Sarah Sérievic nous entraîne doucement mais sûrement vers la connaissance de soi. Tant sur le plan professionnel que personnel, elle nous montre comme il peut être dévastateur de s'accommoder de son « triste » sort, et surtout comme il est vital de se réapproprier son identité.
Par des exemples issus de sa pratique de thérapeute, elle met le doigt sur des questions que nous nous posons tous, et nous donne les clefs pour y répondre. Prendre du recul, créer un autre mouvement pour sortir d'un état stérile et destructeur, cesser de lutter contre nos vrais désirs, voilà autant de moyens de retrouver la cohérence et sortir de nos rôles.
Une bouffée d'air pour revenir à l'essentiel.

- Biographie de l'auteur
Sarah SERIEVIC est psychothérapeute, consultante, formatrice en entreprise. Elle a élaboré une forme originale de thérapie, le « Théâtre Authentique ». Auteur de Passage à l'acte de vie (Ed. Le Souffle d'Or).

- Extraits :
p. 19. Sauf en cas de dictature, ce qui n'est pas le sujet de ce livre, les victimes encouragent souvent le comportement de leurs bourreaux. Si vous permettez à qui que ce soit d'avoir un pouvoir sur vous, quelle qu'en soit la forme, il le fera. Il n'y a que vous pour donner à un autre le pouvoir de vous opprimer ou de vous sécuriser. Lorsque quelqu'un s'est montré désagréable avec vous et que vous vous repassez le film toute la journée, puis toute la nuit, puis les semaines et les mois qui suivent, qui est votre plus grand ennemi ? Lorsque vous attribuez à un autre le pouvoir de vous annuler ou de vous faire exister, vous êtes en train de vous destituer de votre propre pouvoir sur vous-même. Tant que vous refusez de voir le persécuteur que vous êtes pour vous-même, vous le projetez sur l'autre. Tant que vous aurez du mépris pour vous-même, vous attirerez des personnes qui vous mépriseront. De même qu'un animal va foncer sur celui qui a peur, celui qui a besoin de mépriser va vous renifler et s'occupera de votre cas.

p. 62. Pourquoi vous obstinez-vous à ne garder en tête que vos points faibles ? En électricité, il y a du positif et du négatif, s'il en manque un, il n'y a pas de lumière !
Vous espérez le Messie pour qu'il reconnaisse vos talents, qu'il mette au monde ce que vous contenez en germe, comme une autorisation d'exister qui vous viendrait d'un sauveur qui va finir par se sauver !
Si pour exister vous attendez la reconnaissance d'un autre, vous ouvrez la porte à la désillusion, la manipulation ou l'adoration !

p. 87. Prendre le risque de l'égarement, c'est prendre le risque de décevoir les autres pour entrer en cohérence avec soi. A vouloir toujours nous accommoder pour satisfaire le besoin social, à vouloir protéger nos sécurités, fuir nos confrontations, tenter de limiter nos souffrances, nous finirons lobotomisés. Il n'y a pas de pouvoir plus puissant que nous-même sur nous-même. Il n'y a pas de plus grande trahison que le déni de qui nous sommes.

p. 114. Nous ne pouvons sauver l'autre que par contagion, en vivant pleinement nos aspirations, nous deviendrons l'exemple qui entraînera les autres. On ne peut pas forcer l'Amour, mais on peut le montrer en le vivant. Le partenaire le plus idéal ne peut rien pour vous que d'être lui-même et de vous inciter à être qui vous êtes. L'âme soeur n'est pas celle avec qui vous allez roucouler confortablement pour mieux dormir ensemble, ni celle qui vivra vos expériences à votre place, mais c'est celle qui provoquera en vous le désir de vous dépasser au risque de vous remettre en cause. Vous entrez dans l'expérience d'Amour à chaque fois que vous êtes stimulés dans le goût d'être vivant. Tout le reste (les revendications, les faux sacrifices et autres volontés sur l'autre pour son bien) est utilisé pour étouffer la joie que vous croyez ne pas mériter au nom de tous les vôtres !

p. 123. Lorsque vous êtes en prise avec un scénario qui vous obsède, vous pouvez désobéir à la morosité qui vous guette : fermez les yeux, projetez votre situation sur un écran et regardez-la comme si vous deveniez spectateur de vous-même. Observez-vous sans jugement et sans émotion comme si vous aviez la possibilité de devenir metteur en scène de cet événement. Qu'est-ce que vous changez ?
S'il n'y a rien qui change dans votre vie, pourquoi voulez-vous que vos événements se transforment ?

« C'est celui qui s'égare qui découvre de nouveaux chemins. » 
Nils Kjaer

mercredi 3 octobre 2012

Yves Jamait - Même sans toi

J'ai déjà mis cette chanson sur mon blog en début d'année, mais il s'agit ici d'une autre version, encore plus BELLE. Et puis, lorsqu'on aime, on ne compte pas, n'est-ce pas ? De plus, peut-être n'avez-vous pas pris, ou pas eu, le temps de l'écouter la première fois. Alors installez-vous, posez-vous, c'est pour vous...

 

mardi 2 octobre 2012

Festival Photo Peuples et Nature, La Gacilly

Cette année, à la Gacilly (commune du Morbihan), avait lieu la neuvième édition du Festival Photo Peuples et Nature, le plus grand festival photo en plein air de France. J'y suis allée... et j'ai aimé !...

"Plusieurs centaines de clichés grands formats, signés par des artistes de renoms ou des chasseurs d’images amateurs. Exposé en plein air, et battant le pavé du charmant village de la Gacilly, l’ensemble ne manque pas de faire son effet. Créé en 2004 par Jacques Rocher, aujourd’hui Président de la fondation Yves Rocher, le festival entend faire réfléchir sur l’avenir de notre planète. Qu’il s’agisse des forêts millénaires, des océans ou des peuples, il y aura toujours un photographe pour montrer les dangers qui les guettent. Entre onirisme et prise de conscience, chaque année, le festival met à l’honneur cette dame nature si digne, respectable et photogénique. Et nous invite à ne pas couper la superbe branche sur laquelle nous sommes assis."
--> Source : http://www.tourismebretagne.com




L'une de mes préférées (photo d'Anouk Garcia) :


---> Il y en a plein d'autres ici !!!...

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lundi 1 octobre 2012

La pointe de Penvins - Bretagne

Comme promis, voici quelques photos de Bretagne (vous pouvez cliquer dessus pour les agrandir) :


Coucou !... :-)

-----> Si vous voulez en voir d'autres, elles sont toutes ici.

De retour

Et voilà ! mes vacances bretonnes sont terminées. J'ai vidé ma valise, je vais pouvoir la ranger, à condition bien sûr que ma minette veuille bien en sortir ! :-)


Je déposerai, dans les jours à venir, quelques photos de mes balades en Bretagne (j'en mettrai également sur mon blog Photos). Mais en attendant, je vous souhaite un bon début de semaine et une belle journée.