mercredi 21 décembre 2011

Joyeux Noël et bonnes Fêtes de fin d'année

Mon blog se met en vacances pendant une dizaine de jours.
Je vous souhaite un très joyeux Noël, des bonnes fêtes de fin d'année, de doux et tendres moments avec les personnes que vous aimez et je vous dis à l'année prochaine ! Bises à vous toutes et tous.

- Je vous laisse en compagnie de Graeme Allwright qui interprète "Petit garçon", une jolie chanson de Noël.


lundi 19 décembre 2011

La Diva aux pieds nus nous a quittés

Cesaria Evora nous a quittés samedi dernier, 17 décembre.
J'avais eu le plaisir d'aller à l'un de ses concerts il y a déjà quelques années. Je la découvrais alors. Une femme et une voix inoubliables.
Adieu Cesaria...

  

Si vous ne la connaissiez pas, vous pouvez cliquer sur ce lien pour la découvrir --> Cesaria Evora

mardi 13 décembre 2011

Instant magique...

Il est 8 h. Je ne vais pas tarder à commencer ma journée de travail. J'ouvre les volets. Et alors !... des couleurs merveilleuses s'offrent à moi ! Le soleil n'est pas encore levé, mais il se prépare. Là-bas, au loin, le ciel est rouge écarlate. Plus en avant, il est bleu clair, avec des nuages légèrement cotonneux d'une couleur rose et parme. Sur la gauche, un énorme nuage s'étale, un nuage bleu sombre, bleu marine. C'est absolument magnifique ! Je suis émue tellement le spectacle est beau, je n'arrive pas à détacher mes yeux de ce cadeau que m'offre le ciel.
8h 15. Les couleurs ont changé. Le rouge a disparu. Restent le bleu ciel et ce gros nuage bleu marine qui s'éloigne et qui s'éclaircit petit à petit.
Instant bref mais que j'ai pu saisir et savourer. Merci la nature !
En temps ordinaire, je serais allée chercher mon appareil photo pour fixer ce lever de soleil. Mais ce matin, j'ai juste eu envie de le regarder et d'être présente uniquement à cet instant.
Je vous souhaite une bonne journée, aux couleurs aussi belles que le furent celles de ce lever de soleil.

Photo prise sur internet.

mercredi 7 décembre 2011

VIVRE de Monique Lucchini

Ce soir, je suis allée à la médiathèque choisir de nouveaux livres. Je suis revenue avec un petit recueil de poèmes de Monique Lucchini. Je ne la connaissais pas du tout, je la découvre donc ce soir. Elle vit en Haute-Loire, tout comme moi ! J'ai donc feuilleté son recueil, et j'ai eu un coup de coeur pour ses mots, pour ses textes. Alors, juste pour le plaisir de le partager avec vous, voici l'un d'eux, tiré de son recueil intitulé : "Au-delà du Néant"

VIVRE 

Et le cri dans le coeur
s'est libéré
Et le souffle dans la poitrine
s'est engouffré
Et la vie dans le sang
a pénétré 
La lumière a jailli 
Pure 
dans le bleu de l'immensité 

Monique Lucchini

lundi 5 décembre 2011

Que devient le petit bonhomme courageux ? / 15

Que devient le petit bonhomme courageux ? Le petit bonhomme courageux continue de lutter, de lutter et de vaincre ! Je vous en parle moins souvent car les progrès sont moins spectaculaires maintenant, mais pourtant, il progresse toujours, lentement mais sûrement.
La dernière fois que je vous en ai parlé, c'était mi octobre, je vous disais qu'il marchait dorénavant tout seul, mais il se sécurisait tout de même en visant un point, un appui à atteindre. Il a pris beaucoup d'assurance depuis. Tout récemment, encore, alors que nous étions de fête, il n'a pas hésité à traverser la salle, au milieu de plein de monde, sans peur, et vaillamment. Il avait trop envie de suivre et de jouer avec ses petits cousins. Je sais aussi, depuis hier soir, qu'il descend les escaliers tout seul. Bien sûr, son papa ou sa maman se mettent devant lui au cas où, mais c'est une sacrée victoire aussi ! Et puis, il court aussi, il court ! tout en donnant la main à quelqu'un, bien sûr, mais il court ! Quelle vie il a ce petit bonhomme ! Lorsque mon fils me téléphone, c'est d'abord lui que j'ai au bout du fil. J'adore entendre sa petite voix : "Mamiiiiie !" J'en souris et en suis toute attendrie en y pensant. Et tandis que son papa me parle, je l'entends derrière, qui rit, qui parle ! Il a une vitalité, une vie en lui ! et cette vitalité, c'est ce qui l'a sauvé, et le fait progresser encore et encore. Bien sûr, il fait quelques frayeurs à ses parents, parfois, bien involontairement. Par exemple, lorsque soudain il se plaint d'avoir mal à la tête, ou au ventre. C'est vrai que les jeunes parents sont toujours sur le qui-vivre (lapsus, je voulais dire : qui-vive), malgré tout, et cela se comprend. Mais ce qui aide énormément le petit bonhomme, c'est que ses parents lui font confiance, et ne sont pas toujours à lui dire : "Attention !" Ils le surveillent, ils sont vigilants, mais ils lui font confiance, et je trouve que c'est énorme ! et cela l'aide dans sa progression, sans aucun doute. Le plus long à revenir est la mobilité de son petit bras et de sa petite main gauches. Mais nous avons confiance, j'ai confiance, il faudra peut-être du temps, mais un jour, la vie reviendra aussi dans ce petit bras et dans cette petite main. 
Je parle bien évidemment moins de mes trois autres petits-fils, car ils "poussent" sans problèmes particuliers, ils ont cette chance. Mais je les aime tout autant, d'un amour très fort. Lorsque mes amies, grand-mères avant moi, me disaient : "Tu verras quand tu seras grand-mère, comme tu les aimeras tes petits-enfants". Eh bien, oui, elles avaient raison, comme je les aime mes quatre petits gars !... comme je les aime !!!... (sourire)

vendredi 2 décembre 2011

Etes-vous rancunier, êtes-vous fâché ?

Faites-vous partie des gens qui ruminent et ressassent des rancoeurs pendant des semaines, des mois, voire des années ? Faites-vous partie des gens qui se fâchent facilement ? Ou bien oubliez-vous vite, et savez-vous ne pas tenir rigueur à ceux qui vous ont peiné, blessé ou déçu ?
Je ne suis pas rancunière, et ne le serai sans doute jamais, ou si je le suis, cela ne dure jamais très longtemps. Je pense que ressasser des histoires anciennes nous fait avant tout du mal à nous. Entretenir en nous de sombres pensées nous empêche de retrouver la sérénité. Et c'est du temps et de l'énergie perdus à jamais.
Je ne sais pas me fâcher non plus. J'ai d'ailleurs du mal à comprendre comment on peut se fâcher avec soit un membre de sa famille, soit un ami ou une amie. Il me semble que l'on peut toujours résoudre un différend en discutant, en y mettant un peu de bonne volonté. On peut s'expliquer sur le problème, c'est plus enrichissant que de s'enfermer dans un mutisme chacun de son côté. N'est-ce pas un peu puéril de se fâcher alors qu'il suffirait parfois d'un geste, d'un mot, pour que tout s'arrange. C'est souvent l'orgueil, l'amour-propre qui empêche de revenir (foutu orgueil !). Je trouve qu'il y a assez de violences et de guerres dans le monde, pourquoi en créer, en plus, pour bien souvent des broutilles qui n'en valent pas la peine ? ou des malentendus que des mots suffiraient à éclaircir. C'est trop bête, je trouve, non ? Enfin, c'est mon point de vue. Je n'ai peut-être pas été confrontée à des choses qui valaient vraiment la peine de se fâcher pour de bon, après tout. Mais je pense aussi aux personnes qui ne se sont pas réconciliées avant le départ de l'un ou de l'autre, et alors combien de remords et de regrets ! C'est vrai que ce sujet me met aussi un peu en colère, car je connais des personnes qui souffrent à cause de cette situation, qui la subissent, et qui en sont malheureuses parce que privées de la présence de personnes qu'elles aiment... Je trouve cela navrant et triste... C'est dit.